Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.
STATUT : i’ll be yours for a thousand lives. (married to sahar ♡)
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : pur produit londonien, son accent le trahit presque automatiquement ‹ enfant unique, pressenti pour devenir l'héritier de l’entreprise familiale, prisonnier d’un destin imposé ‹ il a fui une première fois londres à ses dix-neuf ans pour les états-unis, en quête de liberté ‹ il y a mené des études de psychologie et d’art-thérapie ‹ méfiant maladif du monde extérieur depuis que la première fille dont il est tombé amoureux a joué les infiltrées pour son père en l’échange d’un joli chèque ‹ il a déjà vécu à bowen entre 2015 et 2017 ‹ levi, il a tendance à vivre à mille à l’heure, capable de se passer de nuits entières de sommeil, à tel point qu'il a souvent recours aux aides chimiques pour s'endormir ‹ passionné par les arts, il passe une bonne partie de son temps à libre à dessiner et à peindre ‹ sa situation l’oblige à rester discret depuis son retour à bowen, conscient des risques qu’il encoure en ayant fui une énième fois.
Sujet: Re: hold onto me 'cause I'm a little unsteady (sahar) Sam 11 Jan 2025 - 21:03
Sahar n’avait sans doute pas conscience d’à quel point il avait honte de la tournure des événements, de la manière dont se déroulaient ces présentations désastreuses avec les membres de sa famille. Lui-même avait reçu un accueil chaleureux au sein de la sienne, quand bien même leur relation ne faisait pas toujours l’unanimité, aujourd’hui, il avait le sentiment d’avoir été accepté par les siens. Le fait était qu’il n’était probablement pas accepté par sa propre fratrie après des années à l’avoir déserté, lui qui avait refusé d’appartenir à ce monde qui ne ressemblait en rien à celui dans lequel il se voyait évoluer. Et aujourd’hui plus que jamais, il comprenait à quel point le fossé avait été creusé entre lui et le reste de sa famille, incapable de se sentir à sa place, seule la main de sa bien-aimée le raccrochant à son équilibre. Et il avait même l’impression que toute cette grandeur, ces artifices, parvenaient à lui donner la nausée, peinant encore à croire qu’il avait été élevé entre ces quatre murs, dans cet univers où seules les apparences avaient une importance. Pourtant, quand bien même il avait tiré un trait depuis longtemps sur cette vie passé, la révélation de sa tante eut l’effet d’un tremblement de terre dans son esprit, peinant à croire que son nom avait été mentionné dans le testament de son géniteur. Et durant cet échange qui lui avait paru durer une éternité, il n’avait pu s’empêcher de lancer des regards à sa bien-aimée, comme s’il cherchait son soutien, son avis, elle qui avait probablement dû entendre les aveux de son interlocutrice et ce qu’ils signifiaient pour eux. Peinant à se sentir à l’aise au sein de ceux qu’il considérait davantage comme des inconnus, il s’accorda avec Sahar pour s’évader de cette maison dans laquelle ils ne semblaient définitivement pas bienvenues. Prenant la direction de leur hôtel, ce fut dans une ambiance particulière, dans laquelle la tension semblait à son comble, qu’ils quittèrent les lieux, les pensées de Levi peinant à le laisser souffler. Et comme à son habitude, Sahar se dressa face à ses tourments, la présence chaleureuse de sa paume contre sa jambe pour contrôler sa nervosité. « Peut-être parce-que le pire d’entre eux n’est plus là. » Conclut-il, faisant évidemment référence à l’homme qui l’avait élevé, sa tête se posant à son tour contre celle de son épouse, plus que reconnaissant de l’avoir à ses côtés. « J’aurais coupé les ponts avec n’importe qui pour qu’on soit que tous les deux. » Renchérit-il, conscient que leurs familles respectives n’auraient jamais pu réfréner cet amour et cette passion dévorante qui brûlait entre eux depuis qu’ils se fréquentaient. Il s’accrocha aux mots et à la présence rassurante de sa favorite, avant qu’ils arrivent enfin dans l’intimité de leur cocon, traversant une énième fois le froid glacial de l’extérieur, Levi s’assurant de protéger au maximum le corps de Sahar jusqu’à leur arrivée dans la chambre. « T’as vu comme ils m’ont tous regardé ? » Il s’empressa de se débarrasser de ses affaires, ouvrant les premiers boutons de sa chemise, comme s’il cherchait à respirer après avoir eu l’impression de suffoquer toute la soirée, choisissant paradoxalement d’embraser une cigarette la minute suivante. « Je sais pas. Je suppose qu’on va pouvoir réfléchir plus sérieusement à une maison. » Finit-il par dire, peinant encore à réaliser qu’il sortirait de cette façon d’un gouffre financier, lui qui n’aurait certainement pas misé un seul sou sur ce scénario. Il s’imbiba les poumons d’une énième bouffée salvatrice, expiant la fumée blanchâtre par la fenêtre avant de tourner son regard vers Sahar, assise sur le lit à quelques centimètres de lui, décidant de jeter son mégot pour la retrouver. « Oui. » Souffla-t-il, juste avant que ses lèvres ne viennent percuter les siennes, dans un baiser ô combien amoureux, l’impact de ses pulpeuses contre celles de Sahar la faisant basculer contre le matelas. « Merci d’être là. » Murmura-t-il dans un souffle reconnaissant, s’accrochant à la lueur aimante qu’il lisait dans ses iris.
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Sujet: Re: hold onto me 'cause I'm a little unsteady (sahar) Sam 11 Jan 2025 - 23:18
Et quand bien même votre relation ne faisait toujours pas l'unanimité au sein même de ta propre fratrie, qu'il s'avérait inutile de préciser que les raisons évoquées, ne correspondraient jamais à celles qui pousseraient la sienne à ne pas te considérer comme une des leurs. Si ta famille continuait éventuellement de dénoncer la rapidité de votre engagement, autant que le manque de transparence concernant votre façon de vous comporter, celle de Levi, n'hésiterait probablement pas à pointer du doigt ta situation plutôt modeste en comparaison, et donc fatalement, cette éventualité plus que probante selon eux, pour que tu ne représentes pas davantage qu'une vulgaire opportuniste. Et outre la posture plus ou moins amicale que parut momentanément arborer sa tante, tu te faisais bien peu d'illusion quant à l'opinion qu'elle possédait déjà de toi. Ce fut également pour cette raison que tu avais toi-même jugé préférable de t'écarter, tandis que l'entretien entre l'anglais et son interlocutrice semblait considérablement s'éterniser. À l'exception de bribes relativement éparses venues se disperser d'elles-mêmes, tu n'avais en réalité, pas distingué grand-chose des éléments évoqués précisément lors de cette entrevue. Forcée cependant de constater, que ce ne fut pas tant les représailles ouvertement formulées par la plupart des invités, que l'annonce effectuée par sa tante, qui vous aviez finalement poussé à écourter les hostilités. L'essentiel du trajet retour fut d'ailleurs, étonnamment silencieux, loin de ces échanges habituellement si échaudés ruisselant désespérément d'impatience. L'une de tes mains se hâtant de trouver refuge à hauteur de sa jambe, de sorte notamment à apaiser les mouvements spasmodiques de cette dernière, tandis que les premières constatations commencèrent à se délier au même instant. « Ceci-dit, s'il avait été là, y aurait eu aucune raison pour que nous, on le soit aussi. » Fis-tu mine de l'interpeller, vautrée systématiquement entre un sérieux non seulement de façade, et une intonation tranchant avec l'attitude affichée. Ta tête dorénavant lovée contre son épaule, tu t'efforceras dans la foulée de ne pas laisser les doutes s'insinuer davantage parmi son esprit déjà embrumé, sous prétexte de ne pas l'avoir épousé en fonction de sa famille. Mais alors que tu t'apprêtais déjà à riposter, que le véhicule se stationna directement devant votre établissement, vous contraignant ainsi, à affronter une nouvelle fois le climat bien peu accueillant de Londres, avant de pouvoir une nouvelle fois accéder à votre refuge. Lovée amoureusement contre ton favori, tu fus cependant forcée de t'en détacher, lorsque lui-même profita de votre arrivée pour se débarrasser de ses premiers effets personnels, s'empressant au passage d'embraser un de vos énièmes bâtonnets profondément toxiques. Sans plus tarder, tu imiteras son geste, c'est-à-dire, que tu te délesteras du superflu, avant de finalement prendre place sur le matelas, tes iris, illuminées d'une lueur ô combien aimante, épiant chacun de ses faits et gestes. « Ça c'est parce qu'ils t'admiraient. » Répondis-tu un peu naïvement, bien que tu n'avais pu ignorer toi-même les regards curieux qui s'étaient tout au long de la soirée, immobilisés sur ton amant. Et si tous ne possédaient pas une vocation exclusivement vindicative, il existait en revanche, un certain voyeurisme qui ne t'avait pas échappé. « De toute façon, tu auras le temps d'y réfléchir d'ici-là. » Enchaînas-tu plutôt timidement, lorsque Levi mentionna l'hypothèse d'utiliser cet héritage comme un financement inattendu de votre projet immobilier. Le fait était que cet argent ne t'appartiendrait jamais, selon-toi, tu ne détenais pas une position légitime pour en faire un quelconque usage à l'avenir, raison pour laquelle, tu étais certainement apparue plutôt impassible face à cette opportunité pourtant, considérable. Toujours assise contre le matelas, tu te rapprocheras spontanément du bord, de sorte notamment à te rapprocher de ce dernier, sans aller de toi-même jusqu'à initier le moindre contact, si on considérait, qu'au vu de la soirée chaotique dont vous veniez de vous échapper, l'anglais préférait conserver ses distances. Quel ne fut pas ton soulagement cependant, de l'apercevoir de lui-même se précipiter à ta hauteur, après qu'il se soit débarrassé de son mégot récemment entamé. Et l'élan amorcé en provenance de ton époux, obligea ton échine à percuter le matelas à son tour, tes pulpeuses s'efforçant plus que jamais, de prolonger cette proximité nouvellement recouvrée. « Tu en ferais de même, pour moi. » soufflas-tu chaudement, l'une de tes mains se figeant contre son visage, dont tu redessinas délicatement les pourtours. « Massage? Tu me laisses m'occuper de toi pour ce soir? » Fis-tu mine de l'interroger un rictus espiègle, bien que discret pointant à l'embrasure de tes lippes, tandis que tu chercheras aussitôt à t'accaparer les siennes dans la foulée.
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Sujet: Re: hold onto me 'cause I'm a little unsteady (sahar) Dim 12 Jan 2025 - 2:08
Le fait était que Levi ne laisserait jamais personne émettre le moindre avis concernant sa relation avec Sahar, d’autant plus lorsque ces individus ne possédaient aucune légitimité à le faire. S’il n’accordait aucune importance aux réticences émises par sa belle-famille, avec qui il entretenait pourtant des relations cordiales, il était évident qu’il ne prêterait même pas attention aux remarques que pourraient émettre des individus avec qui il n’avait jamais rien partagé, et qui s’apparentaient davantage à des inconnus pour lui plutôt qu’à des membres de sa famille. Levi, il se dresserait contre le monde entier pour protéger son lien avec celle qu’il avait choisi d’épouser, sa main fièrement accrochée à la sienne toute la soirée, montrant à toutes ces personnes qui les regardaient avec dédain, qu’il ne serait jamais un des leurs, lui qui avait trouvé le vrai sens à son existence ailleurs, dans les bras de sa bien-aimée. S’il savait qu’elle ne se sentait pas forcément à son aise, il refusait pourtant catégoriquement de la mettre à l’écart de la moindre discussion, regrettant d’ailleurs qu’elle ne vienne à s’éclipser lors de cette discussion avec sa tante, son regard continuant frénétiquement de chercher le sien, même si elle se trouvait à quelques mètres de lui. Levi, il n’avait d’ailleurs pas pu dissimuler sa nervosité ô combien apparente lorsqu’ils eurent regagné l’habitacle du taxi, plus que soulagé de pouvoir maintenant expulser ses pensées envahissantes. « Tu as raison. » Car Dieu savait combien il était reconnaissant du fait que Sahar n’aurait jamais à se confronter à l’auteur principal de ses tourments, celui qui lui avait fait vivre un véritable enfer, quand bien même la plupart des relations tendaient vers ces rencontres. Il s’était accroché à la douceur de ses gestes, sa tête se calant de la même façon que la sienne, jusqu’à ce qu’ils ne parviennent à leur hôtel, Levi passant son bras autour de la carcasse tremblotante de Sahar, cherchant à la protéger du froid hivernal et peu habituel pour elle. Ils rejoignirent finalement leur chambre après s’être enfouis dans l’ascenseur, visiblement soulagés de retrouver leur tranquillité et leur intimité, après avoir passé la soirée à se confronter à ces visages quasi inconnus, peinant à se fondre au milieu d’une foule avec laquelle ils ne partageaient rien. Levi se précipita néanmoins vers le fond de la pièce, après avoir retiré sa veste, ouvrant la fenêtre pour embraser une cigarette, l’urgence traduisant sa nervosité que Sahar avait facilement capté depuis le début de la soirée. « C’est surtout parce-qu’ils me voulaient pas là-bas. » Corrigea-t-il son épouse, ironisant quant à la situation ô combien chaotique, plus que soulagé d’avoir écourté ces retrouvailles qui ne lui avaient définitivement rien apporté, lui confirmant finalement ce qu’il avait toujours su. Il avait pourtant compris que leur quotidien risquait d’être bouleversé par cet héritage auquel il ne s’était jamais attendu, confiant à Sahar la première idée qui lui traversa l’esprit et qui était liée à leur projet commun de trouver leur refuge. « On y réfléchira. » Répondit-il, insistant davantage sur ce on alors qu’il avait compris que sa bien-aimée ne semblait pas se sentir concernée par cet argent. Levi s’était finalement débarrassé de son mégot, ressentant le besoin urgent de retrouver Sahar après ces minutes de flottement, fermant la fenêtre avant de se diriger vers le matelas, sa bouche percutant la sienne de plein fouet, jusqu’à la faire basculer contre les draps. Il s’était délecté de la ferveur de cet échange qu’il avait attendu toute la soirée, lui exprimant par la même occasion toute sa reconnaissance face à sa dévotion sans faille. « Oui. Mais je sais que c’était pas évident pour toi. » Souffla-t-il, à l’orée de ses pulpeuses que ses yeux admiraient, lorsqu’ils ne se figeaient pas sur les siens. « C’est moi qui devrais m’occuper de toi normalement. » Murmura-t-il, un rictus au bord des lèvres, sur lesquelles celles de Sahar jetèrent leur dévolu à la seconde suivante, Levi soupirant de soulagement, ayant enfin l’impression de retrouver ses repères, comme s’il n’avait eu besoin que de ce rapprochement charnel avec sa moitié pour respirer de nouveau. « Faudrait qu’on se mette à l’aise alors. » Ajouta-t-il, ses doigts s’enroulant autour de ses avant-bras, de sorte à faire glisser ses mains jusqu’à son torse, et plus précisément sur les pans de sa chemise qui ne demandait qu’à être déboutonnée.
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Sujet: Re: hold onto me 'cause I'm a little unsteady (sahar) Dim 12 Jan 2025 - 14:46
Il n'était pas aisé de faire entendre raison à ceux qui blâmait ouvertement la singularité de votre relation. chacun se distinguant par ses propres revendications, plaidant notamment la rapidité des évènements et le manque de clarté à ce sujet. De fait, tu pourrais sans nul doute pointer également l'opportunisme dont tu serais accusée, notamment de part les circonstances actuelles, au sein même de sa propre fratrie. Outre l'attitude plus ou moins amicale arborée à première vue par sa tante, tu peinais considérablement à imaginer, qu'elle ne te considérait pas elle aussi comme une vulgaire intrigante. Cependant, fut-il davantage judicieux pour l'ensemble des protagonistes que tu renonces à tes états-d'âme, en acceptant le fait que la réputation dépeinte selon les critères de sa famille, ne demeurerait jamais en ta faveur. Autant néanmoins le reconnaître, l'opinion qu'autrui possédait de toi s'avérait de loin un motif susceptible de te tarauder des masses, puisqu'à l'inverse, tu paraissais davantage concernée par les blâmes prononcés à l'encontre de ton mari. De toute évidence, vous ne feriez, jamais, l'unanimité, quelles que soient les prétextes avancés par chacun, un élément qui plus est sans importance, que tu n'hésiterais pas à définitivement te couper du monde entier, de ton entourage y compris, si cela était nécessaire. Considérant Levi comme une priorité absolue, tu admettais sans le moindre embarra à quel point te consacrer pleinement à ce dernier restait de ton point de vue, un objectif indéniable. Par conséquent, si quiconque allait à l'encontre de tes convictions, tu n'éprouverais aucun remord à l'évincer définitivement. Épouse profondément dévouée, tu n'étais pas sans ignorer ô combien ton fonctionnement d'aujourd'hui s'avérait parfaitement contradictoire aux valeurs autrefois encensées. Et cette soirée à l'instar de toutes les autres sonnait ainsi comme une preuve inéluctable de tes positions à son égard, en témoignait d'ailleurs, la manière dont tu avais volontairement conservé le silence toute une partie du trajet retour. Consciente du chaos qui régnait à l'intérieur de son esprit, tu n'avais pas souhaité le brusquer en l'abreuvant d'une multitude de questionnements, ne ripostant finalement que lorsque Levi lui-même avait fini par rompre le mutisme, instauré à l'intérieur de l'habitacle les minutes précédentes. Les échanges furent d'ailleurs, relativement sommaires, écourtés dans la foulée par le véhicule venu se stationner devant votre établissement. Et en l'espace de quelques minutes seulement, toujours lovée contre ton amant, tu t'empresseras de déambuler parmi les corridors de l'hôtel menant directement jusqu'à votre chambre. Forcée de constater que si tu aurais pu te damner pour prolonger cette étreinte de ton côté, l'anglais fut le premier à s'en détacher, se délestant au passage de ses premiers effets personnels, avant de s'orienter en direction de la fenêtre de sorte à embraser un énième bâtonnet toxique. De ton côté, tu t'étais contentée d'imiter son geste en te délestant de ton accoutrement superflu d'abord, t'installant finalement sur le matelas, toujours à bonne distance de ce dernier, bien que sans pour autant, aller jusqu'à initier de toi-même le moindre rapprochement. « Est-ce si important de savoir s'ils voulaient ou non, que tu sois là? » Vins-tu immédiatement observer, un sourire discret, franchissant à la volée, l'embrasure de tes pulpeuses, tandis que tes iris, toujours illuminées d'une lueur admirative ne cessèrent d'épier chacun de ses faits et gestes. Puis l'une de tes mains traversa sommairement ta chevelure à première vue désordonnée, visiblement embarrassée à l'idée d'évoquer son héritage et les répercussions, même favorables, qu'il impliquait avec lui. Raison pour laquelle tu ne répondis rien, lorsque ton bien-aimé s'était empressé de corriger ton constat effectué juste avant. Seul un vague hochement de la tête fit gage de consentement. Sans plus tarder tu l'interrogeas, notamment sur la manière dont tu pourrais potentiellement lui apporter ton aide, si on s'en tenait à la délicatesse des évènements survenus plus tôt. Et si tu aurais en temps normal, pas manqué l'occasion de te précipiter sur ton amant, afin de combler la distance récemment instaurée, tu redoutais dans l'immédiat qu'il ne s'avère pas enclin à la moindre proximité, aussi insignifiante ait-elle été. Mais quel ne fut pas ton soulagement en revanche, lorsque Levi lui-même s'était empressé de se débarrasser de son mégot de façon à renouer à votre complicité, ses pulpeuses percutant les tiennes, au point de te faire basculer directement contre les draps. « Ce n'était certainement pas pire, que pour toi. » Soufflas-tu amoureusement, ton visage dorénavant situé à bonne distance de celui de ton époux, dont tu ne tarderas pas à redessiner prudemment les pourtours du bout des doigts. « Non, j'aimerai mieux que tu me laisses faire. » Enchaînas-tu, tes lippes se heurtant instantanément aux siennes au travers d'un échange particulièrement langoureux, alors que ton palpitant ne cessa quant à lui de progressivement s'emballer, et dieu savait, que ça n'était certainement pas l'approche souhaitée par ton favori à cet instant précis, qui lui permettrait de s'apaiser. « C'est une bonne idée, j'imagine. » Vins-tu confirmer, dès lors que tes mains commencèrent à s'égarer le long de son torse, dissimulé encore sous son accoutrement, dont tu t'étais affairée à déboutonner chaque attache, de sorte à pouvoir l'alléger de ce dernier, les secondes qui suivirent. « Je t'aime. » Répétas-tu, peut-être pour la millième fois de la journée, tes lèvres cherchant par tous les moyens à tenter celles de ton époux, notamment en les effleurant de près, pendant que tes mains continuèrent de leur côté de s'insinuer plus vilement de part et d'autre. Effectivement, si l'une d'entre elles, s'était égarée à hauteur de sa nuque, l'autre poursuivait déjà son chemin à la lisière de son pantalon, dont tu ne tarderais pas non plus à faire sauter la fermeture dans la foulée, visiblement déterminée à prendre soin de ton époux, dans l'espoir éventuellement, de l'aider même temporairement, à s'évader de de ses raisonnements ô combien intrusifs.
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Sujet: Re: hold onto me 'cause I'm a little unsteady (sahar) Dim 12 Jan 2025 - 17:29
L’opportunisme n’aurait jamais pu être un motif de blâme à l’encontre de Sahar si on soulevait le fait qu’elle avait choisi d’épouser le membre le plus ruiné de la fratrie, elle qui ne l’avait jamais connu autrement que dans un gouffre financier. Et il était évident que Levi n’avait jamais ressenti le besoin de vivre au-dessus de ses moyens, préférant de loin la simplicité et la sobriété de leur mode de vie à celui qu’il avait pu entrapercevoir lors de ces retrouvailles. Sahar le connaissait mieux que quiconque pour savoir que ce milieu ne correspondait en rien à son idéal, notamment parce-qu’ils partageaient tous les deux les mêmes ambitions, les mêmes centres d’intérêt, rêvant d’une bâtisse isolée sur la côte australienne, où ils pourraient jouir de leur tranquillité. Ni plus ni moins. En rien ils n’aspiraient à crouler sous une fortune dont ils n’auraient certainement d’ailleurs aucune utilité si on s’en tenait à la manière dont ils vivaient, eux qui appréciaient davantage de déguster une pizza sous les draps plutôt que de flâner dans des dîners mondains. Ils évitaient d’ailleurs de se mélanger au reste de la population, préférant maximiser le temps qu’ils avaient ensemble, lorsque leurs obligations le leur permettaient. C’était aussi la raison pour laquelle ils s’accordèrent sur cette décision d’écourter la soirée au sein de la demeure familiale, préférant se retrouver l’un avec l’autre plutôt que d’avoir à affronter les regards des accusateurs des autres invités. Et ce fut dans une humeur pensive, presque décontenancée, qu’ils regagnèrent l’habitacle du taxi, Levi peinant visiblement à mettre des mots sur ce qu’il ressentait, sur l’incompréhension qui régnait autour de ce dernier aveu que sa tante lui avait fait avant qu’ils ne quittent la soirée. Fort heureusement, ils parvinrent rapidement devant leur hôtel, traversant une dernière fois les couloirs pour rejoindre leur chambre, là où ils pourraient enfin profiter de leur intimité retrouvée après avoir passé la soirée au beau milieu d’une foule d’inconnus. Levi se délesta de ses affaires une fois le seuil de la porte franchie, se délectant de quelques bouffées de nicotine qui lui parurent ô combien salvatrices. « Non, en effet. » Finit-il par avouer, secouant la tête en même temps qu’il admettait que ce fait n’aurait finalement rien changé au cours de la soirée, conscient que son esprit embrumé lui jouait des tours, Sahar étant présente pour lui rappeler l’essentiel. Son regard se figea d’ailleurs sur le sien à sa demande, prenant conscience d’à quel point il n’aurait pas pu être plus chanceux d’avoir une partenaire aussi dévouée, Levi se débarrassant aussi tôt de son mégot pour réduire à néant la distance qui les séparait encore, se jetant à corps perdu sur ses lèvres. « Dans quel monde j’te mérite moi…? » Souffla-t-il, presque comme une rhétorique, toujours pas convaincu d’être à la hauteur de ce que Sahar lui apportait quotidiennement, prolongeant leur échange langoureux, alors que son corps semblait réclamer ses mains qu’il guida d’ailleurs contre les boutons de sa chemise. Ce fut une vague de frissons qui s’étendit sur sa peau au passage délicat de ses doigts contre sa peau, son vêtement tombant au sol alors que ses pulpeuses effleuraient encore les siennes. « Je t’aime aussi. Tellement… » Murmura-t-il, captant son regard, un discret sourire étirant ses lèvres en percevant l’une de ses mains défaire l’attache de son pantalon, sa propre main remontant de son mollet jusqu’à sa cuisse, se frayant un chemin le long de la fente de sa robe. « T’es magnifique mon amour. » La flatta-t-il, son regard s’arrêtant sur ses courbes, jusqu’à son décolleté avant de revenir aux traits parfaits de son visage, emprisonnant une énième fois ses lèvres avant de prendre l’initiative de basculer sur le matelas, de sorte à ce que sa favorite puisse avoir accès à son dos.
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Sujet: Re: hold onto me 'cause I'm a little unsteady (sahar) Dim 12 Jan 2025 - 21:53
Malheureusement, Levi possédait de toi une vision à laquelle d'autres ne s'avéraient pas véritablement en mesure de prétendre. Les membres de sa famille, ô combien pantois face à l'apparition plus ou moins surprise de Levi, ne s'attendaient probablement pas à le voir qui plus est, accompagné d'une personnalité sortie, selon eux, de nulle part. Tu détenais certainement l'envergure d'une opportuniste, le comprenant essentiellement aux regards emplis de préjugés, lorsque quiconque se risquait encore à t'approcher. Pour autant, serait-il fabuler de prétendre que tu n'adhérais pas toi-même à cet apriori, sous-entendu que la situation plutôt modeste dans laquelle tu te trouvais, ne s'apparentait même pas de moitié, à la leur. Dans ce cas, restaient-ils préférable que tu renonces à tes propres états-d'âmes, repoussant fermement l'hypothèse de te laisser atteindre par l'opinion clairement dédaigneuse de ceux qui te côtoyaient pour la première fois. Néanmoins, fallait-il reconnaitre qu'en comparaison à l'accueil relativement glacial qui avait été réservé à ton bien-aimé, tu n'avais pas été la plus à plaindre, et tout comme lui, tu te réjouissais intérieurement à l'idée d'écourter les hostilités plus rapidement que prévu. Et le trajet retour fut d'ailleurs majoritairement silencieux, loin du tumulte habituel qui traduisait de votre impatience commune. Volontairement, tu fis le choix de ne pas rompre l'insonorité qui avait imprégné l'habitacle, consciente que si Levi lui-même ne conversait pas, c'est tout simplement parce qu'il ne désirait pas le faire, et donc, que tu ne possédais aucune légitimité à le contraindre. Les quelques échanges qui retentirent s'étaient avérés bien peu approfondis ainsi que rapidement écourtés par le véhicule venu se stationner directement devant votre établissement. À peine le temps de déambuler parmi les corridors de l'hôtel, ton corps toujours lové contre celui de ton bien-aimé, que ce dernier t'avait lui-même contraint à t'en détacher, non sans engendrer une certaine frustration te concernant. Venu tout naturellement se délester de ses premiers effets personnels, tu en fis également de même dans la foulée, chacun de vous optant cependant pour une direction différente à travers la pièce. Effectivement, alors que l'anglais se délectait déjà des premières bouffées blanchâtres imbibées d'un voile opaque à hauteur de la fenêtre, de ton côté, tu t'installas sur le matelas, tes iris imprégnées d'une lueur admirative épiant pas moins que chacun de ses faits et gestes. De fait, tu fis également ton possible, de manière à dédramatiser les circonstances relayées très probablement en boucle, consciente cependant, à quel point chaque détail possédait dans cette situation, toute son importance. Quel ne fut pas toutefois ton soulagement, lorsque tu le vis se précipiter à ta hauteur, percutant ainsi tes pulpeuses de plein fouet des siennes, ce qui t'obligea logiquement revoir ton positionnement. « À ta place, je me réjouirais pas autant. » Pouffas-tu discrètement, sous-entendu, qu'outre le fait que tu demeurais une épouse totalement dévouée et profondément aimante, tu n'en restais pas moins un cadeau ô combien empoisonné, dont seule une personnalité aussi dérangée que la tienne, était en capacité de contrôler. Profitant de cette proximité récemment initiée par ton amant, tu n'avais pas hésité à prolonger votre langoureux échange, tandis que tes mains, encouragées par les siennes, s'empressèrent de se débarrasser de son premier accoutrement, soulignant au passage, grossièrement les pourtours de sa musculature parfaitement dessinée. « On peut pas dire que t'aies beaucoup le choix, de toute évidence. » Vins-tu spontanément le provoquer, alors que l'une de tes mains s'était déjà égarée à niveau stratégique, c'est-à-dire, à la lisière de son pantalon, de façon à défaire là-aussi son attache. Néanmoins, un flux un tant soit peu perceptible échappa à ta vigilance à l'instant précis où les doigts de ton amant, parcourir eux-mêmes toute une partie de ta jambe. « T'imagines même pas à quel point j'attendais ce moment. » Gloussas-tu bêtement, tandis que tu arborais déjà une moue satisfaite lorsque ses émeraudes parurent ouvertement se délecter de la plupart de tes courbes, volontairement mises en valeur au préalable, afin d'attirer exclusivement son attention. Et après un énième échange, tu laissas finalement ce dernier basculer à son tour contre le matelas, de manière à pouvoir le surplomber, alors que tu détenais à présent, une vision privilégiée de son échine, que tu ne tarderais pas à manipuler dès les prochaines secondes. Positionnée au-dessus de lui, tes mains commencèrent d'abord à sillonner sa chair récemment dévêtue de part et d'autre. Tes doigts allant et venant le long de sa colonne, s'égarant le long de ses flancs à allure volontairement lente, avant de finalement s'attarder par intermittence à hauteur de ses épaules avec plus ou moins de fermeté, y admettant même, quelques mouvements circulaires. Pas une parcelle de son épiderme immaculé que tu n'avais épargné de ton désir de le satisfaire, ta paume épousant à son tour les courbes parfaitement marquées de son dos. Tu n'eus pour l'occasion, pas manqué de remonter à hauteur de sa nuque, déterminée malgré les apparences à ne lui accorder aucun répit. « Tu aimes? » Demandas-tu, manifestement concernée par le ressentie de ton époux, au-dessus duquel tu te penchas légèrement, de sorte notamment à laisser tes pulpeuses se délecter de sa chair, sans pour autant cesser tes délicates attentions.
STATUT : i’ll be yours for a thousand lives. (married to sahar ♡)
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : pur produit londonien, son accent le trahit presque automatiquement ‹ enfant unique, pressenti pour devenir l'héritier de l’entreprise familiale, prisonnier d’un destin imposé ‹ il a fui une première fois londres à ses dix-neuf ans pour les états-unis, en quête de liberté ‹ il y a mené des études de psychologie et d’art-thérapie ‹ méfiant maladif du monde extérieur depuis que la première fille dont il est tombé amoureux a joué les infiltrées pour son père en l’échange d’un joli chèque ‹ il a déjà vécu à bowen entre 2015 et 2017 ‹ levi, il a tendance à vivre à mille à l’heure, capable de se passer de nuits entières de sommeil, à tel point qu'il a souvent recours aux aides chimiques pour s'endormir ‹ passionné par les arts, il passe une bonne partie de son temps à libre à dessiner et à peindre ‹ sa situation l’oblige à rester discret depuis son retour à bowen, conscient des risques qu’il encoure en ayant fui une énième fois.
Sujet: Re: hold onto me 'cause I'm a little unsteady (sahar) Hier à 23:34
C’était sans doute ce pourquoi il ne s’attarderait jamais sur l’avis d’autrui concernant leur relation, tout simplement parce-que personne ne connaissait Sahar comme lui la connaissait, personne n’avait déjà entraperçu ses sensibilités, la beauté flamboyante que dégageait son âme, préférant de loin la cacher du reste du monde, pour ne la garder exclusivement que pour lui. Et il était clairement un euphémisme que d’affirmer que les critiques, même silencieuses des membres de sa famille, ne parvenaient en aucun cas à l’atteindre, lui qui savait qu’il n’avait plus rien à prouver à cette bande d’illustres inconnus, qui ne l’avaient d’ailleurs jamais reconnu tel qu’il était vraiment, revendiquant une différence qui n’avait jamais été acceptée. Avec Sahar, il n’avait jamais eu besoin de jouer, de chercher à être un autre, elle qui l’avait accepté avec ses fêlures, ses travers, jusqu’aux parties sombres de son âme qu’elle parvenait tous les jours à éclairer de son aura aimante et bienveillante. Ils n’avaient d’ailleurs pas hésité à se manifester l’envie d’en finir avec cette soirée, visiblement sonnés par la dernière annonce qui leur avait été faite, à propos de cet héritage qui viendrait très certainement chambouler leur quotidien. Pour le moment, il n’était pourtant pas question de se laisser submerger par la suite des événements, Levi désirant retrouver cette complicité qui liait leurs âmes, écourtant les bouffées de nicotine pour se ruer vers sa moitié, son corps basculant contre le lien dans l’élan fougueux de son baiser. « Tu rigoles ? J’suis le type le plus chanceux du monde. » Lâcha-t-il, en continuant d’effleurer ses pulpeuses, follement amoureux de ce qu’elle dégageait, de ce regard si particulier qu’elle posait continuellement sur lui. Et presque comme si c’était écrit, il se laissa de nouveau porter par son envie inarrêtable de l’embrasser, partageant un échange ô combien langoureux, où ses mains vinrent lentement chercher les siennes pour les inciter à lui enlever les couches superflues qui recouvraient encore son épiderme désespérément en demande du sien. « J’adore quand t’es comme ça. » Murmura-t-il, la dévorant littéralement du regard, sa paume parcourant toute une partie de sa jambe, entreprenant un chemin le long de sa cuisse, se frayant un passage sous sa robe. « Si. Parce-que moi aussi, je crevais de manque. » Souffla-t-il, expiant un soupir de soulagement en percevant les doigts délicats de son épouse s’arrêter à hauteur stratégique, le délestant de son bas après en avoir fait de même avec sa chemise. Levi, il se délecta de leur proximité, lui volant un dernier baiser avant d’inverser leurs positions, son abdomen s’allongeant sur le matelas, de sorte de laisser à Sahar tout le loisir de s’occuper de lui et de son échine à présent découverte. Il se trouva d’ailleurs incapable de réprimer un premier soupir au moment où il perçut les paumes de sa bien-aimée s’approprier son épiderme, avec une douceur dont il raffolait, frémissant aux caresses délicates qu’elle lui offrait et qu’elle maîtrisait à merveille, son corps entier se relâchant davantage à chacun de ses gestes. « C’est le paradis. » Lui répondit-il, paupières closes, de sorte à apprécier encore plus l’instant, elle qui pouvait aisément deviner les frissons se dessiner sur sa peau à ses mouvements contrôlés. « T’arrête pas mon amour. » Murmura-t-il, se pinçant la lèvre dans l’élan d’une détente que seule Sahar était capable de lui donner, mourant d’envie de sentir la douceur de ses lèvres sur l’intégralité de son corps. « Moi aussi j’vais avoir envie de m’occuper de toi après. » Ajouta-t-il, ses mains cherchant déjà à atteindre sa peau, effleurant ses jambes dans de lentes caresses.
i’m gonna love the hell out of you ○ take all the pain that you're going through. I'll bring you heaven if that's what you need ´cause you've always loved the hell out of me.
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Sujet: Re: hold onto me 'cause I'm a little unsteady (sahar)