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Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.

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 Je vais bien, ne t'en fais pas (Seamby)

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MessageSujet: Je vais bien, ne t'en fais pas (Seamby)   Je vais bien, ne t'en fais pas (Seamby) EmptyVen 6 Jan 2017 - 0:38

Seamus & Ruby
easy as a kiss we'll find an answer put all your fears back in the shade. don't become a ghost without no colour. cause you're the best paint life ever made

Catatonique. J’étais devenue catatonique. Assise dans un fauteuil, je fixai l’horizon tandis que les larmes coulaient sur mes joues. Ma sœur. Mon unique repère. Elle se savait malade. Par trois fois elle avait essayé. La quatrième fut la bonne. Je l’avais trouvé le lendemain du jour de l’an. Un hurlement et des supplications. A croire qu’elle avait prévu son coup. Qu’elle avait tout planifié. Ma mère fut m’arracher de force au corps inerte de Larà. Ses yeux étaient clos, elle était paisible. Dans ses bras, le kangourou que je lui avais apporté. Je n’avais pas trouvé le courage de répondre aux sms de mes amis australiens. Aux sms de Chase, de Freja et de Seamus. Je ne pouvais pas annoncer la nouvelle. Le déni. Je refusai de manger, de dormir. Je restai debout à regarder le vide devant moi. Ma mère essayait de me maintenir en vie mais je ne pouvais pas. Mon agent avait appelé trois fois. Nous devions entamer la promotion de la nouvelle saison en nous rendant à Londres. Mais je ne pouvais pas. L’enterrement n’avait même pas eu lieu. Il n’avait pas eu lieu. Mon téléphone sonna une énième fois. Je ne regardai pas. Alors depuis des jours, quelque chose jaillit de mes lèvres. Un hurlement et le mobile alla s’écraser contre le mur. Je regardai l’iPhone voler en éclats. Je n’étais pas satisfaite. Alors, je montai les marches de la petite maison de mes parents puis je saccageai ma chambre. J’avais supporté de m’être mariée complètement saoule à quelqu’un. J’avais accepté qu’on me rejette. J’avais accepté de servir de couverture pour rendre une fille jalouse mais je n’acceptai pas sa mort. « RUBY ARRETE, hurla mon cousin. » Il était massif. Plus grand que moi et me ceintura tandis que je voulus me dégager de son emprise. Il attendit que je me calme. Que j’essaie de me calmer. En pleurs dans ses bras. Une ombre vint se dessiner sur le seuil. Je me tournai vers elle. Ma mère avait les yeux aussi rouges que les miens même si elle savait que ce jour arriverait. Il était venu juste plus tôt. « Il y a quelqu’un pour toi en bas. » Je ne voulais pas voir de gens. Je ne voulais pas rendre de compte mais je suis écossaise et je dois faire face à tout. Alors, je me levai pour inspirer un bon coup en fermant les yeux. Des larmes continuèrent de couler, goutte à goutte. Il y a différents types de pleurs. De rage, de tristesse, de douleur. Il s’agissait des trois à la fois. Larà en prenant ses médicaments s’était dotée d’une massue et m’avait frappé en plein dedans. Je suis désolée a-t-elle écrit. Je suis désolée. Moi aussi. Alors, je rassemblai mon courage pour descendre les marches. Du moins, je restai plantée en haut tandis que mon regard se posa sur notre visiteur. J’étais comme pétrifiée.

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MessageSujet: Re: Je vais bien, ne t'en fais pas (Seamby)   Je vais bien, ne t'en fais pas (Seamby) EmptyVen 6 Jan 2017 - 3:38

ruby & seamus
pipe down now lover. it's failing 'cause you want it to. well, I thought it was love but I guess I must be dreaming

A la sortie de l'aéroport, tu laisses échappe un léger rire face à la météo. C'est fou, tu avais presque oublié que, dans vos pays, il fait moche. Bowen, c'est autre chose. Tu auras toujours une large préférence pour ton Irlande natale, mais il te faut avouer que tu aimes le soleil australien. Il faut dire qu'auparavant, tu ne t'étais jamais baigné que dans de l'eau froide. Ça change. Tu n'es venu qu'une seule fois en Ecosse, et pas à Perth. Tu es là de ton propre chef, cependant. Là où ils voulaient envoyer un assistant la chercher, tu t'es proposé. Il s'agit de ta co-star, ton amie, ton crush, et quelque chose cloche clairement. Tu devais la retrouver. On t'a donné l'adresse, il te suffit de sauter dans un taxi et tu rejoins la maison familiale des Phelps. Tu te demandes si c'est là qu'elle a grandi... Quelques minutes plus tard, la porte s'ouvre sur celle qui ne peut qu'être la mère. « Bonjour. » Immédiatement, la certitude générale que quelque chose ne vas pas est confirmée: elle a les yeux un peu gonflés, cernés et rougis par ce qui ne peut être que des larmes, le teint pâle. Dans quoi mets-tu les pieds ? As-tu bien fait de venir ? Ne devrais-tu pas faire demi-tour face à tel spectacle ? Au fond, tu es là pour savoir ce qui arrive à ton amie, tu ne peux te contenter de savoir que ça ne va pas chez elle. Tu dois savoir pourquoi, et comment aider si tu le peux. Tu tends la main à ton interlocutrice. « Je suis Seamus, un ami de Ruby. » Elle te rassure sur le fait qu'elle t'a vu à la télévision aux côtés de sa fille, et tu lui adresses un léger sourire, bien qu'inquiet face à la mine qu'elle affiche. Bon Dieu mais qu'est-ce qui s'est passé ici ? Invité à entrer, tu fais quelques pas à l'intérieur avant de pivoter vers ton hôte qui te propose une tasse de thé. Tu déclines poliment, et te risques à demander ce qui ne va pas. Tu provoques une crise de larmes, et ne sais plus où te mettre, t'excusant une bonne dizaine de fois avant qu'elle ne se calme finalement et ne t'annonce que la famille est en deuil. Tout s'explique. « Je suis navré. Je n'avais pas l'intention de... Toutes mes condoléances, madame. » Après t'avoir rassuré une seconde fois, et sans préciser qui est décédé, elle disparaît dans les escaliers pour prévenir Ruby de ta présence. Pas sûr que cela lui plaise, mais elle ne peut se cacher indéfiniment sans donner de raison, et tu veux être là pour elle. Lorsqu'elle apparaît à l'étage, tu te redresses prestement et ne peux que remarquer l'état dans lequel elle est. Dévastée. « Oh, Ruby... » Tu escalades les marches qui vous séparent et la prends dans tes bras sans rien ajouter.

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MessageSujet: Re: Je vais bien, ne t'en fais pas (Seamby)   Je vais bien, ne t'en fais pas (Seamby) EmptyVen 6 Jan 2017 - 20:08

Seamus & Ruby
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Je n’étais pas prête. Pas du tout. J’étais revenue parce que ma famille me manquait. Parce que l’Ecosse me manquait. J’ai toujours été nostalgique de mon pays. C’est sans doute pour ça qu’on m’a engagé dans cette série alors que mon audition fut catastrophique. Parce que j’étais patriote et que la première saison avait eu lieu dans mon pays natal et en Irlande, le pays de Seamus. Je n’arrive plus à penser tellement mon esprit est vidé. Mon cœur est brisé. Je me souviendrai toujours de la soirée de la veille où nous avions tous ri des pitreries de Conrad, mon cousin. Ce dernier nous avait servi ses séquences de mimes et elle avait ri. Je trouve que le suicide est un acte lâche. On ne pense pas aux gens qu’on laisse derrière. Ou justement Larà n’y a que trop penser. Jamais elle n’aura son premier baiser, jamais elle n’ira à son bal de promo, jamais elle ne connaitra ce sentiment qui m’est étranger. Jamais, elle n’aura d’enfants. Jamais. Ce mot revient sans cesse en mémoire tandis que je contemple les débris de mon téléphone qui est au sol. Ma mère arrive catastrophé pour me dire quelque chose mais je ne l’écoute pas. Lorsqu’elle me donne à boire, me force à manger, essaie de m’administrer un calmant. Rien ne fonctionne. Vêtue d’un pantalon noir, d’un col roulé de la même couleur, je portais clairement plus le deuil que mes parents. Sans doute s’y attendaient-ils ? Sans doute les avait-elle prévenue ? Je monte les escaliers qui mènent à l’étage. Je ne peux pas aller dans sa chambre. Je n’y arrive. Je commence à tout détruire mais Conrad me ceinture tandis qu’un hurlement douloureux sort de mes lèvres et que je reste un moment à pleurer dans ses bras. La belle poupée de chiffons rousse à la peau pâle était désormais brisée. Ma mère vint me trouver pour poser une main sur mon épaule et me signaler que quelqu’un attendait en bas sans plus de cérémonial. Je ne voulais pas voir les autres. Lorsque mon regard rencontre celui de Seamus, je me sens plus vulnérable que jamais. Il monte les marches à une vitesse folle avant de me prendre dans ses bras. « Je vais bien, ne t’en fais pas, murmurai-je. » Ma mère, une femme assez petite et brune, ce qui est étonnant, passe à nos côtés. « Vous devriez la faire prendre l’air. » Je croise le regard bleuté de ma génitrice. Je soupire alors avant de glisser ma main dans celle du nouveau venu pour l’entrainer en bas des escaliers. Je me chausse de mes moon boots, mets ma grosse écharpe crème. Puis, je siffle Zéro qui arrive tout content. Lorsqu’on sort, la neige avait commencé à tomber. « Donne-moi une cigarette, lançai-je à Seamus. » Moi qui détestais la cigarette, qui passais mon temps à faire la chasse pour qu’il évite de fumer. Je lui en demandai une. Donnant un aperçu. « Elle adorait la neige. » Je me mis sous les flocons pour incliner ma tête en arrière. « T’as des frères et sœurs Seamus ? »

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MessageSujet: Re: Je vais bien, ne t'en fais pas (Seamby)   Je vais bien, ne t'en fais pas (Seamby) EmptySam 7 Jan 2017 - 0:15

ruby & seamus
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Ruby t'a tout de suite plu. En tant que personne avant tout. Douce, timide, intelligente, avec un côté fragile, elle était tout simplement adorable durant son audition. Tu l'appréciais avant de commencer à t'intéresser à elle, et le boulot n'est selon toi plus la seule chose qui vous lie, du coup le silence radio de ces derniers jours t'inquiète plus qu'un autre. Abandonner le tournage du jour au lendemain ne lui ressemble pas, tu ne peux décemment pas la laisser disparaître sans savoir ce qu'elle traverse. Car quelque chose cloche forcément. Tu vas paraître envahissant -encore plus- mais c'est un faible prix à payer pour avoir de ses nouvelles après des dizaines d'appels manqués et de messages restés sans appels. Aux grand maux, les grands remèdes, tu n'avais pas trop le choix. Entre attendre une éventuelle réponse durant tu ne sais combien de temps et faire un tour en Ecosse, le choix était vite fait. Tu es donc à Perth, bientôt chez les Phelps, et tu ne sais pas ce que tu vas dire à Ruby. Tu supposes que ta présence va la surprendre, reste à voir si ce sera positif ou non. Ton assurance s'évapore une fois face à la mère de ton amie et son air triste. Venir n'était peut-être pas l'idée du siècle. Crise familiale, qu'est-ce que tu fais en plein milieu. Eh bien tu réconfortes, c'est à peu près tout ce dont tu es capable au vu des circonstances. Tu commences par ton interlocutrice, bien que tu t'y prennes un peu de travers puisque tu n'étais pas au courant. Tu finis seule dans l'entrée, ton hôte étant partie chercher sa fille. Tu réalises que tu ne sais pas grand chose sur la famille de Ruby, tout comme tu ne lui as jamais parlé de ton clan. C'est un peu trop compliqué, de toutes manières, et tu n'as jamais aimé parler de toi. Raison pour laquelle les interviews sont un calvaire, tu as pour habitude de ne jamais donner les même indications aux différents journalistes. Un jeu qui énerve, mais tu aimes à penser que tu as encore droit à une vie privée. Tes pensées sont effacées par l'arrivée de la jeune femme, tu lèves les yeux et croises son regard, similaire à celui de sa mère: hanté. Tu la rejoins rapidement, l'enlaçant simplement, comme si tu pouvais par ce simple geste arracher ou au moins partager sa peine. Vous vous séparez lorsque sa mère passe auprès de vous et te conseille de la faire sortir un peu. L'idée n'est pas mauvaise, Ruby est d'ailleurs la première à y réagir. Elle te prend par la main et vous vous retrouvez en bas des escaliers. Tu suis ses gestes du regard, sans rien dire, et ouvres la porte une fois qu'elle est prête, la laissant passer. Il neige, tu pourrais sourire mais l'envie t'es soudainement passée. Lorsqu'elle te demande une cigarette, tu la jauges avec stupéfaction mais ne peux le lui refuser, un débat à ce sujet n'est pas vraiment ce dont vous avez besoin. Tu sors donc ton paquet, attrapes une cigarette pour toi et le lui tends, cherchant ton briquet dans ta poche. Une fois dégainé, tu allumes sa clope, puis la tienne, et regardes les flocons tomber au milieu de la fumée que tu produis. Tu n'oses pas la regarder, pas même lorsqu'elle reprend la parole. Tu comprends peu à peu qui n'est plus. « J'ai une soeur. Demi-soeur, l'aînée de mon père. Je... On ne se connait pas vraiment. » Tu pivotes vers elle. « Tu veux en parler ? » Si non, c'est tout à fait bon pour toi aussi. Tu veux juste aider, tu attends de savoir comme tu le peux.

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MessageSujet: Re: Je vais bien, ne t'en fais pas (Seamby)   Je vais bien, ne t'en fais pas (Seamby) EmptyDim 8 Jan 2017 - 22:52

Seamus & Ruby
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Ce sentiment que j’ai ressenti depuis la naissance de Larà. Cette attente de la mort imminente d’un proche. Tu le vois qui dépérit sous tes yeux, tu le vois devenir de plus en plus faible. Larà ne perdait pas que la tête, son corps s’affaiblissait également. Je ne sais pas si on peut parler de courage ou de lâcheté. Tu sais que tu vas mourir, tu la vois arriver devant toi et tu disparais. La vie n’est que volatile en fin de compte. J’ai des rêves d’amour, de famille mais pour quoi faire puisque nous étions tous voués à la mort ? Je me revois tenir le corps froid et sans vie de ma sœur, je me revois la bercer et pleurer. Pas un son n’est sorti de ma bouche. Sauf ce hurlement qui trahissait ma souffrance. Je n’y tenais plus. Je voulais fuir. Je voulais me tenir au bord d’un précipice et choisir je devais sauter ou non. La fuite, c’est tellement une solution de lâche. Dans une série que je suis, on peut être capable de fuir ses émotions. On peut les éteindre. Pourquoi est-ce qu’on ne peut pas le faire dans la vraie vie ? La perte d’une sœur ou d’un frère, d’un membre de sa famille laisse un vide en soi dont on ne se remet jamais. Je sais que je ne me remettrai jamais pleinement de la mort de ma sœur. Je sais par avance que je vais passer des temps sombres. Je sais que je vais sans doute perdre tout le monde. Je m’en rends compte. Personne n’aime côtoyer une dépressive. En face de Seamus, je me sens plus fragile que jamais. Comme si j’étais faite de verre. Comme si je risquai de me briser. Pourquoi était-il ici ? Je ne savais pas. J’avais envie de le repousser. Instinct défensif. On a tellement peur de perdre les personnes qui nous sont chers, de nous faire souffrir qu’on les repousse, très très loin. Sous la neige, je laisse les flocons tomber sans réellement les sentir. Seamus accède à ma requête docilement et me donne une cigarette. Je le laisse l’allumer sans la porter à mes lèvres. Je me contente de la laisser se consumer comme j’ai laissé la vie de Larà s’échapper. Je regarde cette petite chose brûler tout en parlant à mon partenaire de jeu. « Tu devrais te rapprocher d’elle, dis-je d’une voix éteinte. » La petite chose se retrouve rapidement noircie et me brûle les doigts. Je la jette alors dans la neige avant d’avancer dans ce qui commençait à ressembler à un épais manteau duveteux. J’arrive jusqu’à une balançoire pour dégager le siège et m’asseoir. Je penche la tête sur le côté tout en laissant les chaines s’enrouler. « Elle était mourante. Malade. Handicapée de naissance d’où mon engagement auprès des enfants malades. » Ma voix me semble si lointaine. « Je n’ai rien vu. Elle est montée dans sa chambre après le jour de l’an et je n’ai rien vu. » Je lève alors le regard vers lui. « C’est… C’est moi… » Je te laisse donc imaginer mon bel ami. Je me tais donc. Je n’ai pas parlé avec quelqu’un depuis sa mort et me voilà qui contait sa mort. Je tends doucement la main vers lui, paume vers le dessus. « Est-ce que tu resteras avec moi ? »
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