(TC ouverture) Ouverture de la librairie A livre ouvert

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Cela faisait 6 mois que tu avais eu cette idée. Et 6 mois que tu étais à Bowen, une petite ville Australienne. Cela te changeai des grandes villes américaines. Mais il fallait avouer que tu appréciais cette ville, ce changement. Tu laissais tomber les tournages pour changer d'horizons et ouvrir une librairie. En te baladant dans la ville tu en avais vu quelques unes mais elles étaient vraiment très petites et les livres s'entassaient un peu partout.

Pour le moment tu étais seule. Tu venais de tout terminer pour pouvoir faire une petite soirée d'ouverture. Tu espérais que des habitants viennent dans ta librairie ce soir. Tu avais créer une page facebook et également une page instagram où tu postas ta première photo. Quelques hashtags pour attirer des gens. Tu verras bien.

Tu avais fais pas mal de petits fours maisons et avait apporté quelques bouteilles de champagnes et jus de fruits pour les personnes ne buvant pas d'alcool. Tu avais prévu moins d'une centaine de personnes, en espérant avoir suffisamment de verres. Ce soir tu étais habillée d'une robe rouge et t'étais maquillée de rouge à lèvre carmin. Tu attendais les premiers arrivant devant un comptoir remplis de nouveautés contemporains en poche. C'était bien la première fois que tu stressais.

feat ouvert à tous !

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Aujourd’hui était un jour spécial, c’était l’ouverture de la boutique de ton amie. Une librairie qui lui faisait envie depuis longtemps. Tu connaissais Jenna depuis longtemps, vu que vous aviez partagé l’affiche d’une série tous les deux, à Los Angeles. Et vous étiez souvent parti en vadrouille ensemble aux Etats-Unis pour tourner cette série gargantuesque. Romy était toujours à l’hôpital, tu allais la voir avec Arthur tous les jours. Mais tu avais aussi besoin de prendre du temps pour toi. Après tout, il le fallait. Après une multiplication de questionnement sur ta vie personnelle, tu avais décidé de profiter de cette soirée. Arthur était chez un de ses oncles avec ses cousins. C’était le mieux pour lui, qu’il se retrouve en famille pendant cette période un peu compliquée. Te regardant dans le miroir, tu regardais comment tu étais habillé. Une simple chemise blanche, un jean noir et des jolies chaussures. Tu essayais ton chapeau avant de l’enlever. A chaque fois que tu le mettais, tu entendais les doux mots de ton fils qui te disait : papa tu ressembles à un rabbin avec ce chapeau, c’est pas beau. Il ne te manquait que les cheveux qui dépassent du chapeau et le tour était joué. Alors tu l’enlevais et tu prenais ta veste au vol et tes clefs avant de prendre la route vers la librairie de Jenna où tu arrivais rapidement. Elle avait mit le paquet, c’était tout beau. Tu t’empressas d’entrer à l’intérieur pour la saluer. « Hey Jen’ ! » dis-tu en la voyant au loin, les bras ouvert. Pour la saluer, tu la serras dans tes bras. « Félicitations, c’est vraiment cool ce que t’as fais ici » dis-tu en regardant un peu partout dans le bookstore.

@Jenna Shellstrop

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C'était quelque chose qu'il aimait faire -se donner le droit de faire- que de se balader tranquillement le soir à l'heure où tout le monde rentrait chez eux retrouver les leurs. Lui retrouvait une liberté qu'il s'était de trop rares fois permis de goûter avant que sa "disparition" ne soit découverte, avec les conséquences qui allaient avec. Il profitait certes de ce sentiment tout neuf de pouvoir aller où bon lui semblait, mais surtout il tournait en boucle tout ce que sa "fuite" des Etats-Unis risquait d'induire. Et alors que la chose primordiale était de protéger autant Scarlert que surtout, Judas. L'un et l'autre avaient bien assez souffert autant de sa disparition que sa réapparition 14 ans après. Toute une vie ! Et il pouvait le dire puisqu'il y avait eu un autre Kirke pour le remplacer... Alors que c'était plutôt une bonne chose pour ses parents et que son petit frère n'y était pour rien.

Ce qui ne l'empêcha pas de combattre une nouvelle fois l'amertume qui lui montait en bouche à cette idée, alors que son regard était attiré par une vitrine encore illuminée. Une librairie... Et avec le dernier exemplaire de sa série de livres en vitrine. Il n'arrivait toujours pas à s'y faire... Lui qui n'avait rien vu de ce succès pendant toutes ces années, si ce n'est par la pression de son éditeur à écrire encore et encore... Et le tout sans internet, bien sûr ! Il en secoua la tête face aux souvenirs pas si lointains qui affluaient et se décida à bouger. Pour faire la chose la plus logique et entrer dans la boutique. Après tout c'était allumé et la porte était ouverte. "Bonsoir..." Une timide salutation lancée à la cantonade alors qu'il faisait le tour des lieux du regard, soulagé de voir que c'était bel et bien ouvert au public. Avant de s'intéresser à la quatrième de couverture du premier livre qui lui tomba sous la main, autre que le sien !

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Tu n'attendis pas longtemps avant que des personnes n'entrent dans ta librairie. La première personne passant la porte de ton lieu de travail était une personne que tu connaissais très bien. Thomas. Vous aviez joués ensemble dans la même série Netflix. Tu l'avais perdu de vu depuis que tu étais partis des Etats Unis pour venir à Bowen. Tu ne pensais pas du tout le croiser ici, surtout dans cette ville. Il aurait tout aussi bien se trouver dans n'importe quelle ville australienne ou une autre ville du monde. Tu te demandais bien pourquoi il était venu ici. Tu souris en le voyant et celui-ci s'approcha de toi en te serrant dans les bras. Il te fit un compliment sur la librairie. "Salut ! Tu as pu avoir un peu de temps devant toi pour passer à ce que je vois. Oh je n'ai pas fais grand chose, j'ai juste acheté le nécessaire. Tu veux boire quelque chose ?". Alors que tu venais tout juste de terminer ces paroles, tu vis une autre personne entrer dans ta librairie. Il s'agissait de l'auteur du dernier livre que tu avais mis en vitrine. Un auteur assez connu était entré dans ta librairie ! Tu poussas un soupir et t'avanças vers lui, laissant quelques secondes seul ton ancien collègue. "Bonsoir monsieur...Davis si je ne me trompe pas ? Bienvenue dans ma librairie. Vous souhaitez boire quelque chose ?"

@thomas rankin et @joe davis et d'autre gens si vous voulez :3

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Cherchant à se faire très discret dans son coin, il reposa le livre qu'il tenait en main sur sa pile parce que les histoires de meurtre, c'était un peu... Ou plutôt trop... Bref, il allait éviter et tenter un autre style littéraire ! Et dans une librairie, ce n'était pas ce qu'il devait manquer. Il allait donc s'enterrer un peu plus profondément dans le dédale de livres lorsqu'il fut alpagué par son nom, alors qu'il était absolument sûr de ne pas connaître cette jeune femme. Visiblement propriétaire de cette librairie... La regardant décontenancé, il lui fallut quelques seconde pour réaliser qu'elle devait apparemment avoir lu ses livres... "Oh... Oui, je suis désolé. Je suis bien Joe Davis, je ne m'attendais juste pas à ce qu'on me reconnaisse. En tout cas, c'est vraiment un bel endroit que vous avez su créer là." Lui souriant, un peu gêné par la situation, son embarras s'accentua à sa proposition de verre. "Si vous auriez quelque chose sans sucre et sans alcool ?" Et en plus, il jouait la célébrité casse-bonbons ! Il rajouta en grimaçant alors qu'il expliquait. "Je suis diabétique. Donc même de l'eau, ça ira bien !" Fichue maladie... Mais c'est qu'entre son poumon et son pancréas, il commençait à lui manquer quelques organes, considérés comme pourtant essentiels.

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Libary : A livre ouvert

D'un air songeur... Les orbes vitreux, s'attardant sur ta spacieuse terrasse aux dalles d'un blanc immaculé, voguant sur les fines gouttes azurées, tu laissais s'échapper de tes lèvres rosées, un soupir, aussi léger qu'une simple, une futile brise glacée... Désirant sur l'instant présent, te laissait au gré des flots apaisant de ta piscine privée, tu te savais pertinemment, parfaitement, que la réalité devait reprendre ses droits sur les pas de l'imaginaire, pour ainsi demeurer présente, aider, si elle le désirait, ta meilleure amie : Jenna. Ce doux visage envoûtant, pénétrant, dans lesquels tu t'étais toujours noyé, au demeurant... Ces orbes bleutés, que tu aimais tout particulièrement t'attarder, ce mignon petit rictus, ce rire cristallin que tu appréciais d'écouter, à longueur de journée, de temps. Qui, à dire vrai, arrivait irrémédiablement, à te remonter le moral. Sans précédent... Sa joie incontestée, sa fraîcheur invétérée... Son petit côté pétillant... Cette douce jeune femme, à la crinière de feu, tu l'adorais, plus que la nécessité... En ce début de soirée, parait de fols cotillons, de lumières tamisées, qui se voulait fort bien prometteur, tu te devais d'y assister. Parce qu'à vos billes chatoyantes, cela vous importait... Un salon de thé, une magnifique bibliothèque, bel et bien, fournie... Quelques clichés animés, afin de garder, sur le blanc papier, de nombreux souvenirs qui resteront à jamais graver, égrener, dans la stratosphère. La rendant des plus féeriques, éblouissantes... Des bouteilles aux fines dorures cristallisées, pour fêter l'événement, des petits fours jonchant les plateaux d'argent. Oui, cela promettait d'être une magnifique ambiance, une florissante nuit. Pour rien, en ce bas monde, tu ne manquerais cela. Point pour cette charmante, séduisante demoiselle, dans tous les cas... Tu te fendisses d'un mignon petit rictus, rien que d'y songer, lorsque, bien promptement, ta dite, douce et tendre moitié t'extirpait de ta folle torpeur, s'agenouillant à même le sol frais, à tes pieds. Posant délicatement ses mains rugueuses, calleuses, à tes cuisses, tout en t'y déposant, dans la volée, quelques doux baisers, dont le contact t'arracher un long frisson, qui parcourait ton échine. « Nous ne sommes pas obligés d'y aller, ma fleur empoisonnée... » Te confessait-il, sans le moindre détour. D'une voix qui se vouait tendre, suave. Effleurant, remontant sa bouche vers ta chaude intimité, qui te fisse soupirait de plaisir lascif, bien malgré toi, te mordant la lèvre inférieure, pour laisser ta respiration saccadée s'évanouir, néanmoins que la raison tentait de te fuir, sans contritions. De tes petits doigts de fées, tu te surprisses à caresser, délicatement, ses bras musclés, ses cheveux bruns, scintillants. Soigneusement coiffés. « Tu sais bien que je ne peux pas lui faire cela, chéri. Je le lui aie promis... » Rétorquais-tu, presque d'un murmure, cependant que ton magnifique apollon à la carrure magnifiquement imposante, parfaitement sculptée, remontait son doux visage envoûtant, pénétrant, au niveau de ton ventre plat, lisse, jusqu'à ta poitrine même, où il t'administrait le même traitement, qui ne semblait guère t'aider à te raisonner... Non... Il ne pouvait faire cela... Tu allais finir par céder, par devenir totalement folle à lier, si ce dernier continuait ainsi, dans sa lancée... « Évidemment que j'en ai conscience que cela compte pour toi, seulement... J'ai l'impression, en ce moment, que tu m'échappes, que tu t'éloignes de moi et ça me rend fou. Tu me rends fou. » A ces quelques paroles pertinentes, intimement placées, tu te risquais à le toiser, tendrement. Bien que tu te sentais pour le moins embarrassée, il est vrai, alors que ton bien-aimé se mit à capturer tes lèvres - baiser fougueux, passionné, que tu lui retournais, le temps de quelques longues minutes durant, à mesure que tu posais tes mains en coupes, sur ses douces joues de nacre. Geste qui le fisse gémir de plaisir, à son tour, néanmoins, que, des siennes, il s'appuyait contre ton être, ta frêle silhouette, pour t'aider à te rapprocher davantage de lui. Ne voulant rompre cette tendre étreinte... D'une certaine manière, il n'avait point tort... Cette distance que tu avais instaurée, imposée, au sein de votre couple, se montrait, sans nul doute plausible, des plus cruelles, pernicieuses à l'égard de Montgomery, mais tu devais le concevoir... Donner le change, sourire, telle une idiote balafrée à ses côtés... Montrait aux petites gens, que tu te sentais parfaitement heureuse, épanouie, cela ne devenait que trop pénible à supporter, par moments... Davantage avec ce qu'il te faisait subir à chaque minute, au demeurant... Alors que ton esprit tourmenté, ébranlé se trouvait absent. L'âme accrochée, envers le seul être que tu désirais, convoitait, à longueur de temps. Clark... En ce moment, c'est lui que tu voulais retrouver. Demeurer dans ses bras tatoués, musclés. Alors que ton palpitant s'emballer, se resserrer sensiblement. Au point d'imploser, colorer vos murs de son amère odeur de rouille... « Tu m'appartiens, bijou. Ne l'oublie pas. » Achevait-il, d'un ton mélodieux, cristallin. Bien qu'on y décelait une pointe possessive, emplie de fermeté. Comme pour te faire saisir l'essence même, que tu ne devais le contrarier. Bafouer son autorité... Sombre rappel, qui te fisses serrer les dents d'amertumes, sur l'instant présent. Non... Il fallait te conformer à cette idée... Du moins, si tu espérais de toute ton âme, pouvoir te dérober à sa vue désenchantée, retrouvait ta magnifique, ravissante Jenna, le temps de quelques heures, timidement volées... « Il n'y a aucun risque, trésor... Je t'appartiendrais toujours. Quoi qu'il arrive. » Tentais-tu de le convaincre - de croire, toi-même, en tes propres mensonges décuplés. Finement tisser de sa toile déferlante, qui te mettait sur le bas-côté. Le sol s'écroulant sous tes pas. Bien plus que tu n'osais révéler - avant même de lui déposer, finalement, un furtif baiser sur ses lèvres, son nez, afin de mieux te faufiler, le couper net dans sa lancée, qui se voulait de te retenir de son emprise. Comme le disque rayé d'une chanson, ne cessant guère de défiler. Oui, c'était ainsi qu'il le concevait... Qu'il ne voulait que tu accordes autant d'intérêts, envers tes amis, tes proches, que, pourtant, tu aimais... Ainsi, tu passais la ligne rouge, braver l'interdit, pour retrouver ta douce Jenna, ta meilleure amie.

Sortant de l'habitacle, la verrouillant dans la foulée, voilà que tu arrivais sur le seuil de la librairie de la séduisante, envoûtant petite rousse, qui, au travers des fines parures vitrées, cristallisées, de la devanture, tu ne pusses t'empêcher de te fendre d'un mignon petit rictus, te sentant agréablement surprise, hébétée des étagères parfaitement alignées, ranger de ses précieux ouvrages, qui prônaient gracieusement, de part et d'autres, tout en restant des plus épurés, soigneusement organisés. Tu devais le confesser, c'était magnifique. Elle y avait mis le paquet, l'avait mis à son avantage, tout en ajoutant sa petite touche personnelle, que tu ne connaissais que trop, à dire vrai... Tu ne savais point si tu avais, bel et bien, fait, mais tu avais pris le temps nécessaire de t'amener, avec une bouteille de champagne, de quelques jus de fruits vitaminés. D'eau, également. On ne savait jamais. Tu avais apporté, tout autant, quelques douces pâtisseries - les meilleures de toute la ville, qui plus est. Autant gâter les convives, encourager ta charmante amie. Ce serait la moindre des choses que tu puisses faire, exécutais, avec un plaisir certain... Paré d'une légère robe, aux doux reflets de vert, tu ouvrisses la poignée de cette porte blindée, avant même d'adresser un léger signe de tête, en guise de salutations courtoises, envers les deux jeunes hommes, qui demeurèrent présents, sur l'instant, dans la pièce, suivi d'un mignon petit rictus, à mesure que tu te dirigeais, de ta démarche gracieusement dansante, en direction de ta pétillante Jenna, que tu te risquais à prendre, délicatement, dans tes bras. « Bonsoir, ma chérie. » Lui soufflais-tu, presque d'un délicat murmure, néanmoins que tu effleurais ses fins cheveux étincelants, magnifiquement ondulés, soigneusement coiffés, le temps de quelques longues minutes seulement, avant de te reculer légèrement, pour lui gratifier d'un charmant rictus, tout en portant ton attention sur la décoration scintillante, les lumières tamisées, qui rendait l'instant si chaleureux, féerique. Tu le consentais. « Si je peux me permettre, tu es absolument magnifique ! Puis, vraiment, ce que tu as fait de cet endroit, c'est... Il n'y a pas assez de mots pour le décrire... C'est vraiment splendide, absolument divin ! Vraiment, je tenais à te féliciter, pour tout ce que tu as fait. » Ajoutais-tu d'une voix douce, cristalline, à mesure que tu te parais de ton sac en toile, où tu en sortais, fort bien discrètement, les quelques bouteilles, le fin carton, empli de douceurs sucrées, les dévoilant dont, au doux regard envoûtant, pénétrant de la sublime demoiselle. Bien que tu te sentais des plus embrassées... Et si cela se présentait comme une vile étourderie, une fieffée filouterie, un peu trop entreprenante, de ta part ? Tu n'espérais guère froisser, contrarier ta chère Jenna. Bien au contraire... « Je... Je ne sais si cela est une bonne idée, mais je t'ai apporté quelques boissons, des pâtisseries de toutes sortes, pour tout le monde. Juste au cas où... Tu sais... » À dire vrai, on ne sait jamais... Il ne pouvait, ne point en avoir assez, qui sait ? Bien que, toutefois, si cela était de trop, tu pourrais aisément les conserver, l'offrir pour le compte personnel de la resplendissante rousse. Elle le méritait, bien plus que la nécessité. « Mais toi, comment vas-tu, surtout ? Tu n'es pas trop stressée ? » Te risquais-tu à la questionner, toujours de ce ton mélodieux, suave. Souriant, encore et toujours, telle une idiote balafrée. Bien que tu dusses te l'admettre, tu te sentais des plus enchantées, heureuse de la retrouver.

Invité

Evidemment que ce soir, tu allais passer la soirée à la librairie de ton ancienne co-star. Avec Jenna, vous vous connaissiez depuis longtemps maintenant. Alors quand tu franchissais la porte de la boutique, tu élargissais un sourire pour aller la saluer. « J’allais pas manquer ça quand même ! » dis-tu toujours avec un sourire. Tu avais remarqué que tout était bien décoré et qu’il y avait un joli buffet de présent sur la table. « Je dis pas non, tu me connais » dis-tu en te servant un verre qui était posé sur la table. Tu arpentais les couloirs de la librairie très rapidement avant de te retourner vers ton amie. « C’est franchement cool ce que tu as fais là, félicitations » dis-tu en levant ton verre à la rousse. Un jeune homme entrait dans la librairie que tu saluais en même temps que ton amie et quelques secondes plus tard c’est une autre femme qui entrait, une grande blonde qui semblait bien connaître Jenna. Quand le jeune homme se présentait, tu lui tendais la mains pour te présenter à ton tour. « Enchanté, Joe, je suis Thomas Rankin » dis-tu avec un sourire. « On va bien vous trouver un petit quelque chose à boire sans sucre et sans alcool, allons » dis-tu en regardant toutes les choses qu’il y avait sur le buffet qu’avait préparé ton amie.

@Jenna Shellstrop @Joe Davis

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A peine poussé la porte, le charme cosy de la librairie faisait son office, vous mettant aussitôt à l'aise tout en vous surprenant agréablement. On s'y sentait bien et les profonds fauteuils moelleux vous donnaient juste envie de tendre la main vers la premier livre qui se présentait à vous. Chose qu'il avait d'ailleurs fait, avant de rapidement le reposer à la lecture de la quatrième de couverture. Ce n'était pas tant l'ambiance noire décrite qui le faisait fuir puisque ses propres romans étaient avant tout des thrillers psychologiques assez sombres -et pour cause puisqu'ils étaient tous de près ou de loin liés à sa propre histoire personnelle- mais il ne parvenait juste plus à lire les descriptions de meurtre. Il avait donc reposé le livre prêt à en choisir un autre lorsque la propriétaire de la boutique le reconnut. Et c'était toujours aussi déroutant. Peut-être qu'un jour, il parviendrait à s'y faire mais en attendant, il ne savait toujours pas comment y réagir. Chose qui ne s'arrangea pas lorsqu'elle lui proposa à boire et qu'il dut émettre les réserves habituelles aux diabétiques.

Par chance, une amie de la propriétaire des lieux fit rapidement son entrée en affichant un enthousiasme et une spontanéité bien plus marqués que les siens ! Souriant et après avoir répondu à ses salutations, il s'apprêtait à se mettre en retrait pour les laisser se retrouver lorsqu'un homme vint de façon très naturelle se présenter à lui. Chose dont il le remercia avec un sourire chaleureux alors qu'il serrait la maint tendue. "Enchanté Thomas. De l'eau pétillante serait juste parfait ou même de l'eau plate." C'est qu'il ne pouvait pas se permettre d'être trop exigent. Et alors qu'il éliminait du regard les bouteilles de champagne et de jus d'orange, il s'intéressa à Thomas. "Et vous êtes entré ici comme moi parce que vous y avez vu de la lumière ou vous connaissez vous aussi la propriétaire des lieux ?" Et tout en parlant, il avait chipé un petit four salé puisque ça, il avait le droit !

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Tu ne t'étais pas trompée. Il s'agissait bien de l'auteur du livre que tu avais en rayon en face de toi. Tu avais pu trouver une photo de lui sur internet. Tu ne savais pas du tout qu'il était en ville. Son compliment te fis rougir pendant quelques secondes. "Merci beaucoup...j'y ai passé toute la journée.". Maintenant que tu n'étais plus actrice, tu décidais de tout faire pour ton nouveau travail : libraire. Alors que tu lui proposais quelque chose à boire, celui-ci te demandas si tu avais quelque chose sans sucre et sans alcool. Il renchérit en disant qu'il était diabétique et que de l'eau faisait l'affaire. Tu commençais à stresser. Tu n'avais pas du tout d'eau dans ta librairie. Oh peut être du thé. Tu avais quelques boites rangées au fond côté salon de thé. "Du thé cela vous convient-il ?". Alors que tu attendais la réponse de l'auteur, tu vis une nouvelle personne entrer dans ta librairie que tu connaissais très bien, Ivy, ta meilleure amie. La voyant, tu fis un grand sourire, pour t'approcher d'elle. Celle-ci te prit dans ses bras quelques secondes. "Bonsoir ma belle ! Comment vas tu ? Tu n'as pas trop eu du mal à trouver l'endroit ?". Ivy commença alors à te faire de nombreux compliments. "Oh arrête ! C'est toi la plus belle entre nous deux ! Tu vas me faire rougir.". Et en effet tu rougissais. La jeune femme sortis quelques boissons et des petits fours. Tu aperçus une bouteille d'eau. "Tu me sauve la vie !". Elle te demanda comment tu allais et si tu n'étais pas trop stressée. Tu secouas la tête. "Pour le moment non. Enfin il y à quelques secondes avant que tu n'arrives, un client m'apprend qu'il est diabétique et ne peut boire que de l'eau. Alors que j'allais lui proposer du thé, tu arrives à ce moment là. Sinon tout va bien et toi ?". Thomas, ton ami acteur s'empara d'un verre posé sur la table et fis un petit tour de la librairie pour observer l'endroit, te faisant un compliment. "Merci. J'ai tout fait toute seule, c'était vraiment compliqué après tout je suis débutante dans le domaine.". Tu repris ton attention sur Ivy, laissant Thomas et Joe converser tous les deux pendant quelques instants. "Je t'emprunte ça un instant" lui dit tu en prenant la bouteille d'eau. Tu t'avanças vers les tables où trônaient les verres et versa de l'eau dans l'un deux. Une fois ceci fait tu t'approchas de l'auteur, interrompant la conversation entre les deux hommes. "Tenez"" lui dit tu en lui tendant le verre d'eau.

@Joe Davis @Thomas Rankin @Ivy-Céleste Applewhite

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Ouverture de la librairie A livre ouvert

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Ce soir-là, je flânais dans la ville. Andrew était partie boire un coup avec des gens qu’il avait rencontré. Quant à moi, j’avais travaillé toute la journée dans boutique de disque avec Owen et je n’avais aucune envie d’aller m’enfermer dans le cinquante-cinq mètre carré que je louais avec mon frère. Bowen était une petite ville mignonne. J’en avais des souvenirs lointains de quand j’y étais allée avec ma famille pour voir Reed mais je n’y avais pas mis les pieds depuis un moment, en dehors de courts séjours où je passais le plus gros mon temps avec Reed et je redécouvrais à présent cette jolie ville du Queensland. J’aimais me balader, rencontrer des gens au fil de mes balades. J’avais plusieurs semaines devant moi avant d’attaquer les cours à l’université et je comptais bien en profiter pour connaitre la ville sur le bout des doigts. Il était trop tôt pour dire si j’allais passer ma vie ici, bien que cela me semblait peut probable. Les airs de Jazz, la musique cajun, l’accent, le français louisianais me manquaient et je doutais d’être capable de rester ici pour toujours. Mais être ici me rendait néanmoins heureuse et je me réjouissais sincèrement d’avoir choisis Bowen pour finir mes études.

Ainsi, à force de flâner je tombais sur une petite librairie. La porte était ouverte et je venais visiblement de tomber sur une sorte d’inauguration. Les gens était plutôt bien apprêté. Je jetais un œil à mon reflet dans la vitrine. Un jean, un tee-shirt, une veste bleu et blanche. Je n’étais pas appétée pour une soirée, mais j’espérais ne pas faire trop tache. Je pénétrais dans la boutique, qui était aussi mignonne de l’extérieur que de l’intérieur. Un groupe de personnes discutaient dans un coin. Désireuse de ne pas déranger, je me dirigeais du côté des rayonnages, curieuse de voir quel genre de livre on pouvait trouver dans cette libraire.

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by Wiise

Invité

Alors que tu attendais la réponse des personnes présentent ce soir, tu vis la porte de la boutique s'ouvrir sur une nouvelle personne que tu ne connaissais pas. Elle paraissait assez jeune, dans la vingtaine peut être était-elle étudiante. La nouvelle arrivante était habillée sobrement mais cela ne te dérangeai pas. Tu la vis se diriger vers les rayonnages, observant autour d'elle. Tu souris et t'approchas d'elle. "Bonsoir mademoiselle. Désirez vous un ouvrage en particulier ? Souhaitez vous boire quelque chose ?"

@gladice fitzpatrick

Invité

De ta démarche gracieusement dansante, te parant de ton sac en toile, où contenaient, ainsi, une bouteille fine de champagne, quelques jus de fruits, suivi d'eau, tu te risquais, à l'aise, d'un pas décidé, de franchir le seuil de l'envoûtante, magnifique librairie, que venait tout juste d'ouvrir, pour l'occasion, cette divine, ravissante jeune femme, à la longue chevelure de feu - ancienne actrice, dont le nom faisait encore, bel et bien, la renommée dorée, le florissant apogée, qui, en cette douce soirée radieuse, étincelante, s'était trouvée une nouvelle vocation, une voie fort bien prometteuse, dans les ouvrages. Un somptueux projet, accompagner d'un chaleureux petit salon de thé, à la fois, que tu affectionnais tout particulièrement, depuis les quelques esquisses, que ta douce, sublime Jenna : ta meilleure amie, t'avait dont dévoilées, presque irrémédiablement, peu de temps après votre rencontre précédée... Désormais, ce lieu féerique, aux douces lumières tamisées, existait. Grâce aux nombreux efforts fournis, que cette pétillante, généreuse demoiselle, au doux regard envoûtant, pénétrant, avaient déployées, avec passion, éloquente énergie décuplée. Tout demeurait épuré, soigneux, il est vrai. Cette librairie était tout simplement parfaite, magnifique. Tout comme elle l'était... Dans la volée, en fermant délicatement la porte blindée, tu adressais un mignon petit rictus, un léger signe de tête courtois, pour saluer les deux jeunes hommes demeurant sagement un peu plus loin, entre deux rangées de livres imposants, raffinés. Soigneusement rangés. Se mariant irrévocablement avec les planches de bois soufflées, qui les contenaient... Sans pour autant se montraient proches, singuliers, les fins traits délicats des deux apollons, te parler quelque peu... Officiellement, tu n'avais jamais pusse les côtoyer, avoir eusse l'honneur incontesté de converser avec eux, tu le confessais, toutefois, d'une certaine manière, agréablement, ils t'enchantaient... Sans nul doute plausible qu'ils devaient avoir une notoriété aisée, des plus importantes au sein de la société... Tu devais te l'admettre également, bien que tu eusses, non sans vouloir te vanter, une assez bonne mémoire, en cet instant, tu cherchais bien quelles professions, ces deux derniers pratiquaient... Ce qui était certain, dans tous les cas, c'est que ta tendre Jenna avait l'air d'être assez proche de cet homme, aux cheveux scintillants, aux doux reflets chocolatés. Parfaitement coiffés... Non sans te risquer à troubler la sérénité de ces charmants lieux, de la conversation animée de la fabuleuse hôtesse, de ces mystérieux convives, tu attendais paisiblement que ta meilleure amie arrive à ta hauteur, pour ainsi lui glisser quelques sincères politesses, tout autant que tu la prisses dans le creux de tes bras. Juste durant quelques instants, au demeurant. Souriant dans la volée, telle une idiote balafrée. « Bonsoir ma belle ! Comment vas-tu ? Tu n'as pas trop eu du mal à trouver l'endroit ? » Te retournait dont d'une voix cristalline, suave, l'exquise, divine rousse, dont tu osais t'attarder, te noyer dans son doux regard troublant, pénétrant, avant même de secouer frénétiquement la tête, tout en te risquant à effleurer, délicatement, quelques mèches furibondes, magnifiquement ondulées, pour lui insuffler un quelconque réconfort. « Au contraire ! L'emplacement est tellement parfait, que ça même été un jeu d'enfant pour le trouver ! Vraiment, depuis le début, tu as eu une magnifique idée, ma beauté. Autant pour ça, que d'avoir créé de toute pièce, ta librairie. Elle est vraiment splendide ! Et je vais merveilleusement bien, je te remercie. Et toi ? » Ajoutais-tu d'un ton mélodieux, animé. Te sentant des plus enchantées, avant même de lui souffler, presque d'un murmure, de doux compliments à son encontre ; sur sa tenue d'un délicat rouge vermeil, qui lui allait à ravir, faisait chavirer les âmes, pour les mettre agréablement aux supplices. De ce que ses délicats petits doigts de fées avaient préparé, dépeint à travers l'habitacle, à mesure que la jeune femme à la carrure magnifiquement fine, élancée, se mit à rougir, comme une pivoine. Se sentant visiblement touchée. Réaction troublante, charmante, qui t'attendrisse davantage. « Oh, arrête ! C'est toi la plus belle, entre nous deux ! Tu vas me faire rougir. » T'avouait-elle timidement, néanmoins, qu'en effet, ta douce et sublime Jenna demeurait aussi empourprée - presque couleur similaire à sa robe, aux doux effets de soies raffinées, sophistiquées, dont tu ne pusses t'empêcher de laisser s'échapper un petit éclat de rire cristallin, dans la foulée. Tu aimais particulièrement cela : quand cette charmante, sublime demoiselle agissait de la sorte. Cela la rendait davantage adorable, attachante. Déconcertante. Cela te donnait l'envie irrépressible de la prendre dans le creux de tes bras, de la choyer. De la protéger, envers et contre tous, contre vents et marées. « Ah, c'est peut-être l'effet recherché aussi, mon sublime petit rayon de soleil, je l'admets. Je te remercie également, du fond du cœur, pour ce charmant retour, mais ce n'est rien comparé à toi, ma belle, crois-moi. » Rétorquais-tu, en lui gratifiant d'un léger clin d'œil, d'un mignon petit rictus, pour le moins tendre, sincère, amusé, qui peignaient tes lèvres légèrement pêches, aux teints nudes, néanmoins, que, sans crier gare, tu te risquais à sortir de ton sac, les nombreuses boissons, dont de l'eau plate, suivi, sans précédent, d'une boite cartonnée, où contenaient des petits fours sucrés, raffinés, que tu posais doucement sur le buffet, sagement préparer par ta meilleure amie. Te sentant indécise, il est vrai... Ne sachant guère si tu pouvais te le permettre, au fond de ton être, de ta frêle silhouette... « Tu me sauves la vie ! » Ajoutait ta meilleure amie d'une voix animée, presque un peu trop criarde, qui, dans la volée, t'arracher quelques doux frissons de stupeurs, qui parcouraient ton échine... Non que tu ne te sentes des plus agacées, froissées par la situation, dans le fond. Bien que, sur l'instant présent, tu ne pusses t'empêcher de froncer légèrement les sourcils, ne saisissant guère l'essence de ces douces paroles censées... « Oh, je... Je ne crois pas avoir fait grand-chose, tu sais ? Mais... Si je ne m'abuse - et bien que je suis heureuse de pouvoir te rendre utile, ma chérie, que me vaut l'honneur de pouvoir te sauver ainsi ? » Lui retournais-tu dont d'un ton mélodieux, suave. Bien qu'une légère pointe d'embarras prônait tout autant, avant même de passer une main délicate dans tes cheveux furibonds, blonds comme les blés, discrètement - signe irrémédiable que cette légère gêne te causait, fréquemment. Bien plus que tu ne l'imaginais, en réalité... Effet que tu adoptais machinalement, sans nul doute plausible, comme beaucoup de petites gens... Une irrépressible sensation, que tu masquais, retourner, de par le biais d'une question, qui te brûlait tes lèvres, légèrement peintes de pêche : à savoir, si la magnifique rousse ne se sentait guère trop stressée. Car il est vrai, aménager tant d'ouvrages, tout monter de toute pièce, quasiment seule, qui plus est... Ouvrir l'éloquence librairie, accueillir chaleureusement les quelques convives, tu te doutais bel et bien que cela ne pouvait être aussi aisé, facile... Point désagréable, certes, mais nous savons toutes et tous pertinemment, ce que cela engendre, quels sentiments cela nous procure... Nous chamboulant, bien plus qu'on se risquerait à révéler... Et que, dans tous les cas, tu te devais fort bien de l'épauler, la rassurer. L'aider, si ce que ta charmante, exquise Jenna, désirait. « Pour le moment, non. Enfin, il y a quelques secondes avant que tu n'arrives, un client m'apprend qu'il est diabétique et ne peut boire que de l'eau. Alors que j'allais lui proposer du thé, tu arrives à ce moment-là. Sinon tout va bien et toi ? » Ah, tu comprenais mieux, désormais... Le brouillard, les quelques interrogations se dissipaient, finalement... Effectivement, tu pouvais aisément saisir ce que la situation devait être... Autant pour la pétillante jeune femme, au doux visage envoûtant, pénétrant, que la pauvre personne, qui demeurait, hélas, atteinte de diabète... Tu en étais, par ailleurs, navrée pour cette dernière, au fond de ton être, de ta frêle silhouette. Certes, ce n'était si gravissime que cela, mais tu en convenais tout autant, que cela ne devait être toujours évident, non plus ! Si tu étais liée davantage, à cette personne, que tu la connaissais fort bien, tu consentirais à venir à elle, lui prêter une attention toute particulière. À lui souffler un semblant de réconfort, si c'était ce qu'elle souhaitait, même... « Bon, tant mieux ! Tu me rassures, ma beauté. En tout cas, si tu as besoin d'un coup de main, tel qu'il soit, que tu sens que ça ne va pas, tu peux compter sur moi ! Et tu m'envoies sincèrement navrée pour lui. Vraiment... Je me doute bien que ça ne devait se trouver évident, sur le coup... Ceci dit, je suis heureuse que cela puisse s'arranger, puis surtout, de savoir que tu vas bien, malgré tout. C'est le plus important, j'ai envie de te dire... Et, ma foi, de mon côté, je pète la forme ! Je te remercie, ma douce. Surtout de m'avoir invité, également. Ça me touche. Puis, je me répète, mais c'est vraiment magnifique, ce que tu as fait. » Lui confessais-tu sans ambages, sans le moindre détour. Te sentant des plus sincères, courtoises, à son égard. Lui adressant un mignon petit rictus, dardant de tes orbes bleutés, la spacieuse pièce, aux enivrantes senteurs de bois soufflés, symboliquement lustrés. D'effluves d'encens, qui surplombaient l'habitacle épuré, à mesure qu'un des convives s'approchait, patiemment, vers le fin buffet raffiné, pour y prendre un verre cristallisé, avant même de dignement s'éclipser. Ne voulant, certainement, troubler votre intimité, votre sérénité, bien que, dans la foulée, il y glissait de doux compliments sincères, qui te fisse davantage plaisir, à l'égard de la magnifique déesse, a l'étincelante crinière de feu... « Je t'emprunte ça un instant. » Achevait la pétillante jeune femme à ton encontre, cependant que tu approuvais d'un léger signe de tête, pour lui faire saisir qu'il n'y demeurait-là, le moindre souci apparent. Que tu t'armerais, sans problème, de patience - tandis qu'elle flânait, voguer vers eux. Se risquant, ainsi, à prendre l'une des bouteilles d'eau, aux reflets cristallins, afin de servir le séduisant éditeur, se trouvant un peu plus loin, en train de converser sagement avec son charmant voisin. Durant ces quelques minutes qui parurent étrangement s'égrener, s'éterniser, ton doux regard se portait sur la porte blindée, qui s'ouvrait délicatement, laissant place à une magnifique jeune femme à la peau légèrement olivâtre, qui entrait, refermait, indécise, derrière son tracé, se laissant dont flâner entre les étagères boisées, néanmoins que tu découvrais ta merveilleuse Jenna la suivre, promptement. Sans nul doute plausible, pour lui proposer une boisson rafraîchissante ou encore, de l'aiguiller sur un roman, qui sait ? Toi, de ton côté, ne voulant point déranger la conversation animée, de qui que ce fusse... N'ayant guère eu l'occasion certaine, non plus, d'en parcourir les rangées d'ouvrages, soigneusement rangés par genre, par ordre alphabétique, tu te prisses de plaisir à t'exécuter, à t'attarder, avec curiosité, mélangé à une pointe enchanteresse d'émerveillement, les couvertures brodées de velours bordeaux, aux fines dorures, recouvrant les coins cornés. En effet, ta séduisante, sublime Jenna avait bel et bien, travailler, s'était surpassée. Tout demeurait épuré, soigné. Intriguant, à n'en guère douter.

Invité

Après avoir fait un petit tour dans la librairie de ton amie, tu t’étais arrêté pour la féliciter. Après tout, Jenna et toi c’était une histoire qui datait maintenant. Vous aviez été amis à l’écran comme à la ville. Et la retrouver à Bowen, avec son nouveau projet, ça te faisait plaisir. Tu avais laissé la jeune femme discuter avec une amie à elle quand le jeune Davis affirma être diabétique. Alors tu demandais ce qu’il voulait boire. « J’ai vu une bouteille d’eau pétillante pas loin, suivez-moi » dis-tu en lui faisant signe pour aller jusqu’au buffet. Tu servais le verre au blond et tu lui tendais. « Voilà, c’est mieux que d’avoir la gorge sèche » dis-tu avec un sourire. Tu avais ta coupe de champagne de ton côté, ça te faisait du bien de boire et de penser à autre chose qu’à l’accident de ton ex-femme. Il te demanda ensuite comment tu étais arrivé dans le bookstore de la rousse. « A vrai dire, je connais Jenna depuis quelques années maintenant, on était ami à Los Angeles » avouas-tu au jeune homme avant de prendre une gorgée de ton champagne. Puis tu lui demandais à son tour. « Et vous du coup ? Vous avez vu de la lumière et vous êtes entré ? » demandas-tu en plaisantant.

Invité

La boutique se remplissait et c'était quelque chose qu'il n'avait pas vraiment prévu lorsqu'il y était entré... Il ne fut donc pas mécontent de se voir entraîné par Thomas vers le buffet, à l'écart de tout ce monde. Il savait qu'il avait beaucoup de choses à régler et son angoisse à se mélanger à une foule n'en était qu'une parmi d'autres. Et pour le moment, il s'accrochait à Thomas comme un noyé à sa bouée. "Oui ! C'est exactement ça... Je me suis arrêté pour voir mon livre en vitrine et j'ai vu que c'était illuminé..." Tout était encore si bizarre... Il n'avait écrit que pour se créer des amis et remplir le vide du temps, et s'il savait qu'il était publié -Sanders le pressant pour davantage de manuscrits, il avait même obtenu le droit d'envoyer quelques lettres scrupuleusement relues à Scarlet pour cela- il s'étonnait encore de voir ses romans sur les étals. "Alors je suis entré, et en plus j'embête tout le monde avec mon eau." Il en remercia d'ailleurs aussi bien Thomas qui avait su lui dénicher de l'eau pétillante que Jenna qui s'était apparemment démenée pour lui trouver un verre. "Eh bien, me voilà sauvé de la déshydratation ! Merci beaucoup, et Jenna c'est très gentil..." Et dire qu'il lui avait réclamé de l'eau pour ne pas la voir galérer à lui trouver un soda sans sucre, c'était malin !

Mais plus que le reste, c'était l'analogie avec le vieux Davis se rappelait à lui. La lumière du pick-up, le fait qu'il y soit entré et l'accueil que Davis lui avait fait et les soins qu'il lui avait apporté... C'était comme refaire les choses à nouveau, sauf que cette fois-ci il avait la certitude que ce ne serait pas la porte d'une quelconque cave qu'il prendrait mais celle de la rue... Celle menant à la liberté. Et l'idée lui en aurait donné le vertige... "En fait, j'ai moi aussi suivi une amie des Etats-Unis jusqu'ici. Ca faisait presque quinze ans que je n'étais pas revenu à Bowen et tout me semble si différent... Une autre vie !" Il se garda cependant d'entrer trop dans les détails, se contentant de faire un sourire amusé par la ressemblance de leur situation. Même si parler de ressemblance était peut-être beaucoup dire.

Invité

Ouverture de la librairie A livre ouvert

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Je flânais dans la librairie, prenant de temps à autre un livre pour le regarder et lire le résumé. J’entendis alors une voix me saluer, me demander si je voulais un ouvrage en particulier ou boire quelque chose. Je me retournais, vis une jolie rousse en robe rouge, maquillée et souriante. La femme devant moi devait être la patronne. Avec un sourire, je lui répondis « Bonsoir ! Je flânais juste dans les rayons. Je me baladais dans les rues et je suis tombée sur votre librairie, j’ai eu envie d’entrer, j’espère que ça ne vous dérange pas. » Je balayais d’un geste de la main la façon dont j’étais habillée, jetant un regard aux autres personnes présentes, très élégantes pour la plupart avant de réfléchir un instant. Je n’étais pas vraiment apprêtée pour une petite soirée mais d’un autre côté, je n’étais pas contre un verre et passer un moment dans la librairie. « Je veux bien boire quelque chose » ajoutais-je donc, adressant un sourire à la patronne.

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by Wiise

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