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↳ personnages attendus

Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.

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 Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre.

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MessageSujet: Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre.   Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre. EmptyVen 14 Juil 2017 - 13:53

Maryne & Cole
 
"Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre."
La perte d’un être cher est douloureuse et peut vous faire faire n’importe quoi sans raison valide. À Bowen depuis la perte de ta mère, tu voulais être présent afin d’être près de ta sœur, une de seule personne de ta famille avec qui tu as encore de bon ne contactes. Bowen avait bien changé depuis ta dernière visite en Australie, tout sauf elle, ta maison. À la base, tu ne comptais pas revenir pour ta petite sœur, tout allait bien, non, si tu revenais c'était pour une histoire de cœur, pour venir demander des explications à Victoria, cette fille que te faisait perdre la tête, cette fille de qui tu étais tombé amoureux, cette fille à qui tu t'es attaché. Après de nombreuses tentatives de prendre contact avec elle, tu n'obtiens aucun résultat mais ne baissais pas les bras pour autant. Le soir même tu t'écroules dans le canapé, fatigué de tes efforts effectués tout au long de la journée.

La porte de la demeure familiale s’ouvrait toutes doucement, tu te levais sachant qui allait apparaître derrière cette porte. Tu ressentais aucune fierté vis-à-vis de cette personne qui était nulle autre que ta petite soeur qui rentrait une nouvelle fois ivre, torchée comme pas possible. “ Alors, fière de toi? “ Demandais-tu d'une aire dégouté en la fixant droit dans les yeux. Tu lui en voulant sur le moment même et savais comme cela allait se passer demain lorsqu’elle aura décuvé et qu’elle sera malade comme un chien avec un mal de tête douloureux. Depuis le décès de votre mère, tu avais du mal à la reconnaître. Elle n’était plus comme avant, drôle, joyeuse…

Tu l’aidais à se tenir debout tout en la guidant vers sa chambre. “Demain, quand tu auras une nouvelle fois décuvé faudra parler.” Fâché, déterminer est les seuls adjectifs qui peuvent te qualifier dans ce genre de situation. T’en souffrait autant qu’elle de la perte de maman mais tu’avais l’aire plus fort qu’elle mentalement. Il t’arrivait de craquer mais pas de tomber si bas. Tu n’aimes pas la voir se détruire dans la boisson, la drogue et le sexe sachant que dehors, beaucoup d’hommes ne cherchent qu’à se faire plaisir et nous nous le sommes jamais caché, nous les Headland sommes de belles personnes, surtout du côté des femmes.
© ASHLING POUR EPICODE


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MessageSujet: Re: Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre.   Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre. EmptyVen 14 Juil 2017 - 19:16

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L'air frais sur ton visage te fait du bien. Tu empestes l'alcool, tu te sens incroyablement bien. Tu oublies, tes ondes négatives s'envolent pour quelques heures. Parce que c'est plus facile d'essayer de se concentrer à marcher droit, plutôt que de penser à ta mère. Tu espères que Cole dorme, parce que sinon, il va encore te casser les couilles. Putain, il peut pas te laisser dans ta bonne humeur lui. Tu lâches un long soupir, tu vois au loin ta maison, alors tu essayes d'accélérer le pas. Jusqu'au moment où tu t'prends une borne incendie, et le pire, c'est que ça te fait rire. Tu es bien, tu es heureuse, tu rigoles pour rien mais ça t'provoque une sensation bien trop agréable. Tu ouvres la porte, tu es même rassuré qu'elle ne soit pas fermée à clef parce que sinon, ça allait être difficile pour toi. Tu aurais dormi devant la porte, c'est pas la première fois que tu le fais, et ce ne sera sûrement pas la dernière. Tu retires tes talons, tes pieds touchant le carrelage froid, et bordel ouais, ça fait un bien immense. Puis Cole. Cole qui dort pas. Cole qui gâche ton bonheur. Tu glousses de rire, voix stridente. « Putain ouais. » Tu souffles en rigolant. Il s'approche de toi, tu laisses ton poids contre son corps alors qu'il t'emmène dans ta chambre. « Faudra que tu m'achètes des capotes, j'en ai plus. » Tu lui dis, sans aucune gêne. Il va gueuler, tu l'sais, mais tu t'en branles. Tout comme la fameuse conversation qu'il veut avoir avec toi. Il ira s'faire foutre, avec sa morale à la con. C'est lui qui va gaspiller de la salive, après tout.

Tu te laisses tomber dans ton lit, le matelas te provoque un long soupir de bien-être. Tu relèves ton regard, Cole toujours là. « Olala, casse toi, j'veux être tranquille, tu piges ? » Tu lui balances ton oreiller, enfin, t'as sûrement pas visé vers lui, tu crois même avoir jeté ton oreiller à l'opposé, mais tu t'en moques. Il s'casse, et tes yeux se ferment. Et tu te laisses aller dans les bras de Morphée.

Mais par contre, quand tu t'réveilles, c'est plus drôle du tout. Fermant les yeux, tes mains sur ton crâne, gueule de bois qui annonce un lendemain d'une très bonne soirée.
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MessageSujet: Re: Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre.   Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre. EmptyVen 14 Juil 2017 - 19:54

Maryne & Cole
 
"Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre."
Dégoûté, désespéré de la voire rentré comme ça presque tous les jours. À croire que la boisson, la drogue et le sexe sont devenus ses dieux, à croire qu’elle vit sans foi ni lois. La perte de ta mère était une chose douloureuse mais ce qui se passe actuellement est encore pire. Bien que tu n’en ait plus trop envies tu vas quand même l’aider à aller se coucher. L’aider n’était plus une obligation, elle est grande, elle n’a qu’à assumer ce qu’elle fait. Tu’aurais très bien pu lui laisser tes clés ou pire, fermer la porte à doubles tours et la laisser dormir dehors. Lorsqu’elle se laissait tomber de tout son poids sur toi tu ne pouvais pas t’empêcher de la piquer une fois de plus. « Putain qu’est-ce que tu’es lourde.» Tu sentais très bien qu’elle ne pouvait plus avancer et qu’elle était au bout de sa vie tellement qu’elle était torché comme tout la Pologne. Tu lui en voulais, elle le savait très bien mais à la place d'essayer de se racheter elle se contentait simplement de se ridiculiser encore plus à tes yeux. « Faudra que tu m'achètes des capotes, j'en ai plus. » Euh? tu’ouvrais les yeux gros comme des boules de pétanque, te demandant si tu avais bien entendu. En effet, après réflexion elle te dit de rajouter des capotes pour elle sur ta liste de courses. « Pour ça m'a grande tu te débrouilleras, tu sais t’envoyer en l’air avec la première venue, tu n'as qu’à assumer tes actes. Tu veux faire la grande, t’assumes. Le jour où tu’assumeras et que tu coucheras sans être torché t’aura le droit de me demander ça. Tant que tu couches dans cet état-là, je te répondrais d’aller travailler. » Tu’étais fâché, touché par les proposer qu’elle venait d’avoir. Ce n’est pas ce que notre mère aurait voulu voir d’elle.

Arriver à hauteur de son lit, elle s’affolait dedans en se laissant tomber. « Oh, ce n’est que moi qui t’amène au pieu, ce soir.» Tellement qu’elle t’avait énervé, tu tenais des propos navrant à son égard. « Olala, casses-toi, je veux être tranquille, tu piges . » Disait-elle en te lançant son oreiller trois pâtés de maisons plus loin. Tu quittais la pièce en ramassant son oreiller que tu lui balançais sur la tête en allant vers ta chambre. Ce soir, cela ne servirait à rien d’aller lui parler, tu ne comprendrais rien à ce qu’elle dit et elle encore moins à ce que tu veux lui dire. « Bonne nuit » lui criais-tu dégoûté de son attitude. Avant de t’endormir, tu te questionnes sur ce que tu aurais pu avoir loupé avec elle, mais non, rien n’explique le fait de boire comme un trou, de se droguer et de coucher avec la première venue. Elle n’a pas eu d’enfance difficile, au contraire, notre mère la défendait plus que tout au monde. Tes yeux se fermaient petit à petit sur le magazine pour lequel tu as posé il y a quelque temps de ça, la nuit porte conseil paraît-il.

Il est tôt, il est l’heure, tu sais sortir, tu sais te lever me disait notre père à New York. Tu allais vers sa chambre, ouvraient les rideaux de sa chambre. « Debout. Le petit déjeuner est prêt et si tu te dépêches, j’aurais le temps d’aller faire les soldes avec toi aujourd’hui. Ah bah non, tu préfères aller picoler et t’envoyer en l’air? » En effet, la nuit ne t’avait pas calmé. Tu’étais remonté contre elle. dans son bol à céréale tu avais pris le temps d’y mettre une boîte de préservatif afin de lui rafraîchir la mémoire. La photo de maman posée sur la table, tu l’attendais en terminant de servir le jus d’orange et le chocolat chaud.

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MessageSujet: Re: Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre.   Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre. EmptyVen 14 Juil 2017 - 20:32

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On ne va pas se mentir, tu as eu énormément de mal à trouver un sommeil. Tu t'es endormi facilement, certes, mais l'alcool se dissout, et les cauchemars viennent te hanter. Tes mains attrapent les draps, serrent fort, cherchant un appel à l'aide. Mais rien, le néant, tu t'sens t'enfoncer, et quand tu ouvres les yeux en sueurs, c'est uniquement grâce à ton frère qui te réveille. La lumière du soleil qui éblouit tes yeux. Tu te retiens de ne pas hurler, parce que ta voix ne te le permet pas. Il repart, aussi vite qu'il est arrivé, ne trouvant pas le courage de répliquer. Tu n'as pas la force de te battre avec lui quand tu es dans un état correct. Parce que c'est ton grand frère, parce qu'il a fait énormément de choses, qu'il a plaqué sa vie pour venir prendre soin de toi. Les excuses ne servent à rien, alors tu le laisses repartir. Tu te lèves, te poses devant ta coiffeuse. Tu fais une légère grimace quand tu remarques l'état de ton visage. Tu prends un coton, enlevant le maquillage restant, tu te changes pour opter d'un jogging et d'un vieux tee-shirt large. Bordel, ça te change des robes et jupes sexy.

Tu descends, lâchant un soupir. Ta main dans tes cheveux, tu te fais un rapide chignon histoire que tes cheveux ne t'emmerdent pas. Toute manière, tu comptes aller te laver. Tu empestes encore l'alcool, et ta bouche est tellement pâteuse. Tu descends les escaliers, ne faisant pas de réflexion quand tu vois la boite de préservatif. Tu l'enfiles dans la poche de ton jogging. Au fond, tu n'en veux même pas. Parce que les hommes, tu n'aimes pas ça. Mais tu n'oses pas avouer à ton frère ton penchant pour la gente féminine, parce que tu ne l'assumes pas toi-même. La photo de ta mère, tes yeux se posent directement dessus, ton ventre se contracte, tes yeux se remplissent de larmes. Tu baisses le cadre, cette vision est douloureuse. Tu cherches quelque chose à dire, mais le lien entre ton frère et toi est coupé depuis bien trop longtemps ; par ta faute, certes. « J'peux avoir un doliprane, s'il te plait ? » Tu baisses le regard, te sentant complètement honteuse. Mais il va gueuler, tu le sais, alors tu te prépares mentalement.
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MessageSujet: Re: Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre.   Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre. EmptyVen 14 Juil 2017 - 23:58

Maryne & Cole
 
"Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre."

On ne va pas se mentir, les propos que tu as tenus envers ta petite sœur étaient assez dur, mais juste. Les mots sont blessants, créé des blessures profondes et douloureuses de temps à autre. Elle n’a même pas bronché lorsque tu es venus la réveiller de bon matin, rien, pas un seul soupir. Lorsqu’elle te rejoignait dans la cuisine afin de prendre avec toi son petit-déjeuner, l’ambiance n'était pas très… Bonne, on ne dirait pas une ambiance familiale en fait. tu voulais lui faire comprendre à quel point tu en avais marre, à quel point maman serait déçue de la voir dans cet état. Quand elle passait dans ta pièce, tu te mettais à penser aux monstres qu’elle est devenue, mon Dieu, regardez-moi ça. Cheveux en chignon, démaquillée de partout, et sans parler de son odeur infernale d'alcool. Elle mettait la boîte de préservatif dans la poche de son jogging sans dire un mot. Tu lui servais son jus de fruit en lui lançant des regards noirs de temps à autre. Bien que l’ambiance ne soit pas au beau fixe, tu avais mal au fond de toi, mal en le voyant mal à cette table en baissant la photo de maman. Tu savais comment l’atteindre, comment la faire, craquer. « Je peux avoir un doliprane, s'il te plaît . » Tu t’y attendais à celle-là. Bien que tu n’aies pas envie de lui en donner un, tu quittais la pièce, sans un mot, la boule au ventre, une larme sur la joue. Tu allais lui préparer un verre d’eau et y mettais son doliprane dedans. Tu ne pouvais pas t’empêcher de voir son visage en larmes en revenant dans la pièce. Avais-tu été trop brut hier soir, ce matin ? Mais est-ce que tu as tord? Raison ? Tu prenais la photo de maman que tu avais posée sur la table et la redressais et te mettais à lui parler. « Ai-je tords ou raison ? » Que ferait-elle à ma place ? Comment s’y prendrait-elle ? Cette fille, là, à ta table, tu l’aimais plus que tout au monde et ferait n’importe quoi pour elle.

« Quand vas-tu comprendre que j’en ai ras-le-cul, putain ! » Noon. Il ne faut pas t’énerver. Faudrait rester calme et tenter le dialogue. En plus, vu son comportement, elle a l’air d’avoir honte. « Quand tu as fini de déjeuner, 30 minutes top chrono pour te préparer. On va faire les soldes.» Non mais ? tu es con ou tu es né comme ça? La petite se drogue, picole comme un trou et tu la récompenses ? Non... Après tout, c’est ce que maman voudrait en fait. « A moins que tu veux déjà aller au bar du coin ? » Tu en rajoutais une couche juste pour lui faire comprendre que tu n’avais pas oublié l’incident de la veille. Tu allais vers la salle de bains afin de te doucher et te préparer, qu’elle vienne ou pas, toi, tu comptes faire les soldes.
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MessageSujet: Re: Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre.   Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre. EmptySam 15 Juil 2017 - 0:20

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Il part chercher ton doliprane, alors que ton regard se pose sur le cadre que tu viens de baisser. Un horrible frisson parcourt ton dos. Ta mère, de toute manière, elle n'est plus là pour voir tes bêtises. Si elle était vivante, rien de tout ça ne serait arriver. Tu serais encore sa fille, ton frère serait encore en Amérique, vos vies seront les mêmes. Mais elle n'est plus là, et toi, tu es devenu comme ça, un point c'est tout. Mais forcément, tu as honte. Forcément, tu aimerais redevenir la petite fille gentille, douce. Elle n'existe plus, tu es une autre personne désormais. Puis il revient, il pose le verre sur la table et tu attends qu'il se dissout dans l'eau pour le boire. Tu baisses le regard, parce que les larmes sont au bord de tes yeux, parce que c'est douloureux. Il s'énerve, tu te crispes, mais il n'en peut plus de tes conneries. Tu n'aimes pas qu'il te parle comme ça, alors que tu es la première à la faire envers lui.

Il te parle de solde. Mais toi, non, tu veux pas. Pas avec la seconde réflexion. Elle entre dans ton coeur, elle fait mal. Alors il part, et tu repousses avec rage ton bol de céréale. Les larmes coulent, tu repousses tout en remontant jusqu'à ta chambre. Tu claques la porte, alors que tu t'allonges sur le lit. Les sanglots se multiplient, et tu t'enroules dans ta couette pour être protéger contre le reste du monde. De toute manière, il est à la douche, alors tu es entièrement tranquille. Tu laisses le chagrin s'envoler, tu laisses la faiblesse prendre part, s'envoler de ton corps. Moment de naïveté, c'est juste de courte durée. Pleurant au nom de ta mère.
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MessageSujet: Re: Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre.   Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre. EmptySam 15 Juil 2017 - 0:46

Maryne & Cole
 
"Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre."
Elle repoussait tout d’un coup de colère, un de plus aurais-tu pu penser, mais non. Elle l’est vraiment, tu as réussi à la pousser à bout d’elle-même. Tu te diriges donc vers ta douche en entendant la porte de sa chambre claquée. Au premier abord, cela ne te fait ni chaud ni froid, tu es en colère, elle le sait très bien. Dans ta douche tu prenais une nouvelle fois un moment de réflexion et comme à ton habitude te demandais ce que maman aurait fait à ta place. Elle n’est plus là, certes, mais ce que tu veux, c’est le bonheur de Maryne et tu ferais tout pour qu’elle soit heureuse. Tout, sauf de la drogue, des boissons ou autres. En sortant de ta douche, tu te décidais d’aller la rejoindre, tu enfilais tes vêtements car y aller en peignoir aurait pu faire… Louche selon toi. Tu toquais, mais aucune réponse. Tu ressentais une seconde fois, mais sans réponse. Tu ne comptais pas te prendre un vent donc rentrais sans son accord et la découvrais dans son lit enveloppé par sa couverture, les larmes aux yeux. Les larmes te montaient à toi aussi, mais tu devrais rester fort, t’es un homme, un vrai de vrai et tu te mettais assis au bord de son lit, passant ta main dans sa mèche. « Je t’aime. Tu le sais. Je sais que je ne remplacerais pas maman, mais dis toi que si je suis là, c’est pour que tu ne sois pas livré en foyer d'accueil, Maryne. Et que je t’aime plus que tout aussi, malgré ton caractère de merde. » Tu ne comptes pas t’excuser ce matin, tu ne devrais même pas oser le faire par principe, c’est à elle de le faire, mais soit.

« J’aimerais une fois pouvoir parler avec toi, rien que toi et moi pas toi, moi et une bouteille de vodka, non, toi, moi et une promenade.» T’attrapais un paquet de mouchoirs et en sortais deux, un pour elle, un pour toi afin de sécher tes larmes. « Je serais toujours là pour toi, moi. » Tu observais le bordel autour de toi, autant de bordel que dans sa tête, mais bon, on s’adapte. « On va les faire ses soldes? Toi et moi ? » Tu quittais la chambre sur ses quelques mots et allait terminer ta toilette.

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MessageSujet: Re: Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre.   Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre. EmptyMer 26 Juil 2017 - 21:10

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T'es difficile avec ton frère, loin de te rendre compte des sacrifices qu'il fait pour s'occuper d'toi. Parce que t'es qu'une petite garce, Maryne. Une princesse qui claque des doigts pour avoir tout ce qu'elle désire. Mais Cole il n'en peut plus, de ton comportement de merde. Parce qu'il se bat pour pas que tu termines dans un foyer, pour pas que tu te retrouves encore plus bas que tu ne l'es déjà. Ton frère, qui rentre dans ta chambre, qui te voit dans un état de vulnérabilité assez dingue. Mais au fond ; il juge pas, ton Cole. « Je t'aime aussi, Cole. » Qu'tu souffles, et ça fait un long moment que tu ne lui as pas dit ça. Mais c'est compliqué ; par ta faute, certes, mais ça l'est quand même. Tu attrapes le mouchoir sans rien dire, tu te sens complètement honteuse, de tout ça. Alors tu secoues la tête. « J'ai pas envie d'y aller, de sortir. » Et tu veux pas qu'il parte pour autant, tu attrapes ta fine main dans la sienne, en serrant tes doigts aux siens. « On peut parler. J'suis prête, c'est bon. » Aujourd'hui, t'es complètement vulnérable, prêt à écouter les défauts, les remarques. Mais tu n'as pas envie que tout parte en fumer non plus. Alors c'est toi qui commence, en baissant le regard. « Cole... Je crois que j'aime les filles. »
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MessageSujet: Re: Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre.   Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre. EmptyJeu 27 Juil 2017 - 9:14

La voir comme ça me faisais du mal, certes, mais elle allait s’en sortir, elle est grande elle pourrait assumer au moins. Elle aussi, m'aimait malgré toutes les horreurs qu’on s’échange tout au long de nos journées. Ca fait longtemps qu’elle ne me l’avait pas dis, très longtemps même. Si je me rappel bien, depuis mon retour à Bowen, elle ne ne me l’a même pas dis en fait. Elle n’a pas envie de sortir, après je peux bien comprendre, elle est encore sonnée de sa soirée d'hier soir, c’est pareil lorsque je rentre de soirée moi aussi. Ses fins doigts se posaient dans ma main, je lui serrais la sienne en signe d’affection. Ma sœur est devenue vraiment tout pour moi, si je la perds à cause de la drogue ou autres choses, je ne sais pas ce que je vais devenir. Elle voulait bien que nous parlions, j’en avais fortement envie, c’était le moment, j’en avais marre qu’elle rentre bourrée, droguée et que la chose choses qu’elle me réclame sont des capotes. Elle baissait le regard, un peu comme si elle avait honte et s’exprimait disant qu’elle aime les femmes. Du moins, elle croit qu’elle les aime. Ma réaction est peut-être déplacée, mais j'explose littéralement de rire. « Non mais Maryne. Tu te vente tous les deux voir trois jours que t’as vidés une boîte de capotes. » En effet, cette réaction l'est, mais bon, après tout, c’est elle qui le cherchais aussi. Je n’aurais rien contre le fait qu’elle aurait aimer les femmes, mais ça doit être vrai, sincère et pas que pour éviter le sujet. « Que t’aime les filles ou les hommes, je m’en fiche Maryne. Le problème, c’est la boisson et la drogues. Ainsi que tes réactions de me parler que pour des préservatifs. Tu le sais bien. »
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MessageSujet: Re: Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre.   Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre. EmptyJeu 27 Juil 2017 - 18:52

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Tu te dois d'être sincère envers ton frère, parce qu'il a raison sur beaucoup de choses et qu'il mérite de savoir ta vie. Il mérite que tu te confies vraiment à lui. Alors tu lui sors quelque chose qui est dans ta tête depuis bien trop longtemps. Tu te confies, sur une grosse partie de ta vie, et honnêtement sa réaction te fait atrocement mal. Tu le regardes, la bouche ouverte. Il rigole, mais t'es sérieuse, bordel. Tu sens tes yeux qui s'humidifient à nouveau, t'es complètement sous le choc et tu sais pas trop quoi dire au début. « J'fais ça pour me persuader que j'suis pas lesbienne putain ! » Qu'tu hurles, alors que t'es complètement apeuré par la situation, qu'il se moque de toi, que bon sang tu as l'impression de te prendre une claque dans la gueule. « Je sais que tu veux parler de ça aussi, et on va en parler Cole, mais moi aussi j'ai besoin de te parler ! Parce que j'peux plus compter sur maman pour qu'elle me guide et qu'elle me dise quoi faire ! » Tu lèves un peu la voix, mais tu hurles pas. Ton corps entier tremble, et clairement, si Cole n'a rien compris, alors tant pis, tu vas plus rien lui dire et il ira s'faire foutre. Mais en même temps, son rire te fait affreusement mal ; pas quand tu essayes de réparer les choses avec ton grand frère.
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MessageSujet: Re: Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre.   Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre. EmptyJeu 27 Juil 2017 - 19:02

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J'avais peupt-être abusé en me fouttant d'elle, en rigolant de ce qu'elle m'confie. Je regrette, vraiment, surtout lorsque je la vois à nouveau au bord des larmes. Je serrais à nouveau sa main dans la mienne, surtout lorsqu'elle avait besoin de parler. Après, je ne cache pas le mépris que j'ai pu avoir lorsqu'elle m'avoue coucher pour être sûr de ne pas être lesbienne. J'veux pas qu'elle aille se faire... sauter, car c'clairement ce qu'il se passe quand on est si jeune. Elle couche à gauche droit, je suis impuissant face à ça. dire que là, dehors un p'tit tocard s'amuse presque out les soirs avec MA soeur, oui, la mienne. Il s'amuse, prend son pied plusieurs fois par mois, semaines, soirées. Je suis contre je lu ifais comprendre dans mon regards. "Je n'ai aucun problème que tu aime les femmes. Je serais même rassuré, ce qui m'énerve c'est que t'aille à gauche, droite pour te le prouver putain." Je suis content qu'on puisse enfin discuté, qu'on puisse s'expliquer et j'étais prêt à l'écouter. "Je ne veux que ton bien, tu le sais." je tentais de faire cesser les tremblements. de son corps, je la sert contre moi, très fort. Ma main passait dans ses cheveux, je prenais un mouchoirs afin de sècher ses yeux quqi ne méritent pas d'être mouillé. "Je tuerais pour toi."


Dernière édition par Cole Headland le Jeu 27 Juil 2017 - 19:06, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre.   Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre. EmptyVen 4 Aoû 2017 - 18:46

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Depuis combien de temps tu n'as pas eu une conversation des plus sérieuses avec ton grand frère ? Depuis bien trop longtemps. Parce qu'il y a eu le décès précoce de ta mère, parce que tu ne pensais pas la perdre dans l'époque où tu as le plus besoin d'elle. Parce que tu vis très mal cette perte, que tu aimerais tellement la retrouver, refaire tout à zéro en changeant ton comportement. Tu restes contre ton frère, en souriant doucement, parce que tu n'en peux plus de chialer. Tu n'es plus une gamine, Maryne. Tu enchaînes les erreurs parce que tu l'as voulu ; parce que tu t'es cru mature alors qu'en vrai ; hormis boire et hormis te droguer, tu sais pas faire grand chose. « Parce que c'est trop la honte ! » Tu n'assumes pas ton possible penchant pour les femmes. C'est trop difficile ; et s'il se moque de toi, s'il en rigole, ça ne va pas t'aider. Tu fermes les yeux, les caresses dans tes cheveux te provoquent un bien immense. « Maman s'rait pas fière de moi. » Tu murmures ; et pourtant, dès demain, les choses vont reprendre. Dès demain, les prochaines nuits vont promettre, parce que tu vas t'en vouloir d'avoir été vulnérable.
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MessageSujet: Re: Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre.   Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre. EmptySam 5 Aoû 2017 - 14:05

La dernière conversation sérieuse que j'ai pu avoir avec elle date d'y a bien longtemps. Depuis le décès de notre mère, elle est différente, elle ne se contrôle plus, t'en a ras-le-bol. J'ai même déjà plusieurs fois songé à l'envoyer dans un centre de desintoxication, histoire qu'elle arrête la boisson et de fumer ce qu'il ne faut pas. Je tenais ses fins dois dans ma main, en lui frottant doucement le bras, je remarquais des bleus, pas de bleus provoqués par des coups, mais d'une seringue, je savais de quoi cela provenait et commençait a bouillonné en moi-même. Jusque-là, je savais ce qu'elle faisait, mais pas qu'elle allait aussi loin dans ses délires. Et ça ? Tu m'expliques ? Je marquais une pause avant d'argumenter ma colère, à nouveau. Que t'aimes les femmes c'ton problème, tu fais ce que tu veux, je suis loin d'être homophobe. Que tu sortes, ça passe, que tu rentres bourrée, tu le sais bien, j'en ai marre, mais que tu vas si loin dans la drogue, NON. Déjà, que j'en ai ras-le cul que tu t'envoies toute la journée en l'air, mais là, la drogue.Ô oui, que j'étais fâché, très même. De base, je ne pouvais pas lui en vouloir, mais là. J'attendais sa réaction avant de la menacer de la faire interner dans un centre. Quoi que, peut importer, qu'elle pleure ou commence à s'énerver, tu lui diras, de toute façon. C'est lorsque Maryne parlait que maman ne serait pas fière d'elle que tu te calmais. Tu lui lançais un regarde des plus noirs, et reprenais la parole. Elle ne serait sûrement pas fière ce que tu es devenue.
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MessageSujet: Re: Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre.   Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre. EmptyDim 6 Aoû 2017 - 13:24

a call for help
colyne

Il y a des secrets qui explosent. T'es là, sur ton lit, à révéler à ton frère quelque chose qui te semble loin d'être normal. Alors que les mentalités changent, que les gens évoluent avec le temps. Que c'est désormais normal, dans la société, d'avoir un penchant pour une personne du même sexe. Et t'es là Maryne, t'es encore dans l'ancien temps, tu es persuadé que c'est loin d'être bien, que tu as fait quelque chose d'horrible pour subir tout ça. Puis des secrets qui explosent, sans qu'on ne le décide. Il voit les marques, sûrement que ton haut était trop relevé, sûrement que par ta vulnérabilité, tu t'es ouverte un peu trop dans les bras de ton frère. Tu sans automatiquement ta gorge qui se bloque par les potentiels sanglots, tu sens que la suite de ses mots font mal ; cette sensation de recevoir un coup de poignard dans le bide est bien trop désagréable. Tu sens les larmes qui coulent, tu entends sa colère, elle te fait peur d'ailleurs. Puis t'es là, comme une débile Maryne. Tu sers à quoi, franchement ? quoi qu'tu fasses, ton frère te déteste un peu plus. T'as rien à foutre ici. Dans cette maison, dans cette ville, dans ce monde. T'es rien, Maryne. Tu l'sais. T'es une gamine prétentieuse qui a cru que s'en sortir toute seule comme une grande était la solution ; mais c'est pas le cas. Tu te noies, Maryne. Tu sens que tu perds le nord. « Tu as raison. » Tu murmures, la voix éteinte, le regard dans le vide. Si elle n'est pas fière, à quoi bon essayer de se battre ? Si elle n'est pas fière, ça ne sert plus à rien que tu continues un combat Maryne. « Tu peux sortir ? S'il te plaît. Je sais que j't'en demande trop, que t'es en colère, que tu vas me punir pour le restant de ma vie et qu'on reprendra la conversation plus tard, mais Cole s'il te plaît, laisse-moi seul. » Ouais, qu'il fasse c'que tu lui demandes, parce que t'en as besoin. Parce que les somnifères dans ton placard te font loucher, parce que t'en peux plus d'vivre, parce que c'est sûrement l'meilleur moment pour dire adieu, non ? « Je t'aime, de tout mon coeur. J'vais faire en sorte d'aller mieux, c'est promis. » Tu le regardes, tu te montres sincère dans ta voix alors que tu n'as juste plus qu'une envie, c'est qu'il se casse. Pour prendre les gélules, pour te laisser aller dans les bras de Morphée, pour toujours.
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MessageSujet: Re: Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre.   Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre. EmptyDim 6 Aoû 2017 - 13:51



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featuring Maryne


La drogue est la goutte d'eau qui fait déborder le vase, j'en avais marre, marre qu'elle me prenne pour le roi des cons et je le lassais entendre dans ma voix. Elle me donne pourtant raison, mais même ça ne me satisfait pas, je sais pertinemment qu'elle le fait pour être quitte de moi et que je quitte la pièce, que j'arrête de lui casser les couilles. C'est quand elle me demandait alors de quitter la pièce, de la laisser seule que j'explosais à nouveau. Premièrement intérieurement et après être devenu vraiment rouge, je poursuivais ma colère sur elle. Je me levait du lit ou j'étais assis, malgré qu'elle me promet de faire tout pour aller mieux j'ai du mal à la croire, je prenais la direction de la aporte, m'arrêtais juste avant de l'ouvrire et lui lançait un regarde noir. Déjà en manque de drogue, savait ? Tu ne sais plus t'en passer. Elle avait beau pleuré, je m'en foutais ROYALEMENT, ma colère prenais le dessus, j'en avais ras-le-bol là. Prépare tes affaires, une bonne valise, je t'emmène dans un centre de toute façon. Il est temps de te remettre sur le droit chemin. Je quittais la chambre, descendais les escaliers afin de préparer mes affaires pour l'emmener. JE compte mettre mes pensées à exécution, ça ne peut qu'être bénéfique pour elle. Elle sait très bien que tu t'en fous qu'elle sois lesbienne ou autre, mais qu'elle fume, se drogue et bois tous les jours rentrant dans l'état qu'elle est rentré hier soir ne passe plus à mes yeux. Je regardais la photo de maman qui étais sur la table, lui parlais, lui demandais conseille, mais sans réponse, malheureusement. Je prenais la photo vers la chambre de Maryne ou je montais, la porte encore entrouverte, j'y jetais la photo à côté d'elle sur le lit. Je savais comment l'atteindre, comment la faire réfléchir et je pense qu'il est temps qu'elle réfléchisse plus avec sa tête que ses atouts.

koa
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MessageSujet: Re: Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre.   Au fond, la solitude, bien qu'elle soit douloureuse, est encore préférable à la destruction appliquée de l'un par l'autre. Empty

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