Mon fils malade (Ft. Léo)

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C'est mon premier jour de congé, mais je m'était levé tout de même tôt pour aider Elena à préparer le petit déjeuner pour les enfants. Comme tout les matins elle les emmène au lycée avant d'aller à l'université travailler et il était prévue que ce soir ils ne prennent pas le bus, comme je suis en congé j'iraient les chercher. Comme tout les matins, les filles traînés pour se préparer et comme tout les matins ont à du rouspéter un peu pour qu'elle se dépêche et ne soit pas en retard. J'avais cependant trouver Léo très silencieux, d'habitude il parle beaucoup au petit déjeuner, un peu trop parfois même, mais là rien... J'avais mis ça sous le coup de la fatigue de la rentrée scolaire. Une nouvelle école, dans une nouvelle ville et un nouveau pays, ça peut être effrayant et fatiguant à la fois et même si cela fait quelque semaines qu'ils sont rentré, le contre coup peut arriver n'importe quand.

J'avais embrasser ma femme avant de les regarder partir, puis je m'était occuper de tout ranger et de faire la vaisselle. Par la suite, j'ai fait les lits, j'ai lancer une machine et j'ai fait un peu de ménage. C'est sous les coup de 11h du matin que je reçoit un coup de fil de l'école. La directrice m'appelle pour me dire que Léo avait vomis en classe et qu'il est vraiment pas bien. Je devait venir le chercher. Ni une, ni deux, j'ai pris ma voiture et je suis tout de suite aller au lycée le chercher. J'arrive vers 11h20 à l'infirmerie et voit mon fils affalé dans un fauteuil, il est blanc comme un cachet d'aspirine. Je vais immédiatement le voir, prenant à peine le temps de saluer l'infirmière. - Mon bébé, ça va aller, je suis là. On va rentrer à la maison, je vais appeler le médecin et je vais m'occuper de toi, d'accord ? Je passe ma main sur son visage et l'embrasse sur le front. Il est brûlant. Je regarde l'infirmière. - Merci de m'avoir prévenue et de l'avoir pris en charge jusque là. J'aide mon fils à se relever et le garde contre moi quelques instant. - Au revoir madame et encore merci. Je garde mon fils contre moi et l'aide à marcher jusqu'à la voiture. Une fois dans la voiture je m'assure qu'il va bien. - Ca va mon coeur ? Je lui tend un sachet. - Tient, si tu à envie de vomir encore, n'hésite pas. Je démarre la voiture, direction la maison.

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Je sais pas ce que j’avais ce matin-là… Je m’étais levé à la même heure qu’habituellement lorsque j’avais cours, je suis descendu déjeuner, saluant tout le monde sur mon passage, puis je mangeais silencieusement. J’avais un petit mal de ventre mais je ne m’inquiétais pas vraiment, ça m’arrivait beaucoup en ce moment, je pensais que c’était à cause du stress liés au aux cours… J’ai déjeuné rapidement puis je suis monté dans la salle de bain, réussissant à l’avoir quand Lily est sortie de la salle de bain et qu’Emy voulait l’avoir… Désolée ma grande, c’est mon tour !

Je me suis rapidement habillé, enfilant une chemise et un jean, quelque chose de basique en soit. Je me suis un peu coiffé puis je suis allé dans ma chambre préparer mon sac avant d’aller en cours. La matinée se passait plutôt bien même si je sentais le mal de ventre s’intensifier, assis sur ma chaise en cours de maths… La main sur le ventre, j’entendais des rires, quelques remarques pas très sympas sur moi… mais je me taisais. Puis il est arrivé ce qui devait arriver… je me suis tapé la honte devant toute la classe. J’avais vomis. On m’avait emmené à l’infirmerie où l’infirmière avait gentiment pris soin de moi, me filant quelques médicaments et me laissant me reposer l’espace de quelques minutes sur un canapé avant que l’une de mes mères arrive. « Hey… Ça va, t'inquiète... » j’avais murmuré à ma mère alors qu’elle venait prendre ma température en posant sa main sur mon front. Elle m’a aidé à me relever puis elle m’a emmené à la voiture où je me suis installé à l’avant, comme d’habitude. J’ai enfilé ma ceinture puis elle a pris la route après m’avoir donné un sachet, au cas où…

« C’est pas grave, maman, tu sais… J’ai sûrement mangé quelque chose qui est mal passé… » grimaçais-je, une main posée sur le ventre et une autre tenant un sachet en plastique qu’elle m’avait donné. « Désolé de t’avoir fait te déplacer pour ça… Au moins, les autres arrêteront de dire que je simule quand je dis que j’ai mal au ventre. » je soupirais alors qu’on s’approchait de la maison. J’avais toujours mal au ventre, je me sentais toujours aussi malade… j’avais juste envie de me reposer.

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Alors que je rouler en direction de la maison, Léo me dit qu'il pensait que c'était juste parce qu'il avait manger quelques chose qui ne passer pas. Je lui sourie puis regarde à nouveau la route. - Je ne pense pas mon coeur, tu est brûlant de fièvre, tu à surement une petite gastro. On va appeler le médecin de toute façon. Je regarde mon fils quelques secondes, il est pâle, mon pauvre bébé... Comme toute maman, je n'aime pas voir mes enfants malade. Heureusement que je suis en congé, je vais pouvoir m'occuper de lui comme il faut. Léo me dit ensuite qu'il est désoler de m'avoir fait me déplacer, et qu'il est content quand même car ses camarades de classes arrêterons de dire qu'il simule. Je fronce légèrement les sourcils, espérant qu'il n'est pas encore des ennuies a l'école. - Hey mon coeur, ne soit pas désolé, je suis en congé et de toute façon, que ça soit moi ou maman, on sera toujours là pour toi et tes soeurs si vous êtes malades. C'est normal et vous nous dérangerais jamais, ok ? Dis-je en lui faisant un petit sourire. puis je viens à lui parler de l'autre chose qu'il venait de me dire, un peu inquiète. - Dis-moi... ça ne va pas à l'école ? Il faut dire si tu te fait encore insulter ou harceler mon coeur, je ne veut pas que tu te renferme sur toi comme à Pasadena. Il faut nous en parler, sinon on ne pourra pas t'aider et il est hors de question qu'il t'arrive la même chose qu'à Pasadena. En effet je ne veut pas retrouver mon fils avec des points de suture et avec un coquard comme la dernière fois, il est hors de question que cela se reproduise. Si la solution et de le déscolariser et qu'il prennent des cours par correspondance, alors on s'organisera et on le fera. Je sais qu'Elena est très à cheval sur le fait que les enfants doivent être encadré par un établissement scolaire. C'est son métier, je comprend, mais cela ne convient pas à tous. Si Léo continue à se sentir mal à l'école, on devra sérieusement en discuter.

Nous arrivons à la maison, je me gare devant le garage et aide Léo à aller jusqu'à la maison. Je l’amène alors dans le salon, il doit s'allonger. - Allonge toi mon coeur, tu veut que je t'apporte quelque chose ? Ta console portable peut-être ? Tout en disant ça, je l'aide à correctement s'installer dans le canapé, avec quelque coussin pour sa tête. Je met sur ses jambes une fine couverture. Normalement on ne le laisse pas jouer à la console en semaine, mais là c'est spécial, il est malade alors si ça peut le réconforter un peu. - Ensuite j'irais appeler le médecin, puis je préviendrais maman et j'enverrais un sms à tes sœurs pour qu'elle prennent finalement le bus ce soir, je ne te laisse pas tout seul. En effet la mère poule en moi est de retour, j'en fait peut-être un peu trop, mais quand un de mes bébés est malade, j'aime les choyé et prendre soin d'eux. J'embrasse mon fils sur le front avant de partir chercher sa console.

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