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↳ personnages attendus

Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.

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 I've waited a hundred years, but I'd wait a million more for you + Emersen ♡

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Léo Emerson
Léo Emerson
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STATUT : It's you, it's always been you - Alba

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: Il a un fils, Jonah (7 ans), il s'est séparé de sa mère, Alba, avant sa naissance. ‹ il part régulièrement aux quatre coins du monde pour son travail ‹ il est passionné par le dessin, la peinture et la photo depuis tout petit, c'est la photo qui es devenu son métier ‹ il aime les gens, profondément, le contact humain, les rencontres ‹ il a déjà pris part à plusieurs projets humanitaires et tente de faire un voyage par an dans ce but ‹ il voyage un peu moins depuis qu'il a son fils, ça lui manque mais c'est un choix pour rester proche de lui ‹ il aime quitter Bowen mais aussi y revenir, il y trouve ses racines, ses plus proches amis, sa famille et ses repères ‹ il a horreur des soirées de galas et autre mondanités mais y assiste par correction envers sa famille, il a une vraie dent contre le Maire ‹ il est cinéphile ‹ il ne connait pas le rasoir et prend grand soin de sa barbe ‹ il est mauvais dans ses relations avec les filles, doué pour les séduire, il a un don pour tout gâcher et perdre les seules qui pourraient compter ‹ il n'est pas matérialiste, il pourrait vivre dans le luxe, il pourrait tout avoir, mais ça ne l'intéresse pas, il aime consommer de façon raisonnée ‹ il est plus ou moins sportif, ça dépend des moments mais il a un abonnement à la salle de sport, il lui arrive de courir sur la plage et il se débrouille en surf, il est fan de rugby, supporter de l’équipe locale ‹ il cuisine, il est gourmand et aime goûter les plats de différents pays ‹ il ne se considère pas comme fumeur mais il ne refuse jamais une clope surtout en soirée ‹ il est amateur de bons whiskys
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MessageSujet: Re: I've waited a hundred years, but I'd wait a million more for you + Emersen ♡   I've waited a hundred years, but I'd wait a million more for you + Emersen ♡ - Page 5 EmptyJeu 12 Sep 2024 - 11:04

Léo en avait fait des conneries au cours de sa courte existence, il avait pas mal de remords, de choses qu'il aurait pu faire différemment. Et aussi quelques regrets, de choses qu'il aurait dû faire différemment. Il était de ces personnes impulsives qui voulaient tout vivre, vite, tout voir, tout faire, quitte à s'en mordre les doigts après. Il partait du principe que tout expérience était bonne à prendre, même si elle s’avérait négative à la fin. Il n'avait pas envie de se réveiller un matin, au crépuscule de sa vie, en se disant qu'il n’avait pas assez osé, pas assez profité. On ne vivait qu'une fois après tout. Cependant dans la liste de ses regrets, d'avoir laissé Alba derrière lui, sans une explication, sans un mot, dans lui laisser la chance de le retenir, c'était probablement numéro un. Simplement parce qu'il avait eu la trouille, celle du bonheur, persuadé qu'il n'y avait pas le droit, pas ainsi, pas après la mort d’Anabelle. Pourtant au fond c’était juste la peur d'être heureux, ces sentiments si forts, trop forts, qu'il ressentait pour la photographe, qui l'avaient effrayé. Ni plus ni moins. Il avait tout gâché à Bangkok et enfoncé le clou, quelques années plus tard, à Brisbane. Passer les derniers mois à pas mal ressasser, à en vouloir injustement à Alba pour le naufrage de son histoire avec Grace, se retrouver au fin fond de l’outback avec elle et à présent en prison, c'était plutôt surréaliste. Mais ça lui remettait les idées en place. Et ça mettait les priorités en perspective. Il avait eu tendance à repousser Alba par peur de l’amour, il avait préféré des histoires plus faciles, avec des femmes qui l’idolâtraient, plutôt qu’elle. Grace avait été différente, l’exception, il l'avait aimée et il s'était battu, il l'aimait encore, même. Mais au fond de lui, il avait toujours su qu'ils étaient trop différents. Et si vouloir faire mentir la logique avait été grisant, il savait à présent que c'était voué à l’échec. Ça n’avait rien à voir avec la photographe, c'était déjà écrit et il n’avait pas à lui en vouloir de quoi que ce soit. Surtout qu'en vérité, toute cette colère dirigée contre elle était simplement détourner le fait qu'il s’en voulait énormément à lui-même, pour Grace, pour Alba. Ses deux muses. A présent il avait tout digéré, il était réellement libre, sans plus aucune attache, sans fantôme de petite amie, sans fiancée à la maison. Il n'avait qu'à saisir sa chance. Mais Alba ne lui facilitait pas les choses et elle avait raison. Dans cette prison ils n’avaient que ça à faire, penser, se parler, s’ouvrir l’un à l'autre, ils étaient certes enfermés contre leur gré, mais c'était peut-être la meilleure chose qui pouvait leur arriver. Rien ne disait qu'ils ressortiraient ensemble, rien n'était moins sûr, même. Mais une chance leur était offerte. Il fronça les sourcils en tournant la tête vers la blonde. Ah bon ? Il avait l’air amoureux, vous sembliez heureux. Il pouvait l’affirmer parce que cette vision de son ex et de son pote ensemble, si bien assortis, lui avait fait sacrément mal. Il dodelina de la tête en haussant les sourcils. Effectivement ils avaient changé tous les deux et il était possible que Léo n’aime pas cette nouvelle version d’Alba. Mais quelque chose lui disait qu’il allait au contraire l'aimer davantage. On a passé quelques heures enfermés ensemble dans une voiture. Et malgré toutes les vacheries qu'on s'est envoyées, j’ai quand même eu envie de t’embrasser. Qu'il répondit avec un demi sourire au coin des lèvres. Et il crevait d'envie de recommencer. Le fait est que si Léo avait demandé à Alba de le suivre à l'aéroport, c'est qu'il voulait qu'elle fasse partie de sa vie, parce qu'elle lui avait terriblement manqué et même si elle n'était plus la même femme, alors il voulait apprendre à la connaître. La dernière question de Jensen le laissa totalement démuni et il su que c'était la balance, le moment clé pour enfin faire tomber les barrières et être honnête. Il devait arrêter de se cacher derrière le masque de l'homme indifférent, un peu cavalier, sûr de lui, parce qu'il était tout sauf ça. Face à elle il était vulnérable et il osa enfin le montrer, par des mots criants de sincérité qui sortirent tout seuls de sa bouche. Alba se fit moins mélodramatique, cependant elle semblait accepter de le suivre, ce fut, finalement, la seule chose que Léo retenait. Elle sembla néanmoins préciser qu'elle ne viendrait pas par amour, mais dans une démarche de compagnonnage. Peut-être comme deux photographes, deux professionnels qui voyageaient ensemble, rien de plus. Ça pourrait prêter à sourire, s'agissant de ces deux-là. Mais l'heure n'était pas à la plaisanterie, un policier venait de surgir devant les cellules. Jensen, Emerson. Vos cautions ont été payées, on a retrouvé le véhicule à l’endroit où vous nous l’avez indiqué, avec les clés. Vous êtes libres. Il ouvrit les deux portes qui les retenaient prisonniers et les deux anciens amants purent repartir. Aucun ne sembla vouloir moufter, on les escorta vers la sortie, leur indiquant qu'une ligne de bus pouvait les ramener à l’aéroport, ou un taxi. Ils attendirent leur véhicule sur le bord de la route. Alors, on va où partenaire ? À l’aéroport et on avise ? Il avait retrouvé un peu de sa superbe et se permettait même un trait d’humour en rebondissant sur ce qu’Alba avait dit plus tôt. Au fond, même sincère, même en faisant des efforts, Léo restait un sale gosse.

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"Is that alright ?"
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Alba Jensen
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MessageSujet: Re: I've waited a hundred years, but I'd wait a million more for you + Emersen ♡   I've waited a hundred years, but I'd wait a million more for you + Emersen ♡ - Page 5 EmptyMar 1 Oct 2024 - 19:48

Jamais elle n’avait fait le deuil de sa relation avec Léo, ce qui la rendait si fébrile à la proposition qu’il lui avait faite avant que la police ne les arrête. Son corps l’appelait à dire oui, par nostalgie des moments passés. Mais elle savait que dans le fond rien ne sortirait de beau, à part des nouvelles larmes qui complèteraient sa collection déjà bien remplie. Le destin décidait de jouer en sa défaveur, l’obligeant à passer des nouvelles heures en sa compagnie, séparés seulement par cette paroi transparente. C’était déjà pénible d’être enfermée, mais cette proximité était sa véritable sentence. Elle aurait aimé guérir d’Emerson dès son départ de Bangkok, mais il avait eu sa peau dans tous les sens. Pendant un an, ils avaient appris à se connaître, à s’aimer, de façon si naturelle qu’elle avait du mal à ne pas se laisser gagner par l’émotion. Toutes leurs retrouvailles avaient été intenses, que ce soient les sentiments contradictoires qui refaisaient surfaces ou la nostalgie qui les avait animés. Samson avait été relégué au second rang dès l’apparition du photographe. L’espagnol venait d’entrer dans un jeu où il finirait forcément perdant, ignorant (enfin selon Alba) de quoi il était question. « Ecoute c’est la vie, parfois on ne partage qu’une petite partie de notre vie avec quelqu’un. » Elle avait beaucoup apprécié Samson, et elle ne gardait aucune rancœur à leur relation. L’espagnol de son côté, peut-être plus, comme si finalement il avait compris que Léo avait fini par semer la zizanie dans l’esprit de la photographe. Sa relation avec Léo pouvait également être éphémère, juste une parenthèse magique d’un an. Ressasser le passé n’était pas la solution, ayant chacune à présent évoluer dans leur vie. Il semblait si persuadé de lui, mais il finirait peut-être pas ne pas apprécier ce qu’Alba était devenue. Moins rêveuse, moins intrépide, elle avait découvert la sédentarité pendant quelques années. Cette liberté qui la caractérisait existait encore, mais avec une moindre mesure. Alba riait nerveusement. « Ce n’est pas parce que moi aussi j’ai envie de t’embrasser, que j’ai envie de plus. » Répondait-elle tranquillement. L’alchimie physique elle était là, Alba le sentait dans tous les pores de son corps. Mais elle était craintive de ce que Léo serait capable de procurer chez elle. Elle finit tout de même par accepter de le suivre, comme une sorte de partenariat entre deux photographes. En vérité, les barrières s’effritaient, mais elle voulait montrer qu’elle gardait un certain contrôle. La voix des policiers la fit sursauter, leur annonçant la fin du supplice. Elle se tourna vers Léo. « Tu me diras combien je te dois. » Il était clair que ses parents n’avaient pas été aussi rapide pour la libérer de là. Elle comptait les appeler rapidement pour qu’ils n’aient plus à s’inquiéter. Ils attendaient le bus les libérant définitivement de ce commissariat de campagne. « New York ? » Disait-elle tout simplement. Elle savait qu’elle se lançait dans un jeu dangereux, et que la présence d’un être complice, un endroit où se réfugier si les choses tournaient mal lui semblait nécessaire. Puis la ville était grande, et que ça lui semblait logique qu’il y avait moins de risque de se retrouver dans un endroit peuplé que tous les deux dans un endroit isolé. « New York au début, et après on avise. » Elle ne lui promettait rien, mais elle laissait la possibilité d’une suite.

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