Alan Hopkins MESSAGE : 791 ICI DEPUIS : 24/07/2023 COMPTES : ella, skye, murphy CRÉDITS : ? (avatar)
STATUT : Célibataire, est-ce que je dois me poser ? Feuille de personnage ∞ mes liens: ⇢ à propos de moi :
| Sujet: profiter du sunset sans penser à autre chose - alan Mar 25 Juil 2023 - 23:24 | |
| alan hopkins
| me, myself & i
› NOM : Hopkins, nom pleins d'histoires, nom que tu as hérité, nom pleins d'espoir, nom que tu as accepté. › PRÉNOM : Alan, prénom assez classique, tu l'apprécies plutôt bien. › ÂGE : 26 ans, encore beaucoup de choses à apprendre, et si peu de temps. › NATIONALITÉ : On ne peut plus australien que la famille Hopkins. Ils sont là depuis presque la première vague d'immigration. › ORIGINES : On raconte que tes origines sont anglaises, mais bon, ta famille a traversé le monde pour venir vivre en Australie depuis tellement longtemps qu'on en a oublié la date. › JOB/ETUDE : Alternant au cabinet de droit de sa famille, pour ton plus grand bonheur, et ouais. › STATUT : Célibataire, tu sais pas si ton cœur a déjà battu pour une personne. Tu es déjà tombé sous le charme de plusieurs femmes, oh ça oui.. quand tu t'en rappelles, tu as le sourire aux lèvres. Mais était-ce de l'amour ? Tu n'en es pas certain, vraiment pas. Pour l'instant, tu aimes charmer, tu aimes retenir un regard par-ci, un sein par-là. › GENRE : Homme, tu n'en doutes pas. › SEXUALITÉ : Tu aimes les courbes féminines, leur petite sourire qui rayonne leur visage, leur rire qui te fait quelque chose. › TES FINANCES : Aucun soucis de ce côté, tu roules vraiment sur l'or. › GROUPE : Summer, tu veux rater aucune occasion, sous aucun prétexte, même si on te l'en empêche. › CREDITS : av @bambieyes icons @tumblr what about me
Ma première passion ? Le voyage, quelle question ! Je ne peux m’en passer, je voudrai découvrir toutes les mers, tous les continents, toutes les montagnes, et voir tous les ciels étoilés. ‹ Par contre, je ne voyage qu’en sac à dos, tu vois. Je suis le genre de mec qui part un mois, voire deux, voire trois je voudrai plus compter en fait, et puis je sillonne, comme bon me semble, les différents pays. C’est ça mon gros kiff. ‹ Ma deuxième passion ? Les copains, évidemment, j’adore sortir avec eux, faire la fête, picoler, fumer, rire et.. Draguer des filles ‹ On arrive à ma troisième passion, les femmes, j’avoue, c’est bizarre dis comme ça, mais j’aime bien les charmer, pour un soir ou un peu plus, je sais que j’ai un joli sourire, un beau petit corps et que je peux plaire, alors pourquoi m’en priver ? ‹ Quand je dis que je fais la fête, je fais vraiment la fête, tu vois, je sais pas trop comment te l’expliquer en restant vague pour pas qu’on soit censuré, mais ça m’arrive de déraper sur des choses pas très légales, une poudre blanche, je te fais pas de dessin. ‹ Sinon, je fume come un pompier. Ah ça oui, j’en ai des reproches sur ma consommation de clopes, de la part de mon frère ou de mon père. Mais, c’est devenu une trop grande habitude. Je peux plus m’en passer . Je crois que ma première clope c’est avec mes amis, tiens, et je voulais la jouer grand.‹ Des fois, je me demande, si j’avais pas eu mes potes, est-ce que j’aurai eu une vie rangée ? ‹ Mais j’y repense pas trop. Car je montre rarement mes émotions, euh non.. je rectifie, je montre pas tant que ça ma tristesse, je l’oublie même, ça sert à rien, c’est pas pour moi. Par contre le reste, la joie, je fais tout le temps des blagues, le dégoût, je tire une sale tête quand je sens quelque chose qui pue, je te jure, et surtout la colère.. alors , ça, ça s’exprime bien chez moi. Faut pas trop venir me chercher, je pars sans réfléchir.‹ Bon en général, je réagis rarement en réfléchissant, je fonce trop dans le mur et on verra plus tard pour réparer les briques et la voiture. C’est secondaire. ‹ Je sais qu’on dirait pas que je suis ce genre de mec, mais je lis beaucoup, énormément. J’aime les livres d’histoire, de philosophie, de sciences aussi (tant que ça dépasse pas ma capacité de compréhension), des livres aussi sur l’art, etc.. J’aime bien apprendre, et comprendre comment le monde fonctionne. ‹ Mais des fois, je joue un peu au con, j’étale ma science, surtout pour draguer, pour impressionner des filles, ou en entretien d’embauche, mais après tout, un entretien c’est de la drague aussi. ‹ Pourtant, il m’arrive de me poser, d’écouter des gens, et d’en apprendre plus par le biais. Surtout quand je discute seul avec mes professeurs, ou quand je me perds dans les beaux yeux d’une femme.‹ Après, quand j’y pense, ça m’est déjà arrivé d’écouter des personnes qui étaient ni mes profs, ni une jolie demoiselle, c’était lors de mon voyage en Amérique du Sud, j’apprenais auprès des autres en auberge de jeunesse, je te le jure. ‹ D’ailleurs, ce voyage il me manque beaucoup. Mon esprit y part souvent. Je souhaite revivre une expérience comme celui-ci.‹ Mais le devoir m’a appelé, alors pour l’instant, je suis, ici. Ça ne m’empêche pas de voyagé, loin de là, dès que l’occasion s’y présente j’y retourne. ‹ |
- son histoire:
- Le petit héritier du quartier. Alan Hopkins n’a pas eu une enfance compliquée. Loin de là. Né dans une famille avec beaucoup d’argent, il n’a connu que le luxe, le prestige, et même le homard à seulement deux ans. Les enfants Hopkins étaient tout ce qu’il y avait de plus classique pour les familles aisés : grands, sages, polis. Enfin, sage, on pourrait y revenir. Alan avait toujours en tête les quatre cents coups, quatre cents coups que son frère inventait en vrai. Son frère jumeau exactement. Les deux plus grands de la famille. On disait toujours que ça allait être lui, l’autre frère le plus turbulent, pas Alan qui suivait juste simplement les conneries de son jumeau, aîné de quelques secondes. A côté d’eux, une petite fille peine tant bien que mal à faire sa place dans la famille, mais toujours protégée par les jumeaux. Voilà l’environnement où Alan a évolué. Personne ne s’inquiétait pour son avenir, il allait reprendre le cabinet du célèbre avocat Hopkins, sans aucun doute.
Le vilain petit canard. Tout le monde avait parié sur Alan, vraiment tout le monde : la famille, les voisins, la nourrice et même la caissière. Et pourtant, le petit héritier n’est pas ce qu’il est. Et oui, c’est son frère qui s’est calmé sur les conneries, qui ne sont restés qu’au stade enfantine. Alan, il voulait plus, il voulait encore déconner, encore se marrer. Ils sont trop jeunes pour ça. Il y a toute la vie pour se poser et pour arrêter les bêtises. C’est ainsi que le lien fusionnel des jumeaux se brise, le premier se range parmi les siens, et Alan, lui cherche de nouvelles aventures auprès de nouveaux potes. Et voilà comment commence la chute du petit héritier, qui ne devenait plus la fierté des parents. Néanmoins, il ne voyait rien de grave car après tout, il avait toujours des bonnes notes à l’école, alors à quoi bon de se la jouer sérieux derrière ?
L’aventurier.Alan en a lu des histoires. Beaucoup même. Malgré sa petite tête de blagueur, de déconneur, et surtout de crétin (à la Elmo), soyons honnête, il a toujours aimé lire des livres. C’est son petit jardin secret. Et des livres de philosophie, d’histoire, de voyage, d’aventures. Un petit coin de paradis dans sa tête pour s’évader. Mais ça prenait trop de places. Certes, il s’est inscrit à une université de droit pour suivre les traces de son père avec son frère. Certes, ça fonctionnait bien, car il a des facultés ce petit con. Mais les bancs de l’école, de la fac, c’était plus suffisant. Il voyait grand. Beaucoup trop grand. Alors il a pris une année sabbatique, et il est parti voyager.
L’explorateur. Sac à dos, trois slips, deux tee-shirts, un simple billet aller, et c’était parti pour l’aventure. Le programme ? Le Pérou et le Chili avec quelques potes. La vie de rêve, la vie de vagabond, la vida loca. C’était ça le plan, arrivée dans une ville, faire la fête, visiter, draguer, et repartir à l’autre bout du pays. Rien ne pouvait déjouer le plan. Rien ? Sauf une chilienne, une petite au cheveux brun, au regard pétillant, et au doux sourire. Rien, sauf elle. Il n’avait pas prévu ça, Alan. Pas du tout même. Elle est venue, un soir, comme ça. Il pensait que ça allait être une aventure sans lendemain, comme toutes les autres, mais elle est restée, elle. Elle a quelque chose, un truc. Certes, Alan n’était pas à la hauteur, il est rentré dedans, sans faire de la dentelle, vous voyez. Elle l’a repoussé, car c’est pas comme toutes les autres, elle se laisse pas comme ça. Et il a changé de tactique, notre Alan. On l’a même vu s’ouvrir, parler de philosophie, des constellations, et des fleurs botaniques. Et tout ça, sans étaler sa science. Tout ça, en l’écoutant, en voyant ses yeux pétiller. Les deux, c’était doux, c’était simple. Et pour une fois, Alan a tout oublié pour une fille, il a même laissé ses potes continuer leur trip. Il voulait juste en savoir plus sur elle, sur sa vie chilienne, sur les lieux qu’elle aime. Un petit coup de cœur vous voyez.
TW : maladie, décès. Le fils. Puis, un appel. Pas très fun l’appel. Son frère, puis sa mère. Une nouvelle. Pas le genre de truc qu’on veut entendre. Adios la dulce vida. Il devait mettre une croix là-dessus. Et ni une, ni deux, il a pris son billet d’avion pour rentrer en Australie, laissant la douce Leyla derrière lui. Quand il est arrivé, la situation était bien plus grave que ce qu’il pensait. Son père. Là, sur ce lit d’hôpital. Blanc. Blanc comme les murs. Blanc comme les draps. Peut-être encore quelques respirations, et c’était fini. Il ne l’avait jamais vu comme ça. Jamais. Un choc. Automatiquement, il a pris son frère dans les bras, peut-être la seule fois depuis longtemps, depuis l’enfance. La seule, et la dernière.
L’irresponsable.Le devoir l’a appelé. Son destin déjà scellé depuis la naissance. Il a repris les études, assidûment. Enfin, presque, il a toujours cette envie de faire la fête, de faire le con. Et il se lâche, encore. Bon, ok.. beaucoup même. Et des engueulades avec son frère, à la chaîne, sans pause. Le deal, le désire de leur père, c’est qu’ils reprennent tous les deux la boîte. Alan se laisse encore le temps, pensant qu’il sera toujours le meilleur, même en profitant, même en s’amusant jusqu’au bout de la nuit. Il reviendra un jour, puis retrouvera sa place, mais pas aujourd’hui. Son frère, c’est tout l’inverse. Il prend ce rôle très au sérieux. C’est comme ça que de multiples disputes, bagarres, et guerres éclatent entre les deux, au plus grand malheur de leur mère et de leur sœur qui essayent de les séparer, de raisonner les deux.
L’actuelL’Alan d’aujourd’hui est entre deux chaises. A la fois rangé en tant qu’alternant dans le cabinet de son père, à la fois le petit con qu’on connaît. Bientôt son frère aura fini les études pour reprendre la tête, en attendant qu’il arrive, car le contrat est comme ça, ils ne peuvent faire sans. Entre les deux, c’est toujours la guerre, toujours de menaces. Ils peuvent pas se voir. Alan, il part encore, il profite encore. Vous connaissez le télétravail ? C’est sa meilleure excuse pour partir à l’autre bout du monde. Il en revient justement, deux mois passés à Bali. Alan, c’est toujours le rythme de la fête, de l’alcool, des dragues, de la drogue aussi, il n’a pas arrêté. Toujours les mêmes potes, quelques-uns en plus, mais toujours la même vibe. Il veut rester avec eux, il veut ignorer ses responsabilités, et il le fait très bien. Et clairement, entre nous, ça le fait chier cette histoire de cabinet d’avocat. Peut-être qu’un jour il lâchera ses parts pour les laisser à son frère, mais la fierté, vous savez, l’arrogance, le désir de tout avoir à la fois l’empêchent.
un peu de faits en vrac Alan, il parle plusieurs langues : anglais, espagnol, français, et il commence à apprendre le mandarin. Alors oui, c’est vrai, il est moins bon en français qu’en espagnol, mais il s’en sort. › Il rêve d’avoir un chien qui puisse le suivre de partout dans toutes ses aventures. › Son sac à dos est toujours prêt, pour n’importe quel voyage, n’importe quelle destination. › Des fois, il joue un peu sur le hasard, il tire un dé pour savoir ce qu’il fera aujourd’hui. › Mais souvent, ils se mettent d’accord avec ses potes, et si ça le correspond pas, il suit quand même, après tout, ça sera fun si c’est avec eux. › Sa couleur préférée est le bleu, bleu comme l’océan, bleu comme le ciel. › Son plat préféré ? Calillo de congrio, qu’il a découvert au Chili. › Il adore les glaces, il en mange beaucoup. Son parfum préféré ? La mangue. › Le matin, c’est le rituel café, clope, caca, il respecte bien la règle des 3C. › Il a toujours un petit livre sur lui, même s’il le cache.
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