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↳ personnages attendus

Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.

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 Coup de foudre à l'hôpital ( ft Ivy)

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MessageSujet: Coup de foudre à l'hôpital ( ft Ivy)   Coup de foudre à l'hôpital ( ft Ivy) EmptyVen 24 Juin 2022 - 15:55

Coup de foudre à l'hôpital

Ryan & Ivy

Ce matin comme beaucoup, après avoir bu un bon café et pris une douche, je me suis habillé, puis je suis allé réveiller mon petit Jackson, qui à eu bien du mal à refaire surface. Je temps qui prenne sont petit déjeuner, j’ai mis un peu la maison en état. Puis   fois tout les deux prêt je le dépose à son école avant de partir en direction de l’hôpital. Une fois sur site je passe au vestiaire afin d’enfiler une de ses tenue bleu qu’on appelle pyjama et rejoins les urgences où l’infirmière en chef et déjà sur le pied de guerre :
 
« Pile à l’heure, Jared me doit dix dollars australien »
«  Je ne pouvais pas faire autrement, je n’allais pas permettre que tu fasse dépouiller, pas la plus belle du service »
«  Arrête beau charmeur je pourrais être ta mère, tiens box trois, un petit garçon qui e plaint d’un male gorge  et une difficulté à déglutir et respirer»
«  Et il est aux urgences ? Ok je m’en occupe »
 
Le chef des infirmières répond au nom de Mathilde, une petite bonne femme proche de la retraite, la maman de tous les jeunes du service, elle était déjà là avant mon arrivée, une vrai femme faite pour ce boulot.  Je rejoins le box trois :
 
«  Bonjour je suis le docteur Kane, alors Freddy tu a un problème à la gorge, vas y ouvre la bouche que je regarde… hum…bien madame, je peux vous voir…Votre fils a quelques chose au fond de sa gorge, par chance il peut respirer, mais pour lui enlever, faut que le médecin voit sa position pur ne pas toucher les corde vocal, je l’envoie faire une radio et vous pouvez l’accompagner, Mathilde contacte la radiologie je leur envoi un gamin pour une radio de la gorge en priorité et bip le docteur Ward »
«  Bien docteur »
 
Une fois la maman  et le fiston parti en radiologie, je rentre sur PC les informations avant de m’attaquer au dossier un peu plus tard. Une petite fille d un nom d’Emily âgé de huit ans, se plaignants de douleur au bas ventre côté droit ; elle est accompagné par une jolie jeune femme ; sûrement sa maman :
 
«  Salut Emily, madame. Je suis le docteur Kane, tu à mal au ventre, tu accepte que je touche ton ventre »
 
Après une bonne osculation, guettant les réactions de la petite fille, écoutant son cœur, prenant la tension. Il ne me fallut pas trop de temps pour pose un diagnostique :
 
«  Bien il s’ais d’une crise d’appendicite, je l’envoi en chirurgie, vous pouvez accompagner votre fille, mais vous resterez en dehors du bloc, Mathilde contacte la chirurgie et le docteur Conrad, c’est le meilleur chirurgien pédiatrique, aller suivez les infirmiers votre fille avoir besoin de sa maman »


codage par LaxBilly.


Dernière édition par Ryan Kane le Lun 18 Juil 2022 - 11:04, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Coup de foudre à l'hôpital ( ft Ivy)   Coup de foudre à l'hôpital ( ft Ivy) EmptyLun 4 Juil 2022 - 0:41

CHAPITRE SEIZIÈME -
COUP DE FOUDRE À L'HÔPITAL.

A great hero teaches an entire city that dancing is the greatest thing there is.

I am not some starry-eyed waif here to succumb to your... your pelvic sorcery.

« SOIGNER LES GENS, CE N'EST PAS SEULEMENT RECHERCHER LES CAUSES DE LEURS MALADIES, C'EST LEUR DONNER L'ESPOIR QUE DEMAIN, SERA MIEUX QU'HIER. »




Tes délicates mains, liées sur la douce et frêle silhouette, de ta ravissante et délicate nièce par alliance… Le regard vitreux, impuissant… Des plus angoissés, voilà qu'irrémédiablement, instinctivement, tu tentais vainement d'apaiser la jolie brune, qui demeurait contorsionnée de douleur, sur le chaud duvet, fort bien douillet, de la spacieuse, chaleureuse chambre à coucher, dont tu partageais depuis maintes années, aux côtés de ton dit, bien-aimé - tentant de lui insuffler un semblant de confort, de réconfort, en te risquant à effleurer sa douce peau raffinée ; le creux de ses bras, avec tendresse et quiétude… De ses petites gambettes, sagement dessinées, sculptées harmonieusement… Agrémentait d'un chatoyant bronzage, qui lui allait, généralement, à ravir… Tu avais essayé, depuis quelques jours au demeurant, de l'apaiser, de toutes les manières plausibles… De lui trouver, un tant soit peu, une position confortable, afin que sa souffrance s'amenuise, un minimum… À défaut de te jouer les petites infirmières, par-dessus le marché ; sous prétexte que ses chers et aimants parents, ne devaient être mis dans la confidence… Qu'ils ne devaient guère se faire un sang d'encre, concernant son état, tandis que de son côté, ton cher époux te sermonnait, revendiquait l'idée même, qu'il était tout simplement improbable, que tu l'emmènes, de toi-même, à l'hôpital, afin de mieux poser un diagnostic, trouver la source immuable de ses nombreux heurts… De craindre le fait, que le frère, sa charmante et parfaite compagne, ne daignent plus guère vous la confier, avec la plus tendre des intentions, à l'avenir… De cette confiance sincère, loyale, que vous aviez cultivée, peu à peu, au fils des années trépassées, il est vrai… Une chose, que, jusqu'à présent, tu t'étais tenue, dans un silence, qui n'était troublé, que par vos respirations irrégulières, saccadées… Quelque peu hachées… Pour soutenir, protéger ton rustre, mais séduisant mari, qui pourtant, à tes orbes bleutés, ne poussait, le bouchon que trop loin, désormais… Que tu ne pouvais tolérer, supporter davantage, l'essence même de contempler, sonnée, mélancolique, ta magnifique et innocente Emily, sans savoir que riposter, que faire pour la calmer, l'aider à aller mieux… À contenir, repousser, dans la mesure du plausible, toute cette souffrance irascible, qu'elle affrontait, depuis de nombreux jours, il est vrai… Tu n'avais point le choix… Plus maintenant… Tu te devais fort bien de contacter le service hospitalier, le plus fiable et compétent… Régnants en maîtres conquérants, dans les fines bordures chaleureuses de Bowen… Ces médecins, ces chirurgiens, ils seraient plus à même de pouvoir l'épauler, l'aider, du mieux qu'ils pussent… Dans une moindre mesure, certes… C'était tout là ce que tu désirais, pour la jeune fille, qui t'importait plus que tout, en ce vaste monde de misère - monde de chimère, dans lequel parfois encore, royalement, tu te méconnais... « Ma puce, laisse-moi t'aider, ça ne peut plus durer… Il faut que je te conduise à l'hôpital. Tu… Tu ne peux plus souffrir comme ça... » Lui soufflais-tu, presque d'un murmure délicat ; d'un souffle haché, erratique, à mesure que tu la découvrisses, on ne peut plus contrite… Serrant les dents d'agonie, d'amertume invétérée… La cruelle, instable félonie… La fieffée filouterie, sombrant dans la sombre mélomanie… Dans l'irréprochable disharmonie… Naturellement, tu te savais, pertinemment, que les bâtiments désuets… Dépourvu de chaleur, aux dépens de ces blanches moulures soignées, ne s'était jamais réellement voué aux goûts certains… Aux fragiles ressentiments, de cette pauvre malheureuse… Depuis maintes années… D'aussi loin que tu la connaisses, désormais… Toutefois, tu ne pouvais la laisser là, aussi vidée qu'un poisson… Ses charmants et aimants géniteurs, feraient de même à ta place, s'ils la découvraient ainsi ; à se tortiller, tel un ver dégarni… Au fond de ton être, de ta frêle silhouette, dans tous les cas, tu ne pouvais plus concevoir le fait de la voir dans un tel état... Il fallait que tu le fasses, que tu l'accompagnes… Quitte a lutté, bravé la fureur lancinante, effroyable, implacable, de ton cher Montgomery… Tant qu'à confronter, subir son courroux maladif… Sa haine furibonde, coulant inlassablement, dans tes pâles veines. Comme la vile morsure d'un serpent… À amèrement le regretter, dans le crépuscule vacillant… Pour qu'elle puisse seulement guérir, se montrer mieux dans sa peau… Pour elle… Pour la bonne cause, comme qui dirait, tu te sentais prête à prendre le risque, au demeurant… Quoi qu'il t'en coûte, tu seras toujours là pour cette dernière, pour la famille. C'était, bel et bien, ce qui t'importait… D'aussi longtemps que tu t'en souviennes, cela faisait partie de ta douce personnalité. Tu l'avouais... « Tata, s'il te plaît... » A ces quelques frêles paroles balancées, tu ne savais point si elles signifiaient, qu'elle n'en souffrait que trop, au demeurant, pour ne plus le tolérer - ou, s'il s'agissait tout bonnement, que la pauvre victime, ne désirait s'y rendre, tu l'admettais… Néanmoins, avec ton dit, bien-aimé, vous étiez les plus matures, responsables, pour prendre une telle décision, de cette importance… Le plus logique… La priorité absolue, c'était sa propre santé, sa moindre sécurité… Non ? « Attends, ma chérie… Je te promets que je reviens vite... » Lui confessais-tu, d'un ton doux, rassurant, cependant que tu te libérais, délicatement, de sa pâle emprise, pour mieux sortir de la pièce1, pour pouvoir prendre le combiné, se trouvant, un peu plus loin, dans le spacieux couloir, menant à quelques autres chambres à coucher ; pour certains convives, qui s'y présentaient, quand les occasions, s'y prêter, il est vrai… Te décidant, bien malgré toi, d'arrêter ces frais… Lorsque, promptement… Sans que tu t'y attendes réellement… Qui t'en coupait, presque irrévocablement le souffle, ton bel Anglais te retint, plus fermement que tu ne l'osais l'admettre, sur l'instant, par le bras… Te lacérant, systématiquement… T'arrachant, dans la volée, une légère moue de douleur, d'embarras invétérés… Te piégeant entre le mur soufflé et l'imposant apollon, à la carrure divinement musclée… T'agaçant, plus que de raison… Saisissant l'essence même, que, si tu désirais ardemment courir au chevet, de votre chère et tendre nièce, tu consentisses, rien qu'à sa sombre, son éteinte expression, qu'il ne l'entendrait point de cette oreille… Quand bien-même, tes raisons, tes intentions, se vouaient fort louables… Des plus pures et nobles, à l'égard délicat, de l'innocente, magnifique Australienne... « Bijou… Que fais-tu ? » Te questionnait dont Monty, d'une voix déraillé, rocailleuse… Te toisant, quelque peu interdit. Réaction, qui te fisses déglutir, avec une certaine difficulté… Restant, bien malgré toi, dans le fin fond de ta trachée… Une boule, dans le creux de ton ventre plat, se formant… T'embarrassant, plus que de coutume, à mesure que tu prisses conscience, qu'à l'heure actuelle, tu allais le provoquer, envenimer davantage la situation. Et ce, sciemment… Bien que tu n'aimais guère cela… Le confrontait, t'abaissait à sa vile condition… Répondre à la violence par la violence, ce n'était, généralement, le domaine, dans lequel tu te sentais à ton aise… Mais quand les pourparlers, les conditions, restent vaines, évanouies... Que te restait-il, seulement ? Si lui, ça ne lui importait réellement, de la voir, autant subir, autant souffrir… Que les filles, ça doit prendre sur soi, encaisser en silence… Qu'elles ne demeurent, à ses orbes bleutés, assombris, que de princesses ingrates et capricieuses… Que les garçons, de leurs côtés, ça ne doit se montrer comme des petites tapettes, que cela tiennent ! Toi, en revanche, tu ne pouvais rester là, telle une idiote balafrée, les bras croisés… La douleur, d'une certaine manière, tu la comprenais, la vivais quotidiennement… Qui plus est, à ses côtés… Et, croyez-le ou non, cela commençait à devenir, bel et bien, pénible, lassant… À cet instant fatidique, pour son bien, pour le tien… Pour vous mettre à l'abri du danger… Pour la protéger, envers et contre tous, contre vents et marées… La femme, se vouant bien sous tout rapport, docile, tu allais la laisser partir, s'envoler à jamais… Ce petit bout de femme, naïve, innocente… Sainte, de surcroît, tu voulais la baffer… Délibérément, la dénigrer... « A ton avis, Montgomery ? Je ne vais pas rester là, à ne rien faire, pendant qu'elle déguste bien ! » Finisses-tu par lâcher, finalement… D'un timbre, qui se voulait bien trop criard, à ton goût, sur l'instant, il est vrai… Néanmoins, que tu tentais de te libérer de ces griffes ; d'atteindre le téléphone, reposant patiemment sur le socle du comptoir de bois soufflé… Une chose, que pourtant, tu ne pusses exécuter, quand tu découvrisses, au contraire, ton époux, te retenir davantage. Vous figeant sur place… Tels de marbres statues, au demeurant… Restant aussi droits, que de simples blanches de bois, de vulgaires piquets... « Tu te fous de moi ? Je t'ai dit de laisser tomber… Ça va finir par lui passer… Ce n'est qu'un simple mal de ventre. Rien de plus, rien de moins... » Se contentait-il, tentait-il, vainement, de vous rassurer… De fournir une excuse, qui te fisses écarquiller des yeux, tout bêtement… Se changeant presque en soucoupes, sur l'instant… Tandis que tu laissais s'échapper, bien malgré toi, un petit éclat de rire nerveux… Non sans joie… S'amusait-il seulement à vos dépens ? Il était sérieux, là ? « Qui ose se moquer de qui, maintenant ? Tu crois sincèrement que ça... Ce qu'elle ressent depuis ces derniers jours, ce n'est qu'un simple mal de ventre, comme tu dis ? » Tu te marquais, ainsi, d'une légère pause, à mesure que tu te surprisses toi-même, à lui adresser un petit rictus, pour le moins sarcastique… Tandis que l'empourpré, séduisant et stupide, petit brun, qui te servait de mari, te contemplait, mauvais, mais silencieux… Un brin suspicieux... « Tu peux rester ici tout seul, si ça te chante, mais je l'emmène à l'hôpital. Ils seront plus objectifs et compétents, pour trouver ce qu'elle a... » Renchérisses-tu, d'emblée… Bien décidée à te libérer ; le contourner, pour la secourir… N'ayant cure des sentiments de ton homme, soi-disant mature… Mais, avant même que tu n'eusses la nécessité de t'exécuter, voilà que tu fusses violemment plaqué contre le mur blindé. Te faisant grimacer… Assommée, sur l'instant, par la douleur, qui t'incendiait, t'irradiait, de tes courbes délicates, galbées... « Putain, Ivy, tu ne comprends pas ?! » Aboyait alors, cet imbécile, en frappant des poings, sur les bas-côtés, des murs de placo, pour t'effrayer davantage… Un geste violent, qui t'arrachait, bien plus que tu n'eusses l'admettre… Le revendiquait, au demeurant, un virulent sursaut… Comme une vile chouette, prise dans les phares d'une cage d'aciers, tu demeurais plus apeurée, il est vrai… Ceci dit, guère au point de déclarer forfait, ne plus tenter de bafouer son autorité… Deux coups administrés, sans nuls détours, pour te prévenir, que la prochaine fois que tu prendrais risque de te soustraire à son jugement, tu le regretterais… Évidemment, tu l'étais... Toi non plus, à proprement parler, tu n'aimais point taper du poing contre la table, mais son attitude te contrarier… Tu te sentais lasse de son petit jeu malsain… De le voir te malmener… Aussi délibérément, fusse-t-il... Tirant les ficelles, amusé… Songeant seulement, que, de cette bulle effervescente de mélancolie, de souffrance irascible, tu t'y complairais, à jamais… Tant que tu demeurerais à ses côtés… Toutefois, sans qu'il n'en soit conscient, pour le moment… Que de cette inéluctable vérité foudroyante, fracassante, tu avais lancé, désormais, la machine infernale - lancer, comme il se dusse, la procédure de divorce, depuis quelques jours, il est vrai… Qui plus est, le piège se refermait insidieusement… Les paroisses de verres, qui t'avaient étouffé, t'avaient fait suffoquer, depuis maintes années, se retournaient contre lui, à présent… Le karma… De par ses erreurs commises sciemment, pour mieux te hanter, te torturer… De cette incestueuse relation macabre, que son frère, toi-même, aviez découverts, lors de ce maudit mariage… De ta vérité écrasante, que tu avais subie, dans un silence qui n'était troublé que par ta respiration saccadée… Que les discrètes caméras, demeurant partout dans votre vaste demeure, étaient sagement ensevelies, derrière quelques humbles mobiliers, pour le prendre en flagrant délit… Une idée proposée par ton beau-frère, qui allait vous servir, pour le calmer, une bonne fois pour toutes… Tu le confessais… Cela se vouerait plus avisé, raisonnable, de le laisser agir, comme cela… Aussi impudent, sournoisement, qu'il l'était, en cet illustre moment… De laisser tomber l'affaire, comme un vulgaire soufflé… Et pourtant, un coup d'adrénaline, le caprice complice du destin, te poussait à te défendre, à lui tenir tête, quoi qu'il fusse… Sentiment, geste, que tu ne devrais, pourtant, point aggraver, envenimer… De cela, tu allais en pâtir, amèrement le regretter… Bien malgré toi… Bien au-devant de ton trépas... « J'te jure que s'il lui arrive quoi que ce soit… Qu'on touche à un seul petit cheveux d'elle, tu... » - « Tu vas quoi ? Me frapper, comme tu l'as toujours fait ? » En avais-tu profité, pour lui couper l'herbe sous le pied… Lui faisant, bel et bien, saisir, qu'à force… Même si tu n'aimais cela… Que tu te sentais, naturellement mal, quand les coups, prônaient sur ta douce peau de nacre, tu commençais, néanmoins, à prendre fort habitude, tu le confessais… Même si tu ne l'avais jamais crié sur tous les toits, n'en avait jamais, Ô grand jamais, toucher, ne serait-ce qu'un simple mot, à tes proches, ta famille… Ton tendre entourage… Car, au fond de ton être, de ta frêle silhouette, tu ressentais de la peur, de la mélancolie sidérée, oui… De la honte, aussi… Car, tu n'eusses d'autres choix, que de le laisser faire… De prendre des petits morceaux de toi… Inlassablement, te détruire… Te consumant, t'enveloppant de son vil manteau de fumée… Parce que tu avais toujours souhaité préserver, tout autant, les êtres qui te sont chers, qui t'importent réellement, à tes mirettes bleutées… Mais ce que tu consentais, à présent, c'est que ce cher Montgomery n'y avait plus sa place, n'avait plus la moindre petite importance, désormais… Tu n'avais plus aussi peur, en cette journée ensoleillée, ambiante à souhaits… Parce que, grâce à sa famille, à cause de lui, les pièces de la raison s'emboîtaient… Les scintillants astres lunaires, s'alignaient parfaitement… Il n'aurait plus guère la moindre emprise sur toi… De tes chaînes d'aciers, tu allais t'en libérer… Qu'il le veuille ou non, par ailleurs… Tu ne te sentirais plus coupable, de le quitter, de le laisser seul, traumatiser… Hantait, par ses propres démons, se tapissant, depuis toujours, dans l'ombre… La page blanche, de la fourbe romance, t'allais la déchirer - cette romance ternie, semblait révolue, trépassée… Tu n'avais plus à endurer ses heurts, ses erreurs commises jadis… Tu étais au-dessus de lui… Tu méritais mieux que cela… « C'est bon, Montgomery, ça ne marche plus, désormais… Passe à autre chose... » Achevais-tu, avec une certaine indifférence, qui t'incombait… La défiance incarnée… Le chaos, dans son infinie beauté… À son apogée, tu tuais, progressivement, la victime collatérale que tu t'étais discrètement représentée… Et, comme pour couronner le tout - couronner tes propos, tu t'apprêtais à lui échapper... Théâtralement, à te sortir de son effroyable joute ; te tenant, délibérément, sous sa coupe, tandis que tu le remarquais davantage irriter… Grinçant des dents, comme un serpent… Ne devenant que plus furieux qu'il ne l'était déjà… Le rendant, pratiquement, fou à lier… Te reprenant, même, de ses bras imposants, musclés, pour te plaquer, à ton tour, contre les moulures raffinées, d'un blanc immaculé. Te laissant arborer une moue de douleur, dans la foulée... « S'il lui arrive du mal, Ivy… Que son état empire, je te tue ! Je te tue… T'as entendu ? » A ces quelques paroles, subitement balancées… De cette bombe dégoupillée, qui t'implosait… T'assommant, plus que tu ne le crusses l'imaginer, tu sentisses ton teint, devenir blême, lessivé… Tu te sentisses comme un poisson vidé… Une poupée de chiffon… Dénuées de tous sens, de toute expression ; à mesure que ton palpitant cognait, tambourinait dans ta cage thoracique, au point d'éclater... Colorer les murs, de son amère odeur de rouille… Cela aurait pusse sonner, comme non sérieux… Que la haine l'animait, sur le moment, oui… En vain… De cela, il en serait, parfaitement, à même, de te décimer… De sang-froid… Sans nuls remords, ni honte, figurant, sur son visage empourpré, menaçant… Tes fines lèvres, agrémentaient d'un beau rouge passion, s'entrouvrissent, tandis qu'aucun son n'en sortait… Si ce n'est, qu'ils restaient coincés, dans le fin fond de ta trachée… Tu aurais pusses lui dire qu'il s'amusait à tes dépens, qu'il s'agissait d'une blague de fort mauvais goût… Tu t'y fourvoyais, notamment… Vous étiez, irrévocablement, fourvoyé… Tous les deux… Chacun de votre côté… Il résonnait une vicieuse menace, baignant d'une liqueur amère ; partager en deux hémisphères… Régnant, insidieusement, dans l'habitacle… Une sonnette d'alarme, qui te soufflait de ne plus rien rétorquait… Qui te figeait royalement, te tétaniser… C'en était de trop… C'était la limite autorisée… Sans que ce dernier le sache… Jusqu'à la dernière minute, seulement… Quand vous vous présenterez, tous deux, au cabinet… Devant les réputés avocats, cela représenterait un atour majeur, élémentaire... L'une des nombreuses preuves, pour signer le déclin, sonner le clavecin, de l'officielle séparation. Dans ce monde, qui n'entend rien… De le quitter, sans jamais plus guère te retourner… Un tournant définitif, un trait à tirer… Une démarche sérieuse, importante, pour laquelle tu allais mettre les bouchées doubles - mettre un coup dans la fourmilière… Te bouger, plus que de raison… À un point tel, de ne plus guère savoir comment t'arrêter, après cela… Il en valait de ta vie, de ta sécurité, à présent... « Tonton, tata... » Entendiez-vous murmurer faiblement, tandis qu'instinctivement, vos regards effrayés, éteints... Sombres, menaçants, se posaient sur la frêle silhouette, recourber, alimentait par la douleur lancinante, furibonde, de votre tendre et innocente Emily, qui demeurait, tant bien mal, debout… Tentant de se tenir, aussi raide qu'une planche de bois soufflée ; qui vous poussez, pourtant, ensemble, à s'aventurer dans la même direction, pour l'épauler, l'aider davantage… Venir à son secours, à son chevet… Même si, tu aperçusses une légère touche d'interdiction, de peur, sur le doux visage de ton futur ex-mari - la peur irascible, d'avoir été entendu, par sa propre nièce, il est vrai… « Chérie, tu ne devrais pas être là… Va te recoucher. Je vais aller te chercher un peu d'eau, tu veux ? » Ajoutait, ta dite, douce et tendre moitié, d'une voix beaucoup plus sereine, délicate… Suave à souhait, suivi d'une légère couche de quiétude ; à mesure que tu reprisses, doucement, tes esprits tourmentés… Chassant, bien malgré toi, tes émotions, tes sentiments ébranlés... Permutant, entre passer délicatement, tes doigts de fées, dans ta chevelure furibonde, blonde comme les blés. Retombant en cascade, le long de tes épaules dessinées… Les remplaçants, irrémédiablement, derrière le creux de ton dos sculpté, tout en jouant, tenant en tenaille, ton alliance dorée, dans un semblant de malaise, d'embarras invétéré, que tu semblais cacher, pour ne point alarmer, éveiller les soupçons, dans le doute, envers la charmante et magnifique demoiselle, tu le consentais... « Non, je n'en peux plus... » Soulignait cette pauvre malheureuse, avant de se marquer d'une légère pause, au demeurant… Cependant, que le séduisant, colérique Anglais, était à sa hauteur, désormais, pour lui passer un bras autour de son être, de ses frêles épaules délicates, tendrement… Tentant de lui insuffler, à son tour, un semblant de confort, de réconfort… Songeant probablement, bien faire… Que cela marcherait, suffirait à la calmer… Que la douce Emily, l'écouterait - irait s'allonger, une fois de plus, sur votre chaud duvet… En réalité, ses billes vitreuses - alourdies par la souffrance, louchaient entre la carrure magnifiquement imposante de son oncle, ainsi que la tienne… Se targuant, le temps de quelques minutes seulement, pour avouer ce qu'elle désirait… Ce qu'elle jugerait mieux pour elle… Pour lutter de ses maigres forces, pour s'en sortir… Aller mieux, tu le certifiais… Cela se lisait pertinemment, sur son doux visage de poupée… « Je veux aller à l'hôpital… Je veux que ce soit tata, qui… Tata va m'y emmener... » Rétorquait cette dernière, bien difficilement… Quelque peu essoufflée… Toutefois, que ton mari te contemplait, en silence, certes, mais en le voyant serrer les dents, résignait… Toi, tu approuvais d'un léger signe de tête, entendu… Désormais, la guerre était déclarée… Cette petite bataille, tu l'avais gagné, oui… Mais le reste s'en verrait beaucoup plus ambiguë, intensif, chargé… Les risques, les enjeux étaient immenses… Et pourtant, une brèche s'ouvrait… Il te fallait pénétrer dans les derniers abysses, si tu voulais en ressortir… En être débarrassée, définitivement… Le devenir de ton vaste monde de chimère… Ce trou noir et béant, dans lequel tu avais glissé, importait peu, désormais… Tu allais reprendre les choses en mains - accompagner, soutenir la jolie brunette. Après, tu songerais à toi… T'attellerais aux dernières choses sérieuses, pour t'en dépêtrer… Montgomery… Tu n'hésiterais plus… Tu allais l'abandonner… Tu allais divorcer, le quitter officiellement… Tu y mets ta main à couper…


Passant le seuil des urgences, de la spacieuse salle, où jonchaient de nombreux enfants, se voulant de tout âge ; allongés sur des brancards à roulettes, pour le côté plus pratique… Pour emmener les jeunes patients, en salles de radiologies, ou encore, d'opérations, voilà que tu demeurais patiemment, bien qu'angoissée, sur l'instant, aux côtés de ta chère et douce Emily, qui se tortillait toujours autant de douleur, tandis que tu tentais vainement, de lui apporter un quelconque semblant de confort - la réconfortant, sur le fait qu'un médecin n'allait guère tarder à, bel et bien, s'occuper d'elle. Tu t'apprêtais à passer tendrement, une main délicate, dans ses cheveux filasses, finement éparpillées, sur le moelleux oreiller, lorsque promptement, un jeune homme, venant du service médical, se risquait à pousser le rideau, d'un blanc ivoire, qui délimitait chaque périmètre intimiste, pour protéger, un tant soit peu, chaque patient, se trouvant sur les bas-côtés, où, de son côté, ta belle et innocente nièce, était allongée, il est vrai… Démontrant ainsi, que le séduisant apollon, à la carrure magnifiquement élancée, athlétique, musclée, allait s'enquiert de l'état de cette pauvre malheureuse… Trouver, tu l'espérais ardemment, la source de ses tourments… S'approchant dont, se mettant à votre hauteur, à mesure que tu te marquais d'un léger écart, pour amplement lui laisser toute la place nécessaire… D'être libre, dans le moindre de ses gestes et mouvements, pour la charmante demoiselle... « Salut Emily. Madame. Je suis le docteur Kane. Tu as mal au ventre : tu acceptes que je touche ton ventre ? » Débuter l'attentionné, bienveillant médecin, d'une voix qui se vouait, avant toute chose, cristalline, chaleureuse… Des plus courtoises… Donnant, professionnellement, une vague identité de lui, avant même de rassurer, questionner la sublime et naïve brunette, s'il pouvait se permettre de la toucher, de l'ausculter ; comme le métier protocolaire l'imposait, pour mieux en poser, dans les plus brefs délais, le diagnostic… Cette dernière se mit dont à te contempler, en arborant une moue de souffrance, afin de donner ou non, ton consentement… Tu en profitais, tout autant, pour saluer tout aussi poliment, l'éventuel sauveur, de ta ravissante Emily, néanmoins que tu approuvais d'un léger signe de tête, pour donner ton accord. Louchant ainsi, entre les deux protagonistes, attentive… Non sans te targuer, davantage, de te montrer plus angoissée que jamais… Un sentiment, que pourtant, tu te devais, bien malgré toi, de chasser dans un petit coin de ton esprit ébranlé, pour ne point faire paniquer, plus que de coutume déjà, la délicate et parfaite petite Australienne, sur l'instant… Patientant dans un silence, qui n'était troublé, que par ta respiration saccadée, irrégulière et presque unie au médecin, qui, lui, demeurait serein - attendant que le pronostic tombe… Des secondes, de longues minutes qui parurent se figer, s'égrener, étrangement, à travers ce sablier, qui marque votre apogée, votre temps... « Bien… Il s'agit d'une crise d'appendicite. Je l'envoie en chirurgie. Vous pouvez accompagner votre fille, mais vous resterez en dehors du bloc... » A ces quelques paroles, sagement balancées ; ce verdict prononcé, tu aperçusses, découvrisses la délicate et innocente brunette, te toisait avec torpeur, tandis que son souffle haché, se coupait irrémédiablement… Cependant, que, de ton côté, bien que tu en fusses d'autant plus stressée pour cette malheureuse, tu lui adressais un mignon petit rictus, rassurant. Remerciant chaleureusement, le personnel, du corps médical, dans la volée… Faisant savoir, en retour, par de tendres mots, que tu serais là, pour la parfaite demoiselle… Que tu l'attendrais sagement, durant ce temps - quand elle serait sur la table métallisée. Paisiblement endormie… Que tout se passerait, comme il se fusse… De cela, il le fallait… Même si ce genre d'opération, ne s'annonçait gravissime, en soi, il est vrai… C'est simplement, qu'après cela, ta douce et charmante nièce, aurait peut-être, un peu de mal, les premiers jours de son émergence, à tenir debout… Aussi raide qu'une planche de bois soufflée… Et quand bien-même, tu craignais… Te montrait discrètement tétanisée, par ton rustre, ton violent mari ; que tu te savais pertinemment, que, de ses viles menaces, ils les appliqueraient… Pour la santé, le bien-être de ton entourage… De ta douce et aimante famille, tu serais prête à tout, pour les épauler, les aider à se relever… De les préserver, envers et contre tous. Contre vents et marées. Quoi qu'il t'en fusse... « Allez, suivez les infirmiers. Votre fille va avoir besoin de sa maman. » Achevait le séduisant, envoûtant, charismatique et parfait petit brun, accoutré de son pyjama, couleur acier, qui le mettait en valeur… Te décontenançant presque, agréablement… Davantage, quand tes orbes apeurés, rencontrèrent subitement les siennes, aux couleurs chatoyantes, d'un bleu océan… Malgré la situation délicate qui se matérialisait, devant vos êtres, vos frêles silhouettes… De ce simple détail, relégué au fait, qu'il t'avait prisses pour sa chère et aimante mère, tu aurais presque pusse échapper un léger rire nerveux. En réalité, si celui-ci le savait… Physiquement, dans tous les cas, vous ne vous ressembliez point… Mais craignant l'idée, que tu ne pusses rester davantage, aux côtés de la parfaite victime, tu te réduisais d'autant plus au silence, en cet illustre, fatidique moment… Si ce n'est, que, chaleureusement, courtoisement, tu remerciais, une fois de plus, le jeune et charismatique docteur. Lui adressant un faible petit rictus, avant d'emboîter le pas, à la tendre Emily, qui se fisse emporter délicatement, dans son brancard, vers la salle d'opération, se trouvant un peu plus loin… Dans le labyrinthe de couloirs spacieux… De longues et douloureuses minutes, qui s'écoulèrent bien plus rapidement que tu ne le songeais, néanmoins que tu tentais, une fois encore, d'insuffler un semblant de réconfort, à l'innocente brunette, qui finisse par disparaître à ta vue désenchantée, impuissante, torturée… Des plus affligées, tourmentées, à mesure que les portes blindées, se refermaient, presque sous ton nez aquilin, délicat… Qu'un des assistants, te conseillait sagement d'attendre là, sur le bas-côté… T'invitant même à t'assister, sur l'un des fauteuils feutrés, prônant solennellement dans cette rangée, où étrangement, tu semblais seule… Livrée à toi-même, et à tes démons, tapis dans l'ombre… Attendant que tu daignes baisser ta garde, pour mieux te tourmenter, te hantait… Tu t'exécutais dont, telle une poupée de chiffon. Soupirant, à maintes reprises… Ayant presque la bougeotte, tellement tu fusses angoissée pour cette dernière, pour toi, tu le consentais… Alors qu'on s'affairait, en salle, pour aider ta pauvre nièce, à se sentir mieux… À guérir, à l'avenir… Et le temps défilé, encore et toujours… Tout te semblait abstrait, superflus… Indigne de tout intérêt… Il n'y avait que ta famille, ta délicate Emily, qui t'importaient… Tu ne désirais guère qu'il y arrive quelconques complications, certes… Et cela te rendait pratiquement folle à lier… À tel point, que tu te mettais à tourner en rond, à faire les cent pas… À la recherche de sérénité, d'ivresse d'autrefois… Tant de souvenirs amers, terni à tout jamais… Au détour d'un film muet… La peur incandescente, lancinante, te prenait insidieusement… T'irradiant… Si ce n'est que tu fusses, pratiquement, prise de foudroyants vertiges… Ton vaste monde tournait… Il te fallait sortir, à l'air frais… Tentait de te vider l'esprit, retrouver un semblant de raison, qui, en cet instant, te fuyait sans contrition… La pauvre âme en perdition… Tu soufflais dont un bon coup, pour te donner du courage et te risquais à arpenter le vaste couloir… En quête prioritaire, de trouver la lumière, la porte de sortie… Sans nul doute plausible, que tu te vouais on ne peut plus égarée. Comme une âme en peine. Sans repos, ni trêve… Car, sans que tu le saisisses, toi-même… Sans comprendre comment tu t'étais retrouvé là, dans cette pièce, voilà que, de ta main délicate, irrémédiablement, tu poussais maladroitement, l'un des rideaux réservés aux espaces de patients, du personnel soignant… Tombant, par le caprice complice du destin, sur ce fameux, charmant et pénétrant médecin, répondant au doux nom de Kane, qui, de son côté, semblait pianoter, sur le pâle clavier d'un ordinateur… Probablement pour entrer des informations, de sa nouvelle recrue de patients, souffrant de divers heurts… À mesure que tu le visses te contempler, interloquer… Alors que tu rougissais, telle une pivoine… Ne sachant que riposter, que souffler… Néanmoins, que tu te doutais parfaitement, que tu n'avais point à demeurer là... Que tu devais lui paraître bien idiote, sur l'instant, tu le confessais... « Je, hum… Excusez-moi, docteur, je… Je ne voulais vous déranger, mais... » Balbutiais-tu, embarrassée… Avant même de te marquer d'une légère pause, au demeurant… Dardant de tes billes bleutées, le séduisant, athlétique, imposant apollon et la pièce intimiste… Te surprenant, même, à passer une main délicate, dans ta chevelure furibonde, blonde comme les blés, sur le moment. Dans un semblant d'embarras… Et voilà que tu sentais encore plus stupide, que tu ne l'étais... Bien plus, que tu n'osais le revendiquer, il est vrai… Ta présence n'était d'être là… Bien au contraire... « J'ai conscience que je ne devrais être ici, mais… Je crois que je me suis tout bêtement égarée... » Consentais-tu à lui souffler, presque d'un murmure… Tout en prenant peine, de capturer ton alliance ; la prenant en tenaille. Te mordant même la lèvre inférieure… Sans nul doute plausible, que tu devais faire pitié, à être vue ainsi - comme une enfant, prise dans les mailles du filet… Voir, comme une bête de foire… Tu pourrais te maudire… Le séduisant et charmant petit brun, pourrait tout aussi bien s'amuser à tes dépens… Ou pire encore, te sermonner… Et pourtant, à cet instant, étrangement, tu te sentais presque rassurée de le voir ici… De demeurer à ses côtés… De l'avoir trouvé, par un délicat hasard... « Est-ce que… Ça ne vous dérangerait pas de m'accompagner un peu, dehors ? De faire un petit bout de chemin, ensemble ? » Achevais-tu ; le questionnais-tu, courtoisement. D'une voix, beaucoup plus posée, délicate. Presque cristalline… Bien qu'on y décelait aisément, une pointe d'embarras, d'angoisse invétérée… Qui plus est, cela serait tout à fait en l'honneur du parfait médecin, de décliner ta chaste proposition, tu l'admettais… Néanmoins, étrangement... Sans y poser de mots, pour définir tes sentiments, sa présence t'apaisait… Bien plus, que tu n'osais l'imaginer… Si ce n'est, qu'il semblait dégager quelque chose de solaire, chez lui… Comme si, bien malgré toi, cet ange était tombé du ciel, pour t'arracher à tes sombres, tes vils tourments… Tu ne saurais l'expliquer davantage… Cela était comme si tu te sentais connectée à lui, d'une certaine manière… Qu'un lien, bien défini, vous unissez… Que le fil rouge de l'apesanteur, vous liez à jamais… L'âme en flamme… Un nœud, qui se formait dans le creux de ton ventre plat, voilà que, par un simple regard échanger, tu te sentisses transporté, vibrer… Qu'irrévocablement, tu frissonnais… Bien que tu n'avais froid… En réalité, étrangement, tu te sentisses entouré d'une bulle aux couleurs chatoyantes… Tout ce qui demeurait autour de vous, ne semblait que supercheries et amers regrets… Que de raisons superflues, indigne de tout intérêt… C'était comme si tu avais été faite, pour irrémédiablement, le retrouvait… Comme si la raison, te poussait, désormais, à ne plus guère disparaître, à sa vue enchantée… Comme, sans nulles raisons apparentes, on vous décrétait, que vous seriez des âmes-sœurs, il est vrai… Au risque de paraître totalement stupide, royalement clichée… Davantage pathétique, tu le consentais… Alors que toi-même, à cette théorie débile, tu n'y croyais, y adhérais… D'aussi longtemps, que tu t'en souviennes, désormais… Et pourtant, tu ne saurais déblatérer, avouer pour quelle raison, tu ressentais tout cela… Que cela remontait à la surface, à présent… Toi, qui ne représentait qu'une simple jeune femme banale, désuète… Menant une existence salvatrice, Ô combien destructrice… Ballon noir, te clouant inéluctablement les pieds…







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    /i\ note personnelle /i\ : Clique sur le mot « pièce » , dans la demeure de Monty et Ivy, et regarde ce qui se passe ! :09: Coup de foudre à l'hôpital ( ft Ivy) 3604000683
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MessageSujet: Re: Coup de foudre à l'hôpital ( ft Ivy)   Coup de foudre à l'hôpital ( ft Ivy) EmptyLun 18 Juil 2022 - 11:10

Coup de foudre à l'hôpital

Ryan & Ivy

 Après avoir envoyé la jeune fille et celle qui l’accompagnait au service de chirurgie, je peux reprendre la suite des paient qui attendent. Je m’empare avant tout du clavier d’un ordinateur afin de rentrer dans la base de données le cas de la jeune Emily, et noter son entrée. Ainsi le médecin en prenant la jeune fille en charge, pourra sur l’intranet internet, retrouvé mon diagnostic et mes premières constatations. Mathilde accoudé contre le comptoir de la réception me regarde avec insistance, je relève les yeux :
 
« Quoi ? »
«  Elle te plaît bien la blonde qui accompagne la jeune fille »
«  Hein n’importe quoi »
«  Votre regard ne trompe pas »
«  Occupez vous des patients »
«  Ecoute moi jolie cœur, si je ne t’avais pas vu, ben là tu m’a convaincu que le coup de foudre existe »
« Vous dévoriez du regard »
«  Non, mais vous avez fini oui. Vous avez du boulot et aussi »
 
Mathilde m’adresse un regard remplit de sous entendu et me temps le formulaire de on patient suivant, reprenant enfin le professionnalisme qui convient enfin presque :
 
«  Madame Goldberg, je te passe les détails, elle te veut toi, tu es le seul qui prend compte de ses douleurs, tu veux mon avis ? »
« Non mais tu va te priver de le donner »
«  C’est une personne âgée qui souffre de solitude, tu es le seul qui s’intéresse à elle t qui accepte de perdre son temps avec elle »
 
Je ne tiens pas compte des remarques de la chef des infirmières er rejoins la personne âgée qui attend dans le box 2. Et l’ausculte et décide après plusieurs minute de l’hospitaliser, je sais que mon père va venir me souffler dans les bronches car selon lui je dépense l’argent des lieux pour des patient qui n’on pas besoin d’une hospitalisation. D’ailleurs Mathilde n’hésite pas à me le rappeler. Sans y prêtes attention je prends patients sur patients faisant mon job pendant une bonne partit de la matinée. Il vers onze heures quand je prends mes dossiers et ordinateur portable et quitte les urgences pour un lieu plus calme pour mettre mes dossiers à jour, me réfugiant dans une salle derrière un rideau ou en règle générale les patients y sont conduit en cas de lit non disponible, ce qui n’est pas le cas.
 
Je suis en pleines rédaction d’un dossier que le rideau est tirée, mes doigts restent en suspens au dessus du clavier observant la personés qui vient m’’interrompre. La jeune femme ayant accompagné la jeune Emily est là, elle s’excuse de me déranger, mais ça ne m dérange pas bien au contraire, je sens mn cœur battre à tout rompre. Elle veut sortir et qu’on parle un bout, je me lève est m’approche lui indiquant par où aller :
 
«  Avec plaisir, vous savez comment je m’appelle, si on commencé par me dire qui vous êtes. Je vous offre un café »
 
C’est avec un sourire sincère que je l’emmené dans le bar/café en face des urgences. Un vif regard à ma montre, je remarque que la petite fille et soit encore en chirurgie, soit en salle de réveille, elle à bien quelques minutes à m’accorder. Une fois assis à une table et commande passée je lui dis :
 
«  Ce n’est pas votre fille n’est ce pas, j’ai vu votre réaction quand j’ai émit cette hypothèse »
 
Je ne veux pas être indiscret, mais j’aime connaître l’histoire des gens, de plus je suis toujours me patients, donc un contact avec ceux qui les emmène est une bonne chose, d’autant que malgré moi, je me rend compte que mes collègues non pas tord, je sens bien que avec cette fille ça va au de la du simple fait que d’être sympa avec la famille du patiente. Serait ce ça le coup e foudre dont tout le monde parle.


codage par LaxBilly.
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MessageSujet: Re: Coup de foudre à l'hôpital ( ft Ivy)   Coup de foudre à l'hôpital ( ft Ivy) EmptyMer 27 Juil 2022 - 1:06


A great hero teaches an entire city that dancing is the greatest thing there is.

I am not some starry-eyed waif here to succumb to your... your pelvic sorcery.

Et voilà que tu te retrouvais, bien malgré toi, à flâner, errait dans les quelques blancs couloirs froids… À te chercher, comme une vile souris apeurée… Retenue dans le labyrinthe de la déroute ; là où ton âme, tes esprits embrouillés, ébranlés, anxieux à souhaits, te font amèrement douter… La sortie, comme une sombre idiote, tu ne l'as retrouvée… C'en était presque ridicule, pathétique, il est vrai… Il fallait l'admettre que tu n'avais guère eusses nécessairement l'opportunité certaine, de mettre les pieds, dans le spacieux bâtiment médical… Si ce n'est, pour y déposer, quelques fois, ton entourage, ta chère et tendre famille… Pour faire, dans la volée, un rapide check-up, pour constater si tout allait, bel et bien… Autant que faire se peut… Mais, au fond de ton être, de ta frêle silhouette, tu n'aimais point cela… Arrivait en ces lieux… À tes mirettes bleutées, cela ne présageait jamais rien de bon, dans le fond… Que les visites comme telles, tu les avais fuis, sans contrition… Plus depuis que tu t'étais retrouvé au chevet de ton aimante mère, il y a de cela, maintes années, tu le confessais… Cela ne te rappelait plus que pénibles souvenirs à supporter… Vils tourments, liqueurs amères, partager en deux hémisphères, à surmonter. Grosse pilule à avaler… Et pourtant, en cet instant même, ton instinct t'avait dicté de mener, accompagner ta ravissante, innocente Emily, qui, à cette heure solennelle, demeurait encore, qui sait, sur la table métallisée… Et toi, comme une idiote balafrée… Pratiquement prise de quelques vertiges lancinants - d'un sentiment d'inconfort, de malaise certain envers cette pauvre malheureuse, ta délicate situation, tu t'étais tout bonnement égarée, comme une brebis galeuse… Te surprenant, même, bien malgré toi, à atterrir par mégarde, dans cette pièce intimiste, qui servait à quelques patients de s'assister, de s'allonger, si les quelques dispensaires, n'étaient que trop prisés… Toutefois, en cette ambiante journée ensoleillée ; et fort heureusement, il n'y vouait âmes qui vivent… Si ce n'est qu'il y régnait un sentiment de sérénité… Et toi, irrémédiablement, machinalement, tu relevais le pâle rideau… Découvrant ainsi, le charismatique, attentionné, délicat médecin, que tu avais pusses croiser, dans le courant de la matinée… Il était là, sagement assisté sur le fauteuil feutré, à te contempler intensément… Se demandant, ce que diantre, tu faisais là, probablement… Que, peut-être, tu n'avais ta place ici… Les doigts fins, planant, s'arrêtant de pianoter sur le lourd clavier, tu te mordais la lèvre inférieure. Prise d'un semblant de quiétude, d'embarras certain… Tandis que tu lui présentais tes plus humbles, mais sincères excuses, de l'avoir dont troublé… Le questionnant d'une voix douce, suave, s'il pouvait se permettre un moment, pour t'indiquer la sortie ; prendre d'un peu de son temps, pour s'engager quelque peu, dans une légère conversation, te tenir compagnie… Peut-être aussi, parce que sa somptueuse présence te rassurait, d'une certaine manière… Qu'irrévocablement, ce fusse le coup de foudre… Que follement, sans que tu n'eusses réellement l'envisager, l'expliquer, il te plaisait… Tu n'étais guère préparé à cela ; à te laisser embarquer… Mais l'amour, c'est comme une vague… Dans l'abysse infernal, elle t'emportait… La vague effervescente de mélancolie, que toi seule, tu savais, à la perfection, maîtriser… Elle te matait, te mettait, désormais, sur le bas-côté… Et ton regard assommé, stupéfait, ne se détachait plus guère du sien… T'en avait l'âme en flamme, au point d'imploser… Les mains qui devenaient moites, sans que tu ne pusses rien faire de plus, pour agréablement te calmer… La sueur tombait, couler abondamment, le long de tes petits doigts de fées… La décharge électrique... Comme une bougie, aux délicates flammes vacillantes, tu te consumais… Putain… T'as vraiment envie de faire ce tour de montagne russe ? « Avec plaisir, vous savez comment je m'appelle ? Si on commençait par me dire qui vous êtes ? Je vous offre un café. » Consentait-il à t'avouer ; à subtilement te questionnais… De chercher à connaître ton identité, dans la volée… D'une voix avenante, mélodieuse, des plus cristallines… Se levant délicatement… Se mettant à ta hauteur, en t'indiquant, vous dégageant le vague terrain… Vous rapprochant, presque physiquement, le temps de quelques secondes, au demeurant… Vous plongeant presque dans une ambiance intimiste, qui, agréablement, sensuellement, te décontenancer, te chambouler, plus que la nécessité… Tandis qu'un mignon petit rictus arborait, illuminait davantage, son doux regard envoûtant, pénétrant. Mon Dieu… Avais-tu seulement avoué, soufflé, qu'il était séduisant, avenant… Des plus attendrissants et attentionnés ? Et étrangement grand, au demeurant ? Pour ta part, tu ne te sentais guère petite, pour autant… Néanmoins, à ses tendres côtés ; plonger, dans cette irréelle torpeur dorée, c'est ainsi que tu le ressentais… Tu pourrais pratiquement en perdre tes moyens, fuir tout semblant de raison… Et les folles pulsions, les passionnés sentiments se manifestaient que plus encore… Te frappant, plus que tu n'osais l'imaginer, le revendiquait… Une âme damnée que tu représentais ; et dont, sans savoir pour quelles raisons apparentes, tu désirais ardemment la lui donner… De se risquer, s'il le voulait, à te mettre au supplice, te matait… La passion, ce n'était qu'une sombre, une simple pensée, que tu croyais aimer… Et oui, manifestement, t'étais repartie pour les montagnes russes… Inconditionnellement, tu avais envie de remonter, de sentir… De demeurer en apesanteur, dans les âges affriolants, trompeurs, des rails cuivrés… Faible, misérable personne que tu demeurais - sublime, éblouissante, divine, parfaite créature enchanteresse, qu'à lui seul, désormais, il représentait… Acte d'appartenance, que bien malgré toi, tu signais… À tes risques et périls, il est vrai... « C'est fort aimable à vous, merci. Et naturellement, docteur Kane ! Comment oublier un joli nom, comme le vôtre ? Bien qu'en tout bien, tout honneur, je suis certaine que votre prénom, doit être tout aussi sublime. Qu'il doit vous aller à ravir, non ? » Lui soufflais-tu, presque d'un murmure, sur l'instant… D'un ton, qui se vouait tout aussi suave, chantant… Un brin séducteur, mais sans paraître indécent… Lui retournant, dans la volée, un mignon petit rictus, accompagner d'un léger clin d'œil, tandis que tu te marquais d'une légère pause… Te sentant apaisé ; beaucoup plus à l'aise, en sa troublante, mais charmante compagnie… Te surprenant, ainsi, à tâtonner le terrain, pour en apprendre davantage sur lui… Avant même de te risquer à hausser légèrement, tes frêles épaules dessinées… Ton identité, était-elle réellement intéressante, percutante, à un point tel, que ce délicat, parfait petit brun, marque son bel esprit, d'emblée ? Tu serais tenté, pratiquement, de lui souligner que tu pouvais être celle qu'il désirerait, mais sans nul doute plausible, que le cadre de la pensée en était des plus déplacées… Qui plus est, probablement que ce séduisant, charismatique, exquis apollon à la carrure magnifiquement élancée, musclée, avait bien d'autres chats à fouetter, que de s'attarder, plus que de coutume, à une insignifiante jeune femme docile, que tu voulais bien montrer… Mariée, de surcroît, tu le consentais… Non, naturellement… Il devait y avoir foule qui se bousculait, se tirerait aisément dans les pattes, pour se trouver à son bras… Se noyer irrévocablement… À jamais, dans les tréfonds de ses orbes bleutés, chatoyants… De goûter à la saveur sucrée de ses lèvres, et, sciemment, se laisser tenter par beaucoup plus de flatteries, d'affriolantes passions, de douces gâteries... « Je m'appelle Ivy-Céleste Applewhite. Mais tout le monde m'appelle Ivy… Et, pour ce qui est du café, je ne dis pas non… À condition que la prochaine fois, je vous l'offre ! » Renchérisses-tu, d'emblée… Lui exprimant, de par cette tournure éloquente, ta gratitude respectueuse à son égard... Lui certifiant que tu semblais des plus sincères, enchantées… Qu'en tout bien tout honneur, de cette douce attention, tu le lui retournerais… Avant même de lui emboîter le pas, pour, aisément, sortir, en son éloquente compagnie, que tu appréciais. Et plus, si affinités… Un sentiment puissant, fort sincère, que pourtant, tu ne pouvais montrer, lui révélais, sans ménagement… Tant que tu serais liée à cet homme violent, tu ne t'amuserais à jouer aux dépens de ton entourage, de tes proches. Point même, envers le séduisant, envoûtant, romantique, petit brun… C'est dont de ta démarche gracieusement dansante ; à lui adresser, de temps à autre, un mignon petit rictus… À le remercier chaleureusement ; une fois encore, pour la courtoise invitation, que vous arriviez, finalement, dans le bar-café… Les commandes soigneusement préparées - le tout, sagement régler, de la part du ravissant, séduisant, bienveillant et parfait jeune médecin… Une fois confortablement assisté, ce dernier se risquait à te questionner... « Ce n'est pas votre fille, n'est-ce pas ? J'ai vu votre réaction, quand j'ai émis cette hypothèse... » Achevait, ainsi, l'attentionné, ténébreux, charismatique jeune homme, venant du corps médical. D'un ton, que tu crusses serein - dénués de tout reproches et critiques, qui, pourtant, ne pusse t'empêcher de te mordre, délicatement, la lèvre inférieure, dans un semblant d'embarras… Non que son attitude te paraissait quelque peu intrusive… Que cela ne demeure qu'une question… Ou plutôt, une affirmation que trop personnelle, sur l'instant… Bien au contraire ! Seulement, tu te savais pertinemment, que, dans une structure de ce type, le protocole mentionnait bel et bien, généralement, que, tant qu'on ne se vouait de la famille, directement… Qu'on est réellement l'un des parents, pour accompagner, rendre visite au patient, cela se montrait plutôt complexe… Hors, même si, d'une certaine manière, tu la voyais comme telle, ta douce et sublime Emily, il s'avère, que tu ne pouvais endosser ce rôle-là... « En plus d'être séduisant et charmant, vous êtes perspicace, docteur ! » Consentais-tu à lui révéler, le complimentais sincèrement, dans la foulée. T'arborant d'un mignon petit rictus amusé, bien qu'on y décelât une légère pointe d'embarras… Certes, tu ne lui cachais qu'il était bienveillant ; en tout point parfait. Des plus agréables à regarder, qui plus est… Peut-être, que, d'une certaine manière, tu espérais de toute ton âme tourmentée, faire passer la pilule, pour ne guère te faire dénoncer. Et pourtant, dans cette façon subtile de la lui tourner, tu lui montrais, qu'en réalité, il te plaisait… Oui, le beau brun te décontenançait, te troublait agréablement… De même que tu t'enquiers, de l'état de ta naïve, mais douce petite nièce, au fond de ton être, de ta frêle silhouette… « En effet, vous avez raison, à ce sujet… Enfin, je… Je la considère un peu comme telle, mais… En réalité, il s'agit de ma nièce… Et je sais que la plupart du temps, on interdit le fait d'accompagner les patients, aussi loin que vous me l'avez permis de le faire, tout à l'heure… Et je vous remercie sincèrement, profondément, pour vous être montré si avenant et compréhensif. Mais, voyez-vous, en ce moment, ses parents ne sont présents, alors, je… Je me dois d'être là, pour elle, en attendant... » Te justifiais-tu, après quelques longues minutes seulement. En espérant ardemment, que le magnifique, exquis, troublant apollon saisirait l'essence même de tes raisons, qui t'avait poussée à t'exécuter, sans la moindre hésitation… Parce que, tu le confessais, tu n'avais pusses supporter cela - de la voir dans un tel état... Durant de nombreux jours, au demeurant… Bien que cela se vouait être une opération sans risques, la constater, impuissante, dans le chaud duvet, de ton dit bien-aimé, ainsi que le tien… Souffrir autant, de la sorte, tu n'avais pusses l'envisager, supporter cela… Néanmoins, tu pouvais aisément comprendre les mesures imposées par les hôpitaux, le personnel soignant… Par ailleurs, tu présenterais tes plus humbles excuses, si tu avais intentionnellement froissé ce dernier… Qu'en tout bien tout honneur, il te le soulignerait ; et dont, tu ne désirais, dans le fond, bafoué son autorité… Il faut croire que, parfois, tu es une véritable tête brûlée... « Et vous, alors ? Vous avez de la famille, ici, dans cette charmante ville ? » Lui retournais-tu, d'une voix suave, avenante. Cristalline à souhaits. Tandis que tu te noyais dans l'intensité troublante, de ses mirettes, aux chatoyantes, vives couleurs océaniques… Te sentant agréablement intriguée, par le doux, romantique, séduisant médecin… Par un semblant de son passé, que tu désirais tant découvrir… Non sans lui paraître que trop intrusive, le forcer à se confesser : à savoir, s'il avait fondé une famille, s'il était systématiquement marié… Tu n'étais là, à ses charmants côtés, pour le braquer… Bien au contraire… Mais bien parce que cela te paraissait des plus légitimes, un véritable enchantement à l'idée d'apprendre à le connaître, à gentiment l'apprivoiser. Même s'il te faisait inconditionnellement craquer, vibrer, au fond de ton être, de ta frêle silhouette. Tu le certifiais… Ceci dit, tes sentiments se voulaient fort louables, fort nobles, oui… Tu ferais tout, pour que vous puissiez passer un agréable moment. Pour trouver grâce, à son doux regard envoûtant, pénétrant.


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MessageSujet: Re: Coup de foudre à l'hôpital ( ft Ivy)   Coup de foudre à l'hôpital ( ft Ivy) EmptyLun 1 Aoû 2022 - 13:49

Coup de foudre à l'hôpital

Ryan & Ivy

 Alors que je lui demandais comment il s’appelait tout en lui proposant d’aller boire un café, cette dernière voulait savoir quel était le mien de façon des plus surprenantes. Cette fille avait tout pour me plaire. Face à ses magnifiques yeux je ne pouvais que répondre :
 
« Ryan, mon prénom est Ryan »
 
Ayant révélé le mien, c’est ça son tour. Ayant accepté ma proposition d’aller boire un coup tous les deux dans le café d’en face de l’hôpital, je pus enfin découvrir qu’elle s’appelle : Ivy.  Malgré tout nous étions encore loin de nous connaître, ce qui m’intéressait pour le moment c’est exactement de savoir quel était le lien entre elle et la jeune Émily. Un foie pris place et nos commandes faites je ne pus retenir plus longtemps ma question. Sa réponse me fit sourire, je suis charmant, séduisant et perspicace. J’avoue ce n’est pas pour me déplaire. Malgré tout ce n’est pas avec de la flatterie que j’allais oubliée la question que je venais de lui poser. Je voulais une réponse, et je comptais bien l’avoir, je posais donc sur Ivy un regard des plus interrogateurs qui soient. C’est pas ça mais ont été toute ouïe que j’ai goûté des paroles qui sortent de sa magnifique bouche. Mon hypothèse était donc la bonne, ce n’était pas sa mère et sa tante. Elle m’expliqua sans détour les raisons pour laquelle elle ne m’avait pas repris au moment où j’avais cru qu’elle était sa mère. Après tout la petite fille avait besoin d’un soutien d’un adulte et comme il n’avait qu’Ivy la question ne se posait même pas.
 
Le protocole hospitalier, est quelque chose que je me dois de respecter pour deux raisons. Premièrement je ne suis pas un médecin lambda je suis quand même chef des urgences je dois montrer l’exemple. Deuxièmement mon nom de famille Kane n’est pas sans rappeler celui du directeur d’hôpital, et en tant que tel je me dois de suivre ce protocole qui réduit notre marge de manœuvre, mais bon c’est ainsi. Ce n’est pas moi qui dicte les règles mais c’est moi qui les fais appliquer aux urgences du moins.
 
Alors que j’en apprenais plus sur cette jolie blonde, qui je dois bien le dire fait battre mon cœur plus vite, que ses yeux m’envoûtent. Et que son parfum m’ensorcelle, entendre sa voix mélodieuse me fait avoir des papillons dans le ventre et des petits picotements dans toutes les parties nerveuses de mon corps, et tout le monde sait très bien qu’à ce niveau là, les humains est plutôt bien fourni. J’avais bien du mal à détacher mes yeux d’elle, heureusement je pouvais compter sur ma boisson pour me ramener des pieds sur terre tellement celle-ci était chaude, si vous voulez mon avis il n’y a pas que la boisson qui a fait monter la température mon corps. Elle nous posait la question à savoir si j’avais de la famille ici en Australie ou plus exactement en ville. Bien que sa question semble anodine et même appropriée, j’ai envie de croire qu’il y ait une raison cachée derrière. Je sors mon portefeuille et il tire une photo d’identité d’un petit garçon d’environ cinq ans un blondinet que je lui tends :
 
« Il s’agit de mon fils, Jackson. Il à cinq ans sa mère est partie il y a quatre ans environ justes après notre divorce. Donc on est plus que tous les deux lui et moi. Enfin il encore ses grands parents côtés paternels et maternels mais bon dans 95 % du temps on n’est que deux »
 
En sa présence je ne pouvais m’empêcher de sourire. Je venais de finir ma boisson et en croire ce que je voyais elle aussi. Ma pause touchait à sa femme il était temps pour moi de reprendre le boulot de me replonger dans les dossiers et continuer de prendre en charge les quelques patients, qui sont dans la salle d’attente des urgences, qui à vrai dirent jamais vraiment vide. Quant à elle je pense qu’elle aimerait se rendre aux côtés de sa nièce, à l’heure qu’il est celle-ci doit être sorti du bloc, elle doit être soit en salle de réveil, soit dans une chambre. Après avoir payé les commandes on se sort en sortie sur trois assis sur le trottoir, l’air était chaud et, je ne sais pour quelle raison, je passe  rapidement une main dans son dos et l’autre dans sa nuque et l’attira moi, afin de déposer sur ses magnifiques et délicates lèvres les miennes. Je rêve peut-être où berce l’illusion, mais je n’ai pas l’impression qu’elle m’ait repoussée je crois même qu’elle a répondu à mon baiser tout simplement. Qu’est-ce qui m’a pris ? Une envie j’avais comme l’impression que c’est ce que je vais faire et que rien au monde ne pourrait m’y empêcher et c’était divin.


codage par LaxBilly.
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MessageSujet: Re: Coup de foudre à l'hôpital ( ft Ivy)   Coup de foudre à l'hôpital ( ft Ivy) EmptyLun 5 Sep 2022 - 0:38


A great hero teaches an entire city that dancing is the greatest thing there is.

I am not some starry-eyed waif here to succumb to your... your pelvic sorcery.

À peine passait, de vos démarches gracieusement dansantes, royalement rythmées, la devanture du café… Que ce délicat, attentionné, séduisant, romantique, parfait médecin, si ténébreux, sexy et divin, te retint la porte blindée, en tout homme galant, sensuel, qu'il demeurait… Que tu fusses des plus touchées par ces tendres gestes et intentions - profitant de ce fait, pour le remercier chaleureusement… L'attendant sagement, le temps de quelques brefs instants au demeurant, pour te trouver, de nouveau, à sa hauteur ; pour lui souhaiter naturellement, avec la plus grande tendresse qu'il fusse, ainsi qu'un respect inconditionnel, une merveilleuse reprise, une belle après-midi, voilà que tu fusses prisses d'une surprise certaine, qui, instinctivement, te poussait à passer une main délicate, sur ton doux visage pénétrant - comme pour te protéger, envers et contre tous, de ces affres de chaleur… Ce gouffre de vapeurs incandescentes, ressortant des trottoirs goudronnés… Liés, en dépit de cette folle journée ensoleillée, qui tapait… Bien plus que la nécessité, il est vrai… Te risquant, même, s'il le valusse, de replacer quelques mèches de cheveux volages, blonds comme les blés, qui pourrait barrer ta vue enchantée, à l'envoûtant, troublant regard de ce sublime, exquis, charmant, bienveillant apollon à la carrure magnifiquement élancée, musclée, imposante… Mais, sans paraître que trop effrayante, extrême, tu le consentais… Voulant lui exprimer, notamment, une fois de plus, ta sincère gratitude, pour avoir pris de son temps si précieux, d'avoir offert le chaud breuvage… D'avoir échangé avec grand plaisir, ainsi que la plus douce des courtoisies qui fussent, de t'avoir porté généreusement compagnie… De cette folle torpeur chatoyante, qui y régnait… De votre alchimie, qui ne faisait que croître, à chaque minute au demeurant… De cette forte pulsion et sentiment, qui y régnait en maître conquérant, triomphant, il est vrai… Qui se voulait agréablement palpable, c'est, sans le moindre détour, le moindre aménagement… Sans nulles indécisions ou frayeurs certaines, qui y prônaient, que le beau brun en profitait, bien rapidement, de son côté, pour passer, dans un premier temps, une main délicate, dans le creux de ton dos droit ; ainsi que de l'autre, pour la poser doucement, sur ta nuque, afin de pouvoir t'amener jusqu'à sa troublante, sublime silhouette, élégamment mise en valeur, pour sceller ses fines, délicates et magnifiques lèvres sur les tiennes… Coup de passion, effervescente bulle de bonheur sidéré, aux douces couleurs chatoyantes… Le caprice complice du destin, le coup de foudre : le coup de l'adrénaline vous foudroyant dans son infinie beauté… Sans ménagement… Les jambes devenant agréablement coton… Ton être qui t'irradiait de délicats picotements, à un point tel de te vouloir endolorie, sur l'instant présent… L'ascenseur émotionnel, l'âme en flamme, tu en profitais également, pour coller sensuellement, délicatement, ta pâle, frêle silhouette contre la sienne. Prolongeant cet ardent baiser passionné - cherchant sa langue… La mêlant à la tienne, avec désirs et curiosités… Un goût de fortes épices, mélanger à ces copeaux de sucres, résultant du café ingurgiter, qui t'enivrait, te mettait que plus encore, sur le bas-côté, te décontenancer, tu posais avec tendresse, une main sur sa douce joue de nacre ; l'autre se logeant doucement, entre l'arrêt de son cou feutré, délicat, ainsi que sa clavicule, voilà que ton monde retrouvait de sa saveur, de sa splendeur, de son éclat... Agréablement, il tournait… Vous faisant agréablement valser... Tout ce qui t'entourait te semblait abstrait, indigne de tout intérêt… Tu te sentais bien, heureuse, épanouie. Totalement en harmonie, avec le séduisant, charismatique, romantique Australien… Pour rien, tu ne désirais troquer vilement ta place… Disparaître à sa vue chatoyante, troublante, enchantée… Ce sentiment, l'amour… Tu l'avais crusses, durant maintes années, royalement évanoui, trépasser. Tu le confessais… Ce dernier réussissait, subtilement, à te faire chavirer, te redonner espoir… À te faire vibrer, plus que de raison… Si ce n'est, que tu devenais folle à lier… Tu ne désirais plus guère te défaire de sa douce emprise, en cet instant… Mais la dure réalité, reprenait ses droits insidieux sur ce de l'imaginaire… À tel point, que, finalement, le beau brun finisse par se détacher, se reculer légèrement, tandis que tu le contemplais… Te surprenant même à sourire, comme une idiote balafrée... « Ce fut fort bien agréable, docteur ! Si je peux me le permettre, vous embrassez divinement bien ! » Consentais-tu, à lui avouer, d'une voix suave, sincère, cristalline à souhaits. Lui adressant, dans la volée, un petit clin d'œil complice, suivi d'un regard lubrique, d'un mignon petit rictus en coin, néanmoins que tu sentais ton âme cognait, tambourinait follement, dans ta cage thoracique, au point d'imploser, colorer les vastes moulures des bâtiments médicaux, de son amère odeur de rouille… Alors que de doux frissons parcouraient ton échine... Tentant vainement de te remettre de tes folles émotions, tes lancinantes ardeurs, qui, tels de sensuels démons charismatiques, roublards et charmeurs, t'incitaient sournoisement, mais agréablement, à vouloir lui voler un second baiser langoureux, passionné… À t'aventurer plus loin que nécessité… Ce n'était raisonnable, mais sans vouloir t'amuser à ses dépens, tu avais follement envie, cependant, de franchir la ligne… D'écouter, t'abandonner dans les rouages de la passion… T'étais d'humeur à une petite gâterie ! Et pourtant… Ta raison te tapait insidieusement, te mâtait inconditionnellement… S'amadouant, bien malgré elle, à te calmer… Te faisant quelques vagues remontrances, qui te rappelait, sans nul doute plausible, que tu étais une femme loyale… Unie, pour le moment, à un homme, au tempérament fort bien lugubre, implacable, violent… Des plus trempés, que, pourtant, tu voulusses à tout prix y réchapper, depuis maintes années, désormais… Tu le consentais… Tu ne pouvais prévoir cela… De te faire emporter, ainsi, vers le large… Le coup de foudre, le coup de l'adrénaline… De douces folies, paraient de chatoyants cotillons… Tout cela n'avait été pour toi… Tu ne songeais y croire, t'y fourvoyais… De tout ton être, t'y embourber… Et pourtant, à cet instant, tu ferais tout ce qui est en ton pouvoir, pour ne te séparer, de cet envoûtant, merveilleux, parfait petit brun… Tu désirais, de toute âme damnée, l'accaparais, l'attrapait délicatement dans les mailles de ton filet… À la seconde même, où tu avais posé tes orbes bleutés sur les siennes - sans que tu n'eusses signé un pacte d'appartenance, sur lequel vos âmes se croisaient, se compléter, tu te sentais désormais, liée à jamais, à ce cher et tendre Ryan. Croyez-le ou non, sans te permettre d'effleurer, de tes petits doigts de fées, l'obsession, tu ferais tout, néanmoins, pour qu'il ne t'oublie… Que tu ne serais n'importe quelle inconnue, une simple étrangère, qu'il s'abaisserait à mettre sur le bas-côté… Oui, tu te donnerais corps et âme, pour lui… Quitte à ce qu'il te jette des sorts, te mate sans contritions… Qu'il te mette inlassablement au supplice… Ô douces et éternelles damnations… Tu voulais seulement n'appartenir qu'à lui et à lui seul, à présent… Ce fussent que trop puissant, trop affriolant… Sans que tu n'eusses pas maîtrisé cette vis, au sein de cette machinerie, bien plus grande que tu ne l'étais, te voilà repartie pour les montagnes russes… Mais les obligations, la réalité, inconsciemment, vous ramenez… Vous obligeant, bien malgré vous, à regagner l'hôpital, se trouvant non loin de vos silhouettes… Non sans vouloir en prendre nécessairement le même chemin que ce magnifique, ténébreux médecin, machinalement, tu lui emboîtais le pas… Restant respectueusement à sa hauteur… Une fois rentrés dans le bâtiment… Que les blancs couloirs défilaient, demeuraient à votre hauteur… Que ce tendre, merveilleux, magnifique petit ange, se préparer, sans nul doute plausible, à regagner la salle des urgences, où attendaient quelques nouveaux patients… Que, de ton côté, tu t'apprêtais à passer au guichet, pour demander des nouvelles de ta douce et naïve Emily ; savoir, par la même occasion, si elle demeurait dans une des chambres, dédiées aux pauvres malheureux, se vouant en totale convalescence… Savoir comment l'opération s'était déroulée, auprès des experts, des aides-soignants, qui s'étaient, bel et bien, occupés d'elle… Sans que tu n'eusses réellement maîtrisé les ardeurs violentes de ton angoisse naturelle, qui t'enveloppait, une fois de plus, de son vil manteau de fumée… Le fait de te retrouver en ces vastes lieux, ne te rassurer, ne t'aidait à relativiser… Instinctivement, tu songeais, une fois de plus, à ta pauvre mère… À tous ces pénibles et sombres moments, passer à ses côtés, pour tenter vainement de l'épauler... De l'aider, dans la mesure du possible… Bien malgré toi, tu te sentais de nouveau devenir blême, désemparée… Égarée, il est vrai ; à mesure que le doux, romantique et séduisant médecin se retournait pour te faire face… Sans nul doute plausible, pour échanger quelques banalités courtoises… De t'armer, d'une certaine hardiesse… De te souhaiter, qui sait, une douce continuation… Cela aurait pusse se passer ainsi, oui… Vos chemins auraient pusse se séparer à jamais… Avec des palpitants mis en sourdine, en bandoulières… Assécher, serrer comme de viles sardines, certes… Et pourtant, son doux esprit, ses intentions fortes louables, agrémenter naturellement, mais élégamment, de ce bon côté samaritain, prissent le dessus… Désirant, de son côté, t'apaiser, t'apporter un semblant de confort, de réconfort, il est vrai… Cela te touchait, plus que tu n'osais l'imaginer… Tandis que tu te sentais tout aussi stupide, il est vrai… Embarrassée, qui plus est… Elle demeurait loin, fort bien effacée, la vile créature séduisante, qui se délectait des douces flatteries et compliments… Celle qui touchait sensuellement le vice, s'amuser à tes dépens… De tes puissants sentiments… Sans nul doute plausible, que tu te devais de lui faire savoir, que cela irait pour toi… Que ce dernier n'avait à rester davantage à tes côtés… Qu'il avait bien d'autres vies à sauver… Même si tu te sentais des plus reconnaissantes, touchées, pour tout ce qu'il avait fait pour toi, pour vous… Pour que chaque instant ne demeure que douceur et irréelle torpeur chatoyante… Tu aimais sincèrement, profondément, sa délicate et parfaite compagnie, oui… Tu ne désirais le quitter, là… Maintenant, brusquement… Mais ce serait plus avisé ainsi… Tu allais dont te risquer à le remercier chaleureusement ; lui souhaiter une agréablement journée… Que toutes tes plus humbles pensées l'accompagnaient respectueusement… Mais, sans que tu n'eusses davantage rappliqué… Royalement, t'exécutait, vous découvrisses une collègue, une consœur, comme qui dirait le jargon médical, apparaître… Se pointant, comme une délicate fleur… Adressant la parole au bienveillant, sensuel, ténébreux apollon à la carrure magnifiquement dessinée, harmonieusement sculptée… Musclée ; et Ô, combien divine, exquise et affriolante à souhaits, que tu désirais marquer de doux baisers furtifs, de délicates caresses, il est vrai… Et plus, si affinité… Un esprit qui vagabondait, bien malgré toi… S'autoriser à la distraction, sur l'instant - cependant qu'ils échangeaient quelques douces paroles courtoises… Qu'au fond de ton être, de ta frêle silhouette, en toute discrétion, tu t'autorisais instinctivement à retirer ton alliance dorée, que tu rangeais subtilement dans la poche adaptée, de ta robe cuivrée… Alors, que finalement, le séduisant, charmant, radieux, exquis jeune homme, misse fin à la conversation chaleureuse, animée, de sa compatriote, pour vous mettre, tous deux à l'abri… Dans un espace, plus chaud, intimiste ; afin de te rassurer… De retrouver, probablement, quelques couleurs, sur ton doux visage meurtri, fort bien marqué, dans la volée… À mesure que tu le sentais… La raison te fuyait, sans contritions… Tu allais faire une agréable bêtise… Chose, qui ne te ressemblait, tu le confessais… Et pourtant, tu en avais follement envie - tu étais folle à lier… La passion sidérée, le coup de l'adrénaline te reprenait… Le bureau de cet éloquent, passionné, sexy Ryan, semblait des plus appropriés… À peine passait le seuil de la spacieuse pièce… Que la porte de bois soufflée s'était refermé, soigneusement, derrière vos passages délicats, vos pieds foulés… Que ce dernier, s'aventurer machinalement à baisser, délicatement, le store, pour vous plonger dans une ambiance tamisée… Tandis que tu reprenais quelques semblants de raison, de confort… Que tu te mordais la lèvre inférieure… Néanmoins, que la température, la chaleur de ton être, de ta frêle silhouette, te montait jusque dans les tempes... T'enveloppant, de son pâle manteau de fumée furibonde, qu'inlassablement, elle t'irradiait de l'intérieur… Et puis merde, tu n'en pouvais plus… Il fallait que tu le fasses… Tu voulais le découvrir, le goûter… Tu ressentais le besoin irrémédiable, de te lier à lui… D'effleurer sa douce peau de nacre… De capturer, avec délice, ses fines lèvres épicées... Tu allais courir à ta perte, t'y fourvoyais… Tu déambulerais, sans trêve ni repos. Comme une âme égarée... Si pleine de regrets, si tu ne t'exécutais… Au diable la femme docile ! Du balai, la modestie, la courtoisie ! Tu montais sur tes grands échassiers, version Louboutin ! Tu aimais trop les sensations fortes… Tu avais envie de faire des montagnes russes ! Le palpitant en déroute, l'âme en flamme, qui menaçait d'imploser, colorer les murs de son amère odeur de rouille… La raison te fuyant, sans contritions, tu te risquais dont à venir à hauteur, du délicat, sensuel, exquis, charmant, sexy, parfait petit brun. Profitant de ce fait, pour plaquer délicatement, mettre tes mains en coupes, sur son doux regard envoûtant, des plus pénétrants, afin de sceller, une fois de plus, avec folle convoitise, tes fines lèvres sur les siennes. Goûtant, plus que de raison, à la saveur éloquente, affriolante… Plus qu'épicée, de son langoureux, passionné baiser, dont le contact, finisse, bien malgré vous, par vous brûler, sur l'instant présent… Répondant, tout autant, de son côté - tandis que, de ton côté, tu laissais s'échapper un léger soupir lascif, qui s'évanouissait à travers la brume incandescente… Vous laissant vaguer dans la brise caresse, la danse enchanteresse, de vos langues, qui se cherchaient, avec délice et tendresse à la fois… Ce fusse un baiser qui devint presque morsure. Un baiser, qui avait atteint ce qu'il y avait de plus intime en l'autre… Une bulle chatoyante, qui vous entourait… Vous laissant, agréablement, en apesanteur… Le temps semblait s'égrener, se figer, à travers ce sablier, qui marque votre apogée… Pourvu que les secondes soient des heures… Le caprice complice du destin, la pulsion… Tes brûlantes émotions, t'immerger, te consumer, plus que nécessité… Tu osais le revendiquer… Si bien, que tu te surprisses à poser tes mains, sur sa large poitrine bombée, magnifiquement sculptée. Musclée à souhaits ; l'incitant, subtilement, à reculer… Le plaquant, non lui causer le moindre heurt, contre le placo, d'un blanc immaculé… Néanmoins, que tu quittais ses fines lèvres, sensuellement, pour t'aventurer, avec délectation aiguisée, au niveau de son lobe d'oreille, que, doucement, tu mordillais… Cependant, que tes petits doigts de fées, se risquaient à caresser, découvrir passionnément, chaque courbe désirable, de son imposante, parfaitement carrure - sagement comprimer, retenue de sa fine matière cotonneuse… Descendant, progressivement, vers son ventre plat, divinement rehausser de somptueux pectoraux, de masse osseuse, pour laquelle tu rêvassais, tu vibrais, plus que de raison. Tu le certifiais… Silhouette troublante, divine, cacher de son pyjama, d'un bleu acier… Bien que ton envie irrépressible, se voulait d'atteindre son entrejambe, son précieux organe, qui demeurait tout aussi prisonnière… Dont, tu t'amusais à caresser, frotter, avec passion… Juste pour lui faire savoir ce que tu désirais ardemment… Lui faire gentiment monter la pression… Tu le découvrisses, l'amadouant vigoureusement, le temps de quelques longues minutes durant, avant même de vouloir t'agenouiller à même la moquette moelleuse… Tout en capturant sa délicate attention, lui adressant un regard envoûtant, lubrique… Empreint d'une folle luxure… Profitant, dans la volée, pour baisser sensuellement, subtilement, son bas de pyjama - à l'aide d'une de ses fortes mains, que tu prenais, le temps de quelques instants seulement, pour la poser sur son haut, afin de mieux le remonter, t'aider dans ta délicieuse tâche… Tu te risquais dont, à enlever, par la même occasion, le boxeur, aux contours fibreux, du séduisant, sexy, attentionné, avenant apollon, si parfait, pour découvrir, non sans une once d'agréable stupéfaction, son membre, que tu prisses doucement, de ta main délicate. Le caressant, le temps de quelques minutes durant. Et, sans briser ce doux et luxueux contact entre vous deux, tu commençais à le prendre en bouche ; à titiller, lécher délicatement la couronne, agréablement bombée. Bon Dieu… Avais-t'eusses seulement remarqué, que ce dernier était fort bien doté ? Tu n'étais le genre de jeune femme à te risquer de comparer… D'admirer les délicieux paquets, de la gante masculine, telle qu'elle fusse… Et encore moins, tu ne t'abuserais d'évoquer ton époux, mais tu devais agréablement le consentir, ce cher, tendre, magnifique Ryan, était absolument gâté par la nature ! Si ce n'est qu'il te faisait rêver, vibrer, inlassablement, irrévocablement… Particulièrement, en ce doux moment mémorable, intime à souhaits ! Tu devais te l'admettre, qui plus est, au fond de ton être, de ta frêle silhouette, tu devenais humide, mouillée… Plus que la nécessité ! Une ferveur, une lancinante pulsion… Un doux sentiment, que tu démontrais, prouvait au bel Australien, en prenant progressivement, entièrement, avec sensualité et volupté délicate, son sexe, qui devenait de plus en plus dur, se redresser… Le gorgeant profondément, le soufflant passionnément… Arrivant jusqu'aux bords délicats, soyeux, de son pubis… De le lécher, faire des va-et-vient endiablés, animés… Consumer par le désir certain… De le titiller, le rendre gentiment fou à lier, en grignotant ses jolies petites noix, dans la foulée… Alternant avec délice, entre l'un et l'autre… Le menant à son comble, son déclin, cependant qu'il s'élargissait, s'épaississait, de minute en minute, au demeurant… Avec toute l'envie irrépressible et plausible, de lui faire plaisir - de lui plaire tout autant que cela te procurait la même sensation… Tu le découvrisses lâcher de doux grognements, de petits râles de plaisirs lascifs, qui t'incitait à continuer dans ta lancée, d'emblée… Une respiration saccadée, de doux tintements de gémissements, échappés de tes fines lèvres affairées, à mesure que tu t'attelais à l'amener soigneusement, à son point culminant… La tête appuyée contre le mur porteur, tu remarquais, voyais ses orbes mi-clos, s'être refermés sur ses paupières ténébreuses… Tu l'avais agréablement égaré dans les rouages du désir ardent, de la passion invétérée… Le reste ne comptait plus guère, il est vrai… Tout vacillait, semblait abstrait, indigne de tout intérêt… Seules vos convoitises, son plaisir t'importait. Tu le consentais… Le monde se désaxait, le point de non-retour arrivait… Tous ses sens se libérer… Ton palpitant cognait, tambourinait dans ta cage thoracique… Tu sentisses ses douces petites bourses, se gonflaient davantage, son prépuce, se contracter, se serrer… La pâle semence, poindre du bout délicat, de son membre engorgé, que tu portais désormais, à ta bouche… Goûtant ainsi, avec avidité, sa charge, son savoureux liquide, se répandant sur tes papilles stimulées - te donnant un goût délicieusement sucré, voire légèrement amer, mais qui te restait des plus agréables, onctueux et mémorables, tu l'admettais… Tandis que le séduisant, charismatique et parfait médecin, se remettait de ses délicates émotions... Que son membre ramollissait délicatement… Que tu n'en perdisses guère une goutte, au demeurant… Après quelques longs instants, tu te risquais à te relever, doucement… De l'aider, dans la volée, à remettre son bas de pyjama ; avant même de t'autoriser à t'approcher de son doux visage, contorsionner, animé par la luxure, qui s'apaisait, au fond de lui, tu lui déposais un baiser furtif, sur ses fines lèvres. Comme pour lui exprimer ta gratitude ; le remercier chaleureusement, d'avoir partagé un doux moment sensuel, féerique… Un brin torride, en sa charmante, éloquente, sublime compagnie, que tu trouvais, bel et bien, agréable, plaisante et affriolante… Qu'il t'avait passionnément distraite, apaiser. Plus que nécessité… Un baiser, pour lui faire également savoir que tu ne t'en arrêterais là, en si bon chemin… Qu'un jour, vous finirez par vous retrouver, pleinement… Que tu ferais tout ce qui est en ton pouvoir, pour te donner corps et âme... Que tu n'appartiendrais qu'à lui et à lui seul, au demeurant… De cette promesse dorée, tu la tiendrais, avec la plus grande tendresse qu'il fusse… Pour l'heure, à ton plus grand regret, tu sortais promptement, mais délicatement, de son vaste bureau, dont tu en refermais la porte blindée. Le laissant ainsi, s'afférer… S'occuper de ses patients du moment, qui l'attendaient dans la salle des urgences, sagement… Néanmoins, que tu retrouvais le carrefour de l'accueil, pour t'enquiers de l'état, de ta chère et douce nièce, par alliance… De demander, courtoisement, son numéro de chambre… Ressortant de ta poche cuivrée… Reportant, délicatement, ton anneau étincelant à ton annulaire ; avant même de te risquer à gagner ton point de destination, délicatement… De ta démarche gracieusement dansante… Tentant, au fond de ton être, de ta frêle silhouette, de te remettre également de tes folles émotions... De calmer les ardeurs lancinantes, de tes pulsions, qui s'étaient, bel et bien, manifestaient, malgré toi… Te prenant en traître… Ce fusse le coup de l'adrénaline, le caprice complice du destin… Sans que tu n'eusses le concevoir, l'imaginer… De cette folle journée, chaude à souhaits… Et ce, de toutes les manières plausibles, tu te faisais prendre, une fois de plus, par la troublante vague, les rouages aveuglants de l'amour, il est vrai… Sans que tu n'eusses le préméditer, c'était le véritable coup de foudre à l'hôpital



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