Mon passé me suivra[Nim]

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Ce matin mon portable avait sonné, j'avais décroché et un mec avait commencé à m'insulte de tout ce qu'il pouvait trouver de vulgaire à mon égard. J'avais raccrocher évitent de balancer mon portable, direction la douche où l'eau chaude ne passais plus donc douche froide, je m'essuyais et m'habiller ensuite direction la cuisine pour manger et faire mon sac et direction l'université. Je regardais l'heure lors de mon contrôle, les heures passèrent vite et à la fin je me rendis au complexe sportif pour échapper à tous mes problèmes, je me changeais et dis bonjour à ceux qui étais présents. Je commençais au tapis et je courus pendant une heure, ensuite je fis des abdos et je vis celui qui dirigeait qui me fixait, je le vis arriver et il me parla me demandent ce que j'avais, je lui expliquais que je n'avais rien. Il préféra s'écarter et je partis faire des pompes et resta un moment à la verticale pour faire mes muscles et travailler le ventre. Je me reposais et mon portable sonna et je lis un message qui me montre mon père et ma mère en photo. Je serrais mon portable et partis au punching-ball et frappa dedans pour me défouler, bien sûr le punching-ball étais loin je ne vis pas une fille s'approcher qui surement aller me demander quelque chose quand je frappais un grand coup

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« t'avais commencé ta journée sous un mauvais signe. tu t'étais levée du pied gauche, comme disais les gens à paris. t'avais pas eu d'eau chaude sous la douche, ta serrure bloquait et tu avais mis cinq ans à retrouver tes clès. une envie de changement te pris au coeur et dégoutée, quittais le club de boxe où tu étais habituellement. tu avais une vilaine cicatrice sur la cheville qui te lançait encore. tu entrais dans un bâtiment miteux et délabré. devant toi, un blond qui avait l'air assez énervé se défoulait sur un sac. tu t'approchais avec un air mesquin pour voir ce qui le rendait si à fleur de peau. et d'un coup inatendu le sac dans la figure. tu le bloquais en envoyant ton poing dedans avant de la repousser et de rétorquer d'un air indigné «mais ça va pas ? t'as voulu me tuer ou quoi ?» tu le fixais, les bras croisés, attendant qu'il s'explique »

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J'entendis la jeune fille et m'excusa directement, je lui souris et m'assis et je dis que sa allais. Le patron resta à son bureau. Je m'assis en regardent la jeune fille et lui expliqua que l'ont m'avais mis à fleur de peau. Je lui proposa à boire et lui expliqua en claire que des personnes m'avais embêter au réveil et que je n'avais plus d'eau chaude, elle se mis à rigoler à ce moment là et je fus étonner. J'en juger quelle aussi avait des soucis avec l'eau. Je rigola également puis je me souvenus de sa dernière phrase et lui dis.

-Si j'aurais voulus te tuer, j'aurais fais autrement étant donné que je suis ancien militaire. Oui cela ne se vois pas, mais je le suis vraiment je suis rester un ans et demi dans la session, mais j'ai été toucher à la jambe, mais une simple cicatrice est visible. Mais bon je m'excuse pour le punching-ball, heureusement que tu ne l'as pas pris dans la tête, mais je t'aurais sauver de toute façon donc ne t'en fais pas.

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« il commença par te faire rire. un peu réticente, tu gardais tes distances. puis d'un coup il s'embarqua dans une tirade impressionnante qui te fis rire. «tu me prends vraiment pour une femmelette hein. je suis coriace ne t'en fais pas.» puis la fin t'arracha un sourire mesquin, c'était plus fort que toi « sauvée ? t'aurais fait comment. t'aurais arrêté le temps pour stopper le sac, puis tu m'aurais portée couragement jusqu'au urgences ? foutaises.» tu te retournais et regardais un peu la salle, avant te tendre la main. «nim» »

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Je souris face à son rire qui me réchauffa le coeur, c'est rare qu'une personne rigole de ce que je dis.Puis son idée de la sauvée en arrêtent le temps, me fis rire encore une fois. Elle me tendis la main et je la serra en disant mon prénom. Je lui dis que oui j'aurais pu l'emmener aux urgences, mais aussi arrête le punching-ball si j'aurais entendu un bruit ou bien la retenir d'une main pour quelle ne tombe pas.

-Enchanter Nim, moi c'est Duncan Landers, tu veux un combat avec moi? Je serais doux t'en fais pas. Mais j'aimerais bien que tu gagnes pour voir.

Elle accepta et ont se mis sur le ring et je commençais à donner quelque coup et elle aussi. Je lui fis une savate et elle tomba au sol, je rigola et tourna le dos et elle me pris par surprise et me plaqua au sol, je la regarda et la plaqua également et la regarda dans les yeux, elle était si belle que je voulais rester ainsi des heures.

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«Il croyait que tu plaisantais. Mon dieu il croyait que tu plaisantais ans quel pétrin tu t'étais fourée. Tu savais pas ce qui te retenait avec ce type alors que t'avais des miliers de choses plus intéressantes à faire. «Tu crois sérieusement que j'ai peur de toi? Je gagne les yeux fermés." »
Il tenta de te faire une savate. Tu fis semblant de basculer avant de l'attraper et de la plaquer à terre. Ok, t'était pas fair play. Mais en même temps, il se la mettait tellement que ça te mettait hors de toi. Un fois à terre. Tu te releva brusquement. Il te jouait le scénario du gars qui te regarde amoureusement pendant des heures. Grillé. Tu te frottas le smain et te retournais brusquement. Maxim,maxim,maxim,maxim. Tu ne pouvais pas regarder le blond dans les yeux sans penser à maxim. t'étais trop amou... Tu te repris les esprits et posant les mains sur ton visage. Tu reportais ton attention sur le blond. « A quoi tu joues ? Tu me prends pour qui précisément ? » »

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Je restais un moment au dessus d'elle, quand elle me poussa sur le tapis. Quand elle me sortis une phrase qui me revenu soudain, cette phrase qui me reviens et qui me réveille en sursaut chaque nuit si je me bourre pas de médoc. "A quoi tu joues?", je secouais ma tête et passais mes mains sur mon visage. Je revenus sur terre oubliant derrière moi les cris, les bruits des avions ennemis qui laisser tomber les bombes. Je sortis directement du ring pour aller dehors, je pris l'air 5 minutes et rentra. Une main sur mon tors se posa, la jeune fille se mis à m'engueuler et me demander ce qui me prenais.

-Excuse-moi je voulais pas te mettre mal à l'aise ou autre. Je suis désoler j'aurais pas dû, tu as gagner le combat. Je te laisses.

La douche, oui la douche j'en ai besoin immédiatement. Je me déshabilla et pris ma douche, je sorti avec la serviette pour aller prendre mes vêtements quand je vis la fille. Je fus étonner quelle sois là, je la regarda et lui demandais si elle allait bien.

-Tu es coriace toi, tu veux savoir quoi?

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« Il était vraiment bizarre ce type. Pour pas dire, il te faisais flipper. Mais bon, fallait passer au dessus. Tu filais sous la douche , t'avais toujours un sac avec toi. Tu frissonnais au contact de tes pied ssur le carrelage. Tu frissonnais en pensant que ce soir, tu devrais encore te ramener chez une pote. Parce que t'étais qu'une trainée, la fille qu'a nulle part où aller. Tu sortis quelques minutes plus tard, humais l'air, sentant les odeurs de sueur, plastique, et de sable, étrangement. Et encore l'autre. Tu ne savais pas ce qu'il te voulait. «Je devrais te retourner la question. J'ai pris une douche, ouais j'ai le droit» Tu haussais le ton sans même t'en rendre compte. il te donnais la chair de poule, sans savoir pourquoi » [/color]

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J'étais face à elle ma cicatrice étais voyante, celle de guerre bien sûr je soupira me demandent quand je pourrais m'habiller, mais elle était encore là je partis prendre mon sac et enfilais mon boxer, mes chaussettes, mon pantalon derrière une porte. Je ressorti tors nu et la regardais et lui dis.
Ecoute je suis navré pour ce qui c'est passé. Je sais pas pourquoi j'ai fais cela maintenant si tu me le permet, j'aimerais rentré chez moi et dormir tranquillement.
Prennent mon sac, je décidais d'aller chez moi j'avais envie d'appeler Enzo, mais pourquoi faire? Cela n'est pas le moment et aussi il vas pas me garder chez lui à chaque fois que je vais mal. J'entendis la voix de cette fille et je me retournais, la voyant courir vers moi.

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« "Et tu t'en vas comme ça hein?" C'était tout de même bizarre. C'était lui qui avait commencé, qui avait voulu un combat, qui te regardais comme une jolie fille dans la rue, et voilà qu'il se barre sans rien dire. "Enfin j'sais pas mais je t'ai vexé? T'es bizarre comme mec, tu me parles et tu te barres. Dans ces cas là, je me barre aussi." Tu affichais une moue dédaigneuse, et t'en allais sans dire un mot. Sans un regard vers cette salle de sport miteuse. Tu savais que tu avais poussé ton corps à ces limites, que tu ne pouvais pas encore reprendre le sport. Et tu repartis en boitant comme une conne, en cherchant ou tu allais dormir ce soir. »

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