Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi :
POINTS : 13 MESSAGE : 106 ICI DEPUIS : 15/03/2022 COMPTES : Sarkis Nazarbekjan CRÉDITS : Av. by Circé//gifs by tumblr
STATUT : poly, deux relations primaires, libre & pére d'une filette de 7 ans
Sujet: Syrius...Born to be free Mar 15 Mar 2022 - 22:19
Syrius Wentworth
feat. Milo Vintimiglia
me, myself & i
› NOM : Wentworth › PRÉNOM : Syrius › ÂGE : 38 ans › NATIONALITÉ : Australienne › ORIGINES : caucasien natif de Brisbane › JOB/ETUDE : études avortées...Un peu de baroud, recyclé dans l’éros( gérant d'un club libertin) › STATUT : ; père, poly engagé deux fois, mais libre, comme le sont mes compagnes › GENRE : mec cis › SEXUALITÉ : pan › TES FINANCES : suffisantes pour vivre bien › GROUPE : summer › CREDITS : av @Sparky icons @Sparky
what about me
Chrono ‹ 1984: naissance de Donald Wentworth ‹ 1988: séparation parentale. Son père épouse Lynn Steiner ‹ 1989: naissance de sa première sœur ‹ 1990: naissance de sa seconde sœur ‹ 1991: naissance de sa troisième sœur ‹ 1992: naissance de sa quatrième sœur ‹ 1993: naissance de sa cinquième sœur ‹ 1999: désinvestissement scolaire sans échec, et recherche d'autres voies génératrices d'enthousiasme( psychotropes légers, éveil à l'éros, initiation aux arts martiaux) ‹ 2001: lycéen moyen et discret. Rencontre d'un garçon fascinant, début d'une relation affective et perverse ‹ 2003; scandale à l'université pour avoir organisé avec son amant un réseau frôlant le proxénétisme. .. étouffé. Départ pour le Japon ‹ 2006: meilleure acceptation d'une certaine forme de rigueur. Prise de stupéfiant quasi terminée. Recherche des sensations fortes par le biais de la stimulation du corps par les activités physiques ( expérimentation de sexualités borderline, sports extrêmes...) Une opportunité de rejoindre une équipe de pilleurs d'épave ‹ 2008: escroquant ses anciens partenaires, il s’installe en Chine pour approfondir son kung fu. ‹ 2011: Retour en Australie. Son père est mourant....et il arrivera trop tard pour le revoir. Départ pour Bowen avec un petit pécule remis par le clan Steiner pour retrouver sa mère. Echec de la reprise de lien...Errance.‹ 2012: recueillit par Nina, Syrius nait dans une famille aimante, composée aussi de deux filles, Dahlia et Circée. Relations fusionnelles entre eux trois, liens affectifs faits aussi de désir fort... ‹ 2015: Naissance d'Olympe, notre fille dont la mère biologique est Circée et départ de chez Nina pour rouvrir " l'entracte", club libertin. ‹ 2018: décès de Nina
C'est ici que tu vas écrire ton histoire.Esprit libre, né captif.
once upon a time:
De mon enceinte biologique, je n'ai que le souvenir d'une veine tentative de reprise de contact, aussi vaine que tardive. Un rejet après l'expulsion primale de son corps. Est-ce une imprégnation subconsciente, ou une affaire de chromosomes? Toujours est-il que je partage avec ma génitrice un appétit certain pour la luxure. Le clan Wentworth-Steiner est une forteresse aux remparts concentriques élevée autour de moi. Je suis en son sein reclus dans le plus isolé des cachots. Je ne suis pas du sang des seigneurs du donjon. Mon nom n'est que celui du prince consort. Je ne suis pas d'avantage du sexe des maitresses. Si l’allégeance aux valeurs d’efficiences utilitaristes, aux appétits de faire usage d'un pouvoir défendu de haute lutte ont presque anobli mon père à leurs yeux, même cette approximation a toujours été refusée au bâtard, au fils de pute que je suis à leurs yeux. Et même dans la basse cour ou les vassaux mâles sont tolérés, j'étais isolé. Isolé par le mur de servilité dressé par mon père , totalement dévoué à ses attribution de manager de la compagnie de transport Steiner, quand il n'était pas détaché pour féconder sa reine.
La seule porte de sortie de la cellule familiale ouvre sur les institutions éducatives. Clientèle choisie sur deux critères. Le brio intellectuel pour servir de lièvre, voir s'élever peut être au rang de serviteur privilégié d'une famille puissante, ou influence des ascendants. on y cultive le gout de l'excellence, du rendement. On y assoit pour les mieux conditionnés et les plus compétants la force à venir de ceux dont on perpétue le nom. On se retrouve dans les mêmes clubs artistiques, les mêmes institutions sportives, les mêmes garden paries ou déjà se négocient les futures unions, dans les salons hantés par nos ainés. Croit à une ouverture, au début. Nouvelles têtes, nouvelles influences... Mais rapidement, on se rend compte que l'école internationale de Brisbane, qui prétend justement accueillir toute la diversité culturelle du monde, n'en accepte qu'une: Celle portée par les enfants de la diapora des conquérants sans scrupules, ayant pour seule ambition leur propre gloire, à n'importe quel prix. Les hauts murs qui séparent la pépinière des élites à venir sont moins efficaces que le conditionnement éducatif pour nous interdire toute subversive et dangereuse mixité avec le vulgaire, destiné à produire ce que nous déciderons, pour assouvir nos appétits, pour nourrir nos envies, pour servir nos envies. Nous apprenons à manipuler ces outils, à croiser le verbe avec nos pairs pour mieux les évincer, car qui reprends pas d'avance sur son concurrent recule, et nous sommes l'incarnation du progrès. J'ai mis un peu de temps à démystifier l'illusion de développement que prétend offrir cette éducation de prestige que l'immense foule des vilains nous envie.
Matraquage incessant de concepts similaires. redondance fastidieuse, triste, lassante. Résultats scolaire minimaux pour rester dans la course. Prudence, crainte de transgresser, peur de perdre même si c'est oppressant, le soutient du clan Steiner. Toujours les mêmes murs qui me donnent l'envie de cogner, jusqu'à ce qu'eux ou moi finissent par céder. Je suis encouragé à pratiquer le judo pour évacuer mes tensions. Je cherche et trouve quelques étincelles ludiques dans les états modifiés de conscience procurés par les stupéfiants. Un des rares domaines d'exploration qui m'enthousiasme est celui de la sexualité. J'ai la chance de plaire... Ca facilite les opportunités pour expérimenter. Et justement, l'une des plus marquantes, je la dois à la rencontre de Jay. Il possédait ce qui me faisait défaut. Intrépide, frondeur, instinctif et brutal. Jay dégageait un magnétisme mâle intense, fascinant. Une rage à péter tous les murs à grand coup de tronche, faisant fi des douleurs présentes et des cicatrices à venir. Sauvage et beau, j'ai désiré et aimé ce fauve dés sa rencontre, dans l'entre sol ou il dealait la résine qui me permettait de tuer l'ennui dans ma cage dorée. je possédait ce dont il rêvait. J'avais les clefs qui ouvrent les portes du luxe, de l’establishment respecté et craint, et je fus la catalyseur efficace pour lui faire prendre conscience que, tout comme moi, il était fort réceptif aux charmes des hommes, à l'intimité tacite que seule procure l'homosexualité. Jay, my partner in crime, à tous les sens du terme...
Lorsque le scandale éclata, à la business& management scool dont j'occupais en dilettante les amphis, la réaction du clan Steiner fut immédiate, efficace, et sans appel. Pourtant, ils auraient pu être fiers de ma capacité à élaborer un business plan efficace, réinvestissant l'argent du deal, fort lucratif puisque pratiqué auprès des fortunés héritiers de l'école, dans l'organisation de soirées pouvant virer à la partouze, selon le budget investi par les participantes. légal, juteux, notre commerce reposait sur la crédulité de nos conquêtes féminines,destinées à servir d’hôtesses auprès de nos clients timides, mais prodigues. Lorsque nos activités de quasi proxénètes furent dénoncées, on décida de m'inviter à poursuivre mon cursus au Japon, loin du fief des Steiner, afin que l'on oublie au plus vite ce moment de honte. Jay disparu aussi de la ville, soudoyé, menacé...Seules les reines du clan le savent.
Acclimatation à un nouvel environnement. Une structure sociétale forte, omniprésente, mais dont les enjeux m'ont séduit un temps. Au modèle concurrentiel se substituait une volonté du dépassement de soi. Un système dur, exigeant, sans pitié pour qui échoue ou pire encore renonce. Une exigence de recherche permanente d’efficience, mais avec aussi une nécessité d'épure formelle dans son application. Un monde de raison dont la pureté pouvait parfois confiner au mystique. Des endroits insolites ou tout pouvait s'envisager, s’expérimenter, à condition de rester dans la rigueur permanente , y compris dans les jeux érotiques les plus débridés d'apparence. Découverte puissamment sensuelle des raffinements liée aux explorations sensorielles allant même jusqu'à érotiser la douleur mêlée au plaisir. soif esthétique, performance technique, dans les jeux de cordes. Et sous se cadre rigoriste, j'ai pu pousser l'introspection jusqu'à laisser parler des pulsions honteuses, puissamment dangereuses et grisantes, avec le sentiment relatif d'être protégé de la glissade.Le japon est le pays ou l'on mange du fugu, et c'est une façon synthétique d'en parler à mon sens. L'égo dopé, stimulé, entrainé à performer, je cherchais dans la compagnie cosmopolite des fascinés venus s'immerger dans la culture nipponne une ouverture sur d'autres chemins de découverte. Je voulais d'autres terrains pour me défier... Et c'est une bande de semi pirates, pilleurs d'épaves, croisée dans le bar d'un love hôtel, qui finit par me séduire.
En mer, contraint à la promiscuités avec des types de tous genre, je tentais de faire des passerelles entre les différents groupes sociaux que j'avais côtoyés, dont je m'tais imprégnés. La notion de collaboration prenait sens, s'incarnant par la force des choses, et je pris gout aux plaisirs de la plongée sous marine. Tout se vit en accéléré dans cet univers réduit, concentré, et les limites de la synergie bienveillante des individus qui font groupe est vite atteinte. Une aggrégation de circonstance, sans aucune base élective par affinités, bientôt gangrénée par les luttes de pouvoir veules auxquelles j'avais eu l’illusoire espoir d'échapper. Régression aux basiques de mon éducations, aux règle de ce putain de clan qui même en mer de chine venait me reprendre dans ces filets. A la différence notable prés que cette fois, j'avais un peu appris à jouer. Dosage délicat entre retrait et exposition, pour rester prêt à suivre qui au final emporterait le leadership, sans pour autant définitivement m'inféoder. Aussi neutre et arriviste qu'un salaud de banquier Suisse. L'or, on a fini par le trouver, le pêcher. Il ne restait qu'à bien le négocier. Une mutinerie avortée au large d' Aïan plus tard, j’accompagne Igor , notre indestructible capitaine à Hong Kong. J'ai su être le seul à lui inspirer confiance, tant pour ma loyauté de façade que par mes qualités martiales. Erreur d'appréciation qui lui fut funeste, et je m’envolai , avec un bon paquet de dollars, vers le Sichuan, étape sur ma route en direction du Népal.
Halte à Chengdu. dérouté de mon objectif initial par le charme lascif de cette ville aux parfums aussi forts que subtils, et tout particulièrement par le piège tentateur de la fameuse chasse au dragon. J'aurais pu végéter longtemps dans la miragineuse et capiteuse fumée, si je n'avais croisé sur le satin fané recouvrant les nattes de la fumerie mon futur Sensei. Un défi. Un combat promis à la hauteur de mes ambition d’orgueilleux camé; Affronter mes propres démons. J'ai fantasmé les entrainements à la limite du cruel pour le corps, l’ascèse sublime, quasi christique, l'exploration de ce que l'on nomme sous nos latitudes occidentalisées: la mystérieuse et conceptuelle humilité. J'ai en fait découvert , avec une progressive et insidieuse douceur, la communion avec mon environnement, élargissant ma vision de moi vers l'autre humain, puis l'autre animal, l'autre vivant, l'autre matériel, et enfin l’énergie impalpable qui est l'essence de tout. Oui le corps et l'esprit ont travaillé...beaucoup, intensément, avec parfois des efforts, des luttes pour renoncer à mes préconçus. mais, fondamentalement, la grande bascule à été de non plus saisir comme durant mes longs mois de préparation, l'univers comme un emboitement concentrique de sphères dont j'étais le noyau, mais comme un chaos incontrôlable, évolutif, dont je n'étais qu'une infime parcelle, cristallisant quelques une des ses composantes. Chercher mon souffle dans la compréhension de son écho, renvoyé par l'ensemble des éléments de ce grand tout... Ouvrir ma perception, accueillir... Construire le Qui gong correspondant à ce que j'étais, spirituellement, physiquement...et forger mon devenir grâce à lui....et , de méditation en entrainement, de remises en causes en élaboration de perspectives dynamiques quant à l'existant... le besoin de faire un peu la paix avec ma genèse occidentale, avec ce clan qui me figeait dans la colère, le tumulte, le flamme délétère du grand dragon qui alors crachait furieusement dans mes entrailles. Coïncidence heureuse, qui catalysa mon désir de renouer avec mes racines, j'ai appris la mort imminente de mon père.
Syrius est né à Bowen. C'est une vielle âme de 38 ans qui ne s'est matérialisée que 10 ans en arrière. Syrius s'est nourrit du substrat constitué par les débris de Donald. Donald, fracassé par le cercueil paternel...trop tard, le retour aux sources. Donald dont les miettes ont été vitrifiées par le rejet glacé du Clan Steiner. Donald dont les résidus se sont dispersés dans le souffle d'indifférence d'une mère, aussi rencontrée trop tard. Donald qui était en passe d'achever sa minéralisation, perdu dans une consommation effrénée de stupéfiants. Une ombre de vie, ayant réduit ses préoccupations à l'assouvissement de son besoin d'anesthésie. Il croise Nina, voit dans le sac à main de la vielle femme un moyen d'obtenir sa future dose...et se retrouve foudroyé par ses yeux débordants de bonté. Recueillit, choyé, dopé d'amour pour le soin de l’âme, et de quelques philtres à base de plantes composés par Circé la druidesse pour aider le corps, Donald le zombie entame sa transformation en Syrius. Peu à peu, les éléments glanés dans son ancienne existence se recomposent, s'assemblent. Le désir charnel, en sommeil depuis longtemps, renait, au contact de Circé la douce et son amante, l'impétueuse Dahlia. Une recombinaison les intégrant tous trois en une sorte d'entité à part entière. Une relation à la fois fusionnelle et très libre, qui prend un tournant majeur lorsque nait leur enfant, Olympe. Année charnière pour Syrius qui quitte alors la maison de Nina qui abritait leurs amoures, certes parce que l'opportunité de racheter le club libertin de sa mère s'est présentée, mais aussi parce que la nécessité de rééquilibrer les temps de partages à trois et ceux réservés à sa vie en temps qu'individu se faisait sentir. Aujourd'hui Syrius est toujours épris de Dahlia et Circé, et avec Olympe, ils forment une véritable famille, même si elle a une forme non conventionnelle La loyauté, la bienveillance, le respect des besoins de chacun de ses membres est au cœur de ses préoccupations. Il s'y sent compris, aimé, en harmonie avec lui même et le monde. C'est le pilier de son équilibre
and behind the computer...
› PSEUDO Sparky › PRENOM NC › AGE : largement majeur› COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM? PRD › COMMENT LE TROUVES-TU? Un scénario dans la droite ligne d'un perso en germe depuis longtemps...enthousiaste fatalement › PRÉSENCE : ASAP( mini 2x semaine) › SCÉNARIO/INVENTE : scénario de Circée Dewitt › DOUBLE-COMPTE : - › DÉSIRES-TU ÊTRE PARRAINÉ.E ? pourquoi pas › AUTRE CHOSE? au plaisir.
Code:
<b>MILO VINTIMIGLIA</b> - @"Syrius wentworth".
Dernière édition par Syrius Wentworth le Mer 27 Avr 2022 - 0:47, édité 13 fois
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POINTS : 13 MESSAGE : 106 ICI DEPUIS : 15/03/2022 COMPTES : Sarkis Nazarbekjan CRÉDITS : Av. by Circé//gifs by tumblr
STATUT : poly, deux relations primaires, libre & pére d'une filette de 7 ans
Sujet: Re: Syrius...Born to be free Mar 15 Mar 2022 - 22:44
Merci pour vos encouragements à toutes les deux
Je vais prendre le temps de bien lire les fiches de mes préliens pour articuler les choses au mieux...donc patience pour la rédaction...Promis, ça va venir!
STATUT : Femme mariée. Âme écorchée, tourmentée par les années passées, rôdé aux désillusions néfastes, permanentes, aux déceptions simultanées, imminentes. Tu te sens trahie par l'infidélité désinvolte, inlassablement répéter par ton imbécile de mari, pour le moins violent à ton égard... Tu te sens rejetée, mal-aimée... En parallèle, tu cherches désespérément à te reconstruire, à penser un peu à toi. Mais tu ne désespères pas... Un jour, tu trouveras ton âme sœur, qui sait ? L'amour te tombera dessus, sans que tu ne t'y attendes réellement... En attendant, tu profites simplement de l'instant présent.
Sujet: Re: Syrius...Born to be free Mar 15 Mar 2022 - 22:49
Ton pseudo + ce perso, déjà, si prometteur + Milo (trop la nostalgie d'Heroes, quand on y pense ! ) = tu déchires grave, sérieux !
Bienvenue et bon courage pour la suite de ta fichounette, que j'ai ben hâte de lire, petite chouette !
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One Jump Ahead
“Riff-raff, street rat. I don't buy that. If only they'd look closer. Would they see a poor girl ? No sire. They'd find out, there's so much more to me.”
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : Grace n'a jamais connu ses parents biologiques. En effet, elle a été abandonnée lors de sa naissance et a donc été accueillie par la famille Scott qui ne pouvaient pas avoir d'enfants. ‹ Dès son plus jeune âge, elle a rapidement compris quelle pression pesait sur elle puisque son père adoptif avait énormément d'espoirs et d'attentes pour elle. ‹ Lorsqu'elle a eu dix-huit ans, son père l'a incitée à faire des études en sciences politique à Paris. Elle était donc très loin de sa famille, ce qui n'était pas une mauvaise chose pour le petit business du paternel, du moins pour l'instant. ‹ Partir loin de tout lui a en quelque sorte ôté cette pression qu'elle pouvait ressentir en présence de ses parents. A Paris, elle a commencé à se découvrir réellement, et c'est d'ailleurs là-bas qu'elle a fait un tas de premières fois. ‹ Même si ça n'a pas été simple, elle a adoré ses études. Elle a été jusqu'au bout de ses études, ayant d'ailleurs préparé un doctorat en huit ans. ‹ En quittant Paris, elle y a laissé sa vie, ses nouveaux amis, et même le premier homme qu'elle a réellement aimé. Seulement, elle se devait de rentrer auprès de sa famille. ‹ Peu de temps après son retour, son père a voulu l'initier dans son petit business. Ce dernier travaille dans une organisation criminelle très recherchée par les autorités. Il est entrée dans une colère folle lorsqu'elle a refusé. ‹ Rapidement, elle a compris que pour se préserver, il faudrait qu'elle s'en aille. Qu'elle refasse sa vie loin de New-York. Ainsi, elle pourrait certainement se libérer de cette emprise que sa famille tente d'avoir sur elle. Elle a pu se trouver un travail en tant qu'administratrice judiciaire et ce, grâce à ses études. ‹ Grâce à ce boulot, elle a réussi à mettre de l'argent de côté. Elle a surveillé ses moindres dépenses afin de pouvoir s'en aller le plus rapidement possible. ‹ A trente ans, elle a fait les démarches nécessaires afin de pouvoir quitter les Etats-Unis. Son pays de destination ? Bowen. ‹ Arrivée en ville, elle a réussi à retrouver un poste assez similaire à celui qu'elle faisait à New-York. Sur le moment, ça lui convenait très bien. ‹ Lorsqu'elle a décidé qu'il était temps de changé, elle a décidé de changer radicalement de domaine. Elle s'est inscrite à des cours de mixologie. ‹ Depuis cinq ans, elle est propriétaire d'un bar de la ville. Elle est tombée sur une belle opportunité car ce dernier était à vendre et elle a sauté sur l'occasion. ‹ Maintenant, elle veut surtout éviter d'être associée à son paternel. D'ailleurs, elle ne parle jamais de sa famille pour cette raison. ‹ Gracelyn n'a pas d'enfants, elle ne s'est jamais jugée prête à en avoir et devenir mère n'a jamais été un besoin ni une réelle envie pour elle. ‹ Elle n'a jamais été mariée non plus. C'est peut-être bête, mais elle se dit que si un jour elle se marie, c'est que ce sera vraiment le bon. ‹ D'un point de vue vestimentaire, elle a gardé un côté très retro qui lui plait énormément.
STATUT : Can you remember when we were dancing in hotel rooms ? It was just me and you. We wouldn't sleep all night with you sitting by my side and every moment we had stolen was a feeling. 'Cause it never mattered where we were, 'cause we were falling in love. (Noalyn ♡)
Sujet: Re: Syrius...Born to be free Mer 16 Mar 2022 - 12:14
Bienvenue parmi nous avec ce superbe choix d'avatar et de scénario Bon courage pour la rédaction de ta fiche
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On my way to you
And every heartbreak was a yellow brick road pointing me straight, just taking me home. I was never lost, I was just passing through... I was on my way to you.
STATUT : Femme mariée. Âme écorchée, tourmentée par les années passées, rôdé aux désillusions néfastes, permanentes, aux déceptions simultanées, imminentes. Tu te sens trahie par l'infidélité désinvolte, inlassablement répéter par ton imbécile de mari, pour le moins violent à ton égard... Tu te sens rejetée, mal-aimée... En parallèle, tu cherches désespérément à te reconstruire, à penser un peu à toi. Mais tu ne désespères pas... Un jour, tu trouveras ton âme sœur, qui sait ? L'amour te tombera dessus, sans que tu ne t'y attendes réellement... En attendant, tu profites simplement de l'instant présent.
Sujet: Re: Syrius...Born to be free Mer 16 Mar 2022 - 12:18
Syrius Wentworth a écrit:
Merci à vous deux également pour l'accueil...
@Syrius Wentworth : Beh, ne nous remercie pas, petit chat, attends ! C'est parfaitement normal, un véritable plaisir, tu sais ?
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One Jump Ahead
“Riff-raff, street rat. I don't buy that. If only they'd look closer. Would they see a poor girl ? No sire. They'd find out, there's so much more to me.”
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : elle a un humour de merde mais le vit franchement très bien | elle a un tatouage, un triangle inversé dans la nuque qui ne se voit que lorsqu'elle attache ses cheveux, et un coeur floral minimaliste sur l'avant-bras | elle ne crie pas sur les toits qu'elle a un QI élevé, elle ne veut pas qu'on la catégorise comme telle ou qu'on ne la voit qu'à travers ça, mais elle en veut tout de même à son frère de ne jamais l'avoir laissée exploiter cette chance | sa famille, ce sont ses frères et sœurs. elle ne pardonnera jamais ses parents de ne pas être là et une certaine haine endormie stagne au fond d'elle à ce sujet | elle se questionne beaucoup sur sa sexualité et, contrairement aux apparences, a très peu confiance en elle à ce niveau | la photographie est devenue une passion et elle adore jouer avec son appareil photo | elle est sévèrement allergique aux piqûres de guêpe et a toujours son auto-injecteur d'adrénaline sur elle | elle pratique la danse classique et contemporaine | elle ADORE manger. gras ou sucré, tout convient, mais son pêché mignon, c'est les macarons | elle ne sait pas si elle voudrait des enfants un jour. d'un côté, elle les adore, mais de l'autre elle pense qu'elle aurait trop peur de les perdre, avec tout ce qu'elle voit à l'hôpital | bouder c'est sa passion | son rêve est de partir soigner des enfants à l'étranger, dans des pays où il y a un réel besoin de chirurgiens qualifiés, mais elle ne sait pas si elle parviendrait à quitter l'Australie et sa famille, ça l'angoisserait sûrement trop
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : milo est né dans le sud de la france ‹ son skate est son meilleur ami, il en fait depuis ses 10 ans ‹ son passe temps, c'est la musique, il est guitariste dans un groupe qu'il a monté avec quelques amis ‹ le brun a des tocs, comme vérifier si la porte est bien fermé ou si la lumière est bien éteinte avant de partir ‹ sa mère est décédée à cause d'un mec bourré en voiture, il était dans cette même voiture ‹ sa mère l'a protégée pour ne pas qu'il ai de séquelles, elle en est décédée à l'hôpital quelques heures plus tard ‹ son péché mignon, c'est le pop-corn, il pourrait en manger n'importe quand ‹ son père lui a appris à jouer de la guitare lorsqu'il était enfant, pour qu'il pense à autre chose que la mort de sa mère ‹ il est fils unique, mais il a toujours rêvé d'avoir des frères et soeurs ‹ milo considère ses amis comme sa famille ‹ il a un problème, il est addict au coca-cola, il pourrait en boire des litres et des litres ‹ malheureusement, c'est un gros fumeur, il fume presque un paquet par jour ‹ il a fait une cure de désintoxication où il a tenu 695 jours sobre, avant de faire une rechute ‹ maintenant, il est sobre depuis le 26 avril 2021
Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi : sa mère étant décédée en la mettant au monde, elle a grandi avec un père submergé par le chagrin qui a sombré dans l'alcool quelques années plus tard. ‹ elle a très vite appris à se débrouiller seule, avec l'aide de sa tante, la sœur de sa mère, qui venait souvent chez eux pour aider. ‹ elle est passionnée par la photographie depuis son plus jeune âge et fait de l'urbex pour prendre ses meilleurs clichés. ‹ elle passe beaucoup de temps sur les réseaux sociaux et a d'ailleurs une petite communauté qui la soutient. ‹ elle a commencé à travailler très jeune, d'abord en faisant du baby-sitting puis, quand elle a eu l'âge, elle a travaillé dans les bars en tant que danseuse, puis serveuse, et aujourd'hui elle est barmaid. ‹ elle vit dans une caravane depuis quatre ans. c'était le rêve de sa vie de vivre libre et de pouvoir voyager, même si pour le moment elle reste à bowen pour s'occuper de son père qui vit dans un appartement au centre de bowen. elle fait ses courses, son ménage et gère ses rendez-vous médicaux. ‹ elle est très proche de la nature. ‹ elle aime les animaux en général. elle a d'ailleurs trois chats et souhaite adopter un chien incessamment sous peu. ‹ elle s'est déjà retrouvée quelques fois en garde à vue pour des petits délits mineurs. ‹ c'est une bonne vivante, elle aime profiter des choses simples de la vie comme partager un repas entre amis ou aller au cinéma. ‹ bien qu'elle soit fêtarde dans l'âme, il y a des soirées qu'elle aime passer dans son lit devant netflix. ‹ elle est bienveillante, loyale, franche, et elle aime l'humour (surtout noir). elle est aussi assez impulsive, têtue et elle parle beaucoup (trop pour certains).
POINTS : 346 MESSAGE : 2101 ICI DEPUIS : 31/01/2022 CRÉDITS : all souls.
STATUT : célibataire, ses relations ne durent jamais bien longtemps, peut-être parce qu'elle se lasse vite ou alors qu'elle n'a tout simplement pas encore trouvé la bonne personne.
Sujet: Re: Syrius...Born to be free Mer 16 Mar 2022 - 20:18