a sky full of stars and he was looking at her (aelya) -hot-

- Tu pourras jamais comprendre ce que c'est que d'être vraiment accro, le chercha-t-elle pour le taquiner, s'amusant de leur complicité qui n'avait jamais failli en plus de deux ans de relation, Aelya ne voyant jamais le temps passé en sa compagnie qui sublimait le moindre de ses souvenirs, son silence appelant à être remplit du doux son de sa voix. T'es chanceux d'être carrément trop canon ouais, c'est une honte même pour tous les autres, pouffa-t-elle, adorant lui faire savoir qu'elle le trouvait magnifique, de l'extérieur comme de l'intérieur, Niels ayant une personnalité unique qui se complétait merveilleusement bien avec la sienne. J'ai pas peur de l'insomnie de toute façon... Pas avec toi, avoua-t-elle dans un regard brûlant, lui transmettant dans un sous entendu qu'il pouvait la tenir éveillée même toute la nuit s'il le désirait, son envie n'ayant jamais de fin avec Niels qu'elle dévorait déjà de baisers dans son esprit. Si j'te vois rougir, j'te jure que j'te prends en photo pour immortaliser la faiblesse de mon bad boy favoris, s'amusa-t-elle, ses doigts cherchant doucement les siens alors que son regard visait à le charmer davantage, comme dans une première fois. Mes mains vont s'amuser sur ton corps bébé justement... Elles vont encore te torturer ce soir, lança-t-elle, sentant déjà le désir lui brûler la peau.

Elle s'invita dans ses bras, dansant tout contre lui dans un rythme lent et amoureux, Aelya suivant avec attention les pas de son amour qui la bougeait lentement sur l'herbe, la musique résonnant entre le ciel et la terre qui les enfermaient dans leur bulle. Elle succomba à ses lèvres dans un baiser qui se voulait passionné, à son image, Niels représentant sa plus grande passion, leur relation étant à ses yeux le chef d'œuvre de toute sa vie, celui qu'elle ne pourrait jamais recréer avec personne d'autre. Elle sentit son cœur palpiter à sa confession, lorsqu'elle comprit que les surprises n'étaient pas terminées, Aelya se laissant doucement affaiblir par les sentiments qui se lisaient sur son visage. Elle le suivit dans la voiture afin de rejoindre leur maison, son cœur palpitant d'engouement alors qu'elle s'était laissée guider à l'aveugle. Tout ce qu'elle percevait entre les soubresauts de son amour qui affluait dans ses veines, était la chaleur et le parfum de son fiancé dans son dos, l'homme de sa vie, celui qui faisait de sa vie un rêve éveillé. Elle se perdrait pour toujours dans les pans de son âme qu'elle ne désirait jamais quitter, au risque de s'éteindre comme une bougie épuisée. Elle ouvrit les yeux doucement après qu'il ait retiré son bandeau, troublée par la beauté de son geste qui résonnait trop fort dans ses cellules, là où il arrivait à chaque reprise à y administrer de la vie. Sans voix, le cœur au bord des lèvres, elle s'était avancée devant cet espace qui représentait tout ce qu'elle aimait, la danse.

- C'est la plus belle chose que t'aurais pu faire pour moi amour... Lâcha-t-elle, essoufflée par les émotions qui entravaient ses paroles, le regard brillant d'émotions alors qu'elle admirait chaque détail qu'il avait choisi avec soin, tout ça pour qu'elle puisse sentir bien dans cette pièce. Mon plus beau cadeau c'est de t'avoir bébé... Tu feras jamais mieux que de rester dans ma vie. T'as vraiment assuré, comme d'habitude, admit-elle en souriant contre ses lèvres, les emprisonnant amoureusement. Merci mon coeur... Merci pour tout. Mais tu sais que je le referais sans hésiter, de tout quitter pour toi, avança-t-elle amoureusement, incapable de ne pas le choisir en premier, Niels qui représentait son monde entier. Je me doutais bien que ça t'aurait jamais échappé, le fait que je puisse danser pour toi tout seul, sourit-elle, savourant le doux contact de son doigt sur ses lèvres. J'crois même que tu peux avoir une danse là, tout de suite... Proposa-t-elle, charmeuse, Aelya activant la chaîne stéréo pour choisir une musique qui mettrait en avant ses déhanchements sensuels. Mets-toi à l'aise bébé... Je vais te donner chaud, le tenta-t-elle, l'invitant à s'installer dans le fauteuil qui faisait face à la barre, Aelya grimpant sur l'estrade, le regard brûlant.

Elle comptait se dévêtir entièrement, se dévoilant doucement sous les lumières tamisées, son corps suivant le rythme de la musique. Ses doigts glissèrent sur sa robe, Aelya se retournant pour lentement tirer sur la fermeture de son vêtement, laissant Niels entrevoir le dessin de ses sous-vêtements, la courbure de sa chute de reins qui s'agitaient sensuellement sous son regard.

- Profite bébé... Souffla-t-elle.

« J’crois que c’est trop tard… J’suis déjà bien atteint. » Souffla-t-il, répondant à sa taquinerie en lui faisant savoir qu’il était complètement subjugué par elle, par son charme unique qui l’avait fait fondre dés le premier regard échangé. Le temps passait à une vitesse folle depuis qu’il était tombé amoureux d’elle, Niels qui aurait aimé l’arrêter pour pouvoir profiter davantage de chaque instant avec la femme qu’il aimait éperdument. Son regard se mit à briller plus fort à ses mots, Aelya trouvant toujours le moyen de le complimenter dés qu’elle le pouvait. « Ça m’arrange que tu penses ça… Tes yeux, j’les veux que sur moi. » Répliqua-t-il, le regard amoureux, Niels qui savait également que son amour attirait les regards, parce-qu’elle était sublime, en tout point, à tous les niveaux. Son coeur battait rien qu’à l’idée de savoir que dans quelques heures tout au plus, ils se retrouveraient dans l’intimité de leur chambre, recouvrant les draps de leur amour, Niels peinant à ne pas lui sauter dessus alors que son regard valsait sur ses courbes. Il esquissa un sourire amusé à ses paroles, faisant ressortir sa fossette, ses doigts continuant de caresser les siens, leurs mains tendues sur la table qui les séparait. « Tu veux me ruiner ma réputation, c’est ça ? » Pouffa-t-il, Niels qui n’avait évidemment aucun mal à se montrer plus sensible, lui qui se fichait complètement de l’avis des autres lorsqu’il s’agissait d’aimer la femme de ses désirs. « J’ai hâte de voir ça… J’suis en manque bébé. » Souffla-t-il, ses yeux ne lâchant pas les siens avant qu’ils ne se mettent à danser l’un contre l’autre, la nuit chaleureuse les recouvrant pour les protéger, les étoiles se reflétant dans leurs regards amoureux. Ses lèvres ne tardèrent pas à rejoindre les siennes, incapables de résister une seconde de plus à leur appel, leur baiser se voulant bien moins retenu que le précédent. Il l’aimait à en crever, son palpitant le lui faisant encore une fois savoir, Niels finissant par lui confier le fait qu’une autre surprise l’attendait chez eux, dans leur cocon. Arrivés devant la porte d’entrée, il banda ses yeux pour l’amener lentement mais sûrement vers la pièce qu’il avait complètement retapée pour elle, pour qu’elle puisse continuer d’exercer sa passion. Il avait le coeur qui battait, sa respiration se coupant le temps de quelques secondes alors qu’il la regardait découvrir ce qu’il avait crée pour elle, soufflant de soulagement lorsqu’il comprit qu’elle était surprise et touchée par son geste. C’était exactement ce pour quoi il vivait, pour quoi il respirait, le bonheur d’Aelya insufflant de la vie dans ses veines. « C’est rien à côté du paradis que tu me fais vivre tous les jours… » Souffla-t-il, le regard aimant, Niels continuant de s’imprégner de toutes ses réactions, son coeur gonflé d’amour, menaçant d’exploser tant ce moment était fort. « J’suis content que ça te plaise mon amour. C’est tout ce que je voulais. » Répondit-il, appréciant la caresse de ses lèvres contre les siennes, lui répétant finalement combien il l’aimait. « J’le sais, t’es assez folle pour le faire. » S’amusa-t-il pour la taquiner, follement amoureux de sa façon de l’aimer. « C’était si prévisible que ça…? » Murmura-t-il, arquant un sourcil malicieux, sa main caressant tendrement son visage puis ses lèvres dont il dessina le contour. Il la laissa s’écarter alors qu’elle lui proposa d’assister à sa première danse, Niels ne se faisant pas prier pour s’installer face à la scène, face à son amour qui prenait ses marques dans cette pièce qui lui appartenait. « J’te prends aux mots. » Dit-il, amusé, enlevant sa veste pour la poser sur le fauteuil avant de s’y installer, son regard attiré par le corps de son amour. Elle lui coupait littéralement le souffle, parvenant à jouer avec sa patience à distance, ses yeux dévalant sa cambrure jusqu’à sa chute de reins qui s’agitait avec sensualité, Niels s’imaginant déjà la posséder entièrement. « J’me régale… » Répondit-il, se mordant la lèvre alors qu’elle était toujours de dos. « T’es sublime… J’veux en voir encore plus bébé. » Demanda-t-il, sentant son désir devenir plus insistant, frissonnant d’envie pour elle.

- Reste-le. Sinon je viendrais te faire une piqûre de rappel, répondit-elle, consciente qu'elle voulait garder son amour pour la vie, dans cette délicieuse maladie qui les liait depuis le début, Aelya n'ayant de cesse de se révéler de nouveaux symptômes qui la raccrochaient davantage à Niels, lui qui représentait son remède et son plus beau mal. Y'a rien de plus magnifique que ton visage mon cœur. Vraiment, j'ai jamais rien vu d'aussi beau alors évidemment que je regarde que toi, renchérit-elle, Aelya ne pouvant que comprendre les raisons pour lesquelles Niels attirait tant le regard, lui qui illuminait chaque endroit de par sa sublime présence, rayonnant au travers des ténèbres qu'Aelya quittait pour mieux se laisser se réchauffer par sa tendre lumière.

Son regard le détaillait avec attention, comme si elle n'avait aucune envie de perdre une seule seconde à ne pas l'admirer, son cœur palpitant trop fort dans sa poitrine sous l'afflux des images brûlantes de leurs deux corps, le sien désirant se lier à Niels le plus possible pour se sentir renaître. Elle craqua en voyant sa joue se creuser dans sa fossette, ce détail suffisant à la faire sourire amoureusement.

- Ouais, comme ça je serais tranquille, admit-elle fièrement, sa jalousie transparaissant à chaque fois dans ses intentions, parce qu'Aelya le désirait égoïstement que pour elle, en tout temps. Je suis tout le temps en manque de toi, ajouta-t-elle tendrement.

Elle prit sa main pour se blottir entre ses bras, laissant son corps danser tout contre le sien, tous deux piegés dans leur monde qui ne laissait entrer personne. Elle vivait pour son sourire, pour son regard dans lequel elle se projetait dans son avenir, ses lèvres venant langoureusement s'approprier les siennes dans un baiser équivoque de tout le manque qu'elle contenait en elle. Aelya suivit Niels chez eux pour découvrir le reste de sa surprise, elle qui était déjà suffisamment accablée par tout ce qu'il avait fait pour elle. Elle se laissa traîner au travers de leur maison à l'aveugle, jusqu'à découvrir la pièce qu'il avait retapé pour ses beaux yeux, pour sa passion qu'elle avait décidé d'abandonner juste pour qu'il puisse être plus heureux. Elle était bouleversée par toutes les émotions qui la traversaient, lui laissant de délicieux sévices dans son myocarde arythmique.

- J'aimerai vraiment pouvoir te dire que c'est toi mon paradis mais... Je me rends compte que c'est toujours pas assez fort pour décrire ce que je ressens pour toi, avoua-t-elle, touchée par son geste. Ça pouvait que me plaire... Tu me connais tellement que tu peux jamais taper à côté, avoua-t-elle entre deux baisers, sachant pertinemment que personne ne pouvait la connaître autant que Niels, lui qui avait entrevue la moindre de ses failles. J'suis assez folle de toi pour tout faire pour toi ouais, admit-elle fièrement. Bébé... On parle de toi là. Comment t'aurais pu ne pas y penser alors que tout ce t'as toujours voulu, c'est des danses pour toi tout seul ? S'amusa-t-elle, savourant la douceur de son doigt qui apprivoisait ses lèvres, Aelya le dévorant du regard avant de lui proposer une danse dans son nouveau refuge.

Elle envoya un clin d'œil à Niels à sa remarque, l'invitant à se poser tandis qu'elle prenait ses marques avec son nouveau lieu de prédilection. Sa main fit glisser la fermeture de sa robe dans son dos, Aelya bougeant sensuellement devant les yeux de Niels, ses remarques suffisant à brûler sa peau de désir alors qu'elle dansait de dos à lui, laissant finalement la robe tomber le long de ses courbes pour se retrouver en sous-vêtements. Elle se retourna pour lui faire face, plantant son regard fiévreux dans le sien, son corps se servant de la barre pour animer chacun de ses gestes qui mettaient en valeur ses courbes. Elle se laissa glisser le long de la barre pour s'allonger sur l'estrade, sa main venant s'emparer de sa poitrine pour descendre le long de son ventre jusqu'à l'élastique de son sous-vêtement, le dos cambré, sa main étirant avec sensualité son bas, son regard détaillant avec envie Niels alors qu'elle se dénuda sous ses yeux.

- Tu craques mon cœur...? Demanda-t-elle, joueuse, se débarrassant de son soutien-gorge qu'elle projeta sensuellement sur son amour, se retrouvant totalement nue.

« A vos ordres, chef. » S’amusa-t-il, répondant à son ton faussement autoritaire, Niels qui savait pertinemment qu’elle n’aurait jamais aucun souci à se faire dessus, parce-qu’il était incapable d’oublier leur relation, ce qu’ils partageaient étant bien trop fort et unique pour être envoyé aux oubliettes. « Tu me fais tellement fondre toi… C’est toi qui me rends beau bébé. J’suis heureux, j’peux pas ne pas l’être avec une femme comme toi. » Souffla-t-il, le coeur débordant d’amour, ses traits portant la marque de son bonheur qui semblait être infini tant qu’elle restait à ses côtés, elle qui était tout ce dont il avait toujours rêvé sans même le savoir. Il ressentait leur désir grandissant à travers leurs paroles, à travers les regards qu’ils échangeaient, imaginant leurs corps se caresser et se chercher dans un échange charnel. « T’es déjà tranquille bébé. J’suis l’homme d’une seule femme. » Répondit-il, ses yeux ne parvenant toujours pas à se détacher d’elle, de son visage parfait qui le faisait craquer depuis plus de deux ans. Il se rappelait de leur premier moment comme si c’était hier, se remémorant les émotions qui l’avaient traversé lorsqu’Aelya l’avait embrassé pour la première fois. Il s’était laissé tenter par une danse avec l’amour de sa vie, incapable de rester trop longtemps loin d’elle, la seule caresse de sa main ne lui suffisant plus. Ses lèvres avaient lentement et amoureusement caressé les siennes, sa langue retrouvant la sienne pour approfondir leur échange. Peinant à retenir son engouement, il lui dévoila l’existence la surprise qu’il avait cachée jusqu’ici, Niels guidant son amour jusqu’à leur maison, le coeur battant plus fort à l’idée de savoir qu’elle découvrirait enfin cette pièce qu’il avait entièrement rénovée et décorée pour elle, pour qu’elle puisse continuer à danser comme elle le faisait depuis toujours. Parce-qu’il refusait qu’elle n’abandonne tout pour lui, sachant pertinemment qu’elle avait toujours vu la danse comme son échappatoire. Il sentait son myocarde taper contre sa cage thoracique alors qu’il la laissait découvrir son cadeau d’anniversaire, heureux de la voir aussi bouleversée par cette attention qui pour lui, ne valait rien à côté du bonheur qu’elle lui apportait au quotidien. « Mon amour… T’es la meilleure fiancée qu’un homme puisse espérer avoir. J’veux juste continuer à te le montrer. » Souffla-t-il, s’approchant d’elle pour recevoir ses baisers, les prolongeant pour se délecter de la douceur de sa bouche. « Ouais c’est pas faux. Ça fait genre… deux ans que je les veux que pour moi tes danses ? » Pouffa-t-il, amusé par son propre comportement, son désir s’agitant dans ses entrailles lorsqu’il s’installa sur le canapé face à l’estrade pour pouvoir assister à la première danse de son amour. Elle l’hypnotisait de toutes les manières possibles, sa peau frissonnant même à distance alors qu’elle se déhanchait avec cette sensualité folle qui l’avait toujours rendu dingue. Il la dévorait du regard, se délectant de chacun de ses gestes, de chacun de ses mouvements qui visaient à le faire un peu plus fondre, Niels ayant l’impression de se liquéfier sur place lorsqu’elle s’allongea sur l’estrade, ses yeux suivant le parcours de ses mains qui dévalaient ses courbes, imaginant que c’était les siennes qui la caressaient de cette façon. « T’es irréelle… » Souffla-t-il, presque comme une pensée qu’il avait laissé échapper dans l’air, se mordant la lèvre quand elle retira son bas, un sourire venant légèrement étirer le coin de ses lèvres. « Je fonds bébé. Tu vas me ramasser à la petite cuillère là… » S’amusa-t-il, cillant en observant sa poitrine se dénuder sous ses yeux, suivant le trajet de son soutien-gorge qui vint atterrir sur lui, Niels riant en le prenant dans sa main. « J’vois que tu les as choisi judicieusement… » Joua-t-il, en admirant ses sous-vêtements, appréciant plus que de raison le modèle qu’elle avait choisi de porter ce soir. « C’est une torture de pas te toucher… »

Elle sourit, pouffant légèrement de rire à sa remarque alors qu'ils se cherchaient pour mieux se trouver, Aelya ayant toujours hâte de se regarder un peu plus sombrer dans ses bras dans lesquels elle se sentaient en sécurité, Niels rendant ses jours plus doux, moins amers, elle qui se noyait dans la mer de ses yeux magnifiques.

- T'as réussi à me dompter mon amour... J'te félicite. Je vais te rendre heureux du mieux que je peux. C'est mon rôle, avança-t-elle tendrement, son regard glissant amoureusement sur ses traits, se nourrissant de toute la beauté qu'il possédait, ce bonheur qui nouait leurs cœurs pour qu'ils n'en forment qu'un seul, Aelya étant persuadée qu'il resterait sa seule moitié pour l'éternité. Cette femme se sent tellement chanceuse qu'elle veut en abuser pour toujours, avoua-t-elle, ses yeux ripant sur ses lèvres avec une envie non dissimulée.

Depuis leur première soirée, elle n'avait jamais désiré le quitter, ressentant son manque comme un poignard dans le cœur qui ne faisait que d'ouvrir des cicatrices qu'il était le seul à pouvoir refermer dans sa présence. Elle dansait contre lui, ses bras entourant son corps comme dans une volonté de ne jamais le voir disparaître, parce tout devenait obscur quand sa chaleur n'impregnait plus sa peau. Elle rejoignit la maison avec son amour, comprenant qu'il l'avait encore gâté, elle qui avait senti son cœur sortir de sa poitrine lorsqu'elle avait découvert la profondeur de son cadeau. Elle avait lâché le club pour sa tranquillité d'esprit, Aelya ne pouvant plus supporter de le voir aussi inquiet et angoissé à l'idée qu'il puisse lui arriver quelque chose, elle qui avait traversé l'enfer à cause de quelques clients mal intentionnés. Et Niels, il avait recrée l'ambiance du club pour qu'elle puisse continuer d'exercer sa passion, administrant une chaleur d'une intensité inouïe dans ses veines, son regard se chargeant d'émotions.

- Si tu savais comme tu me rends heureuse toi... J'ai l'impression que je te mérite pas mon bébé... T'es l'amour de toute ma vie, murmura-t-elle en se postant devant son fiancé, accaparant ses lêvres de son amour éternel. Depuis le premier jour où t'as su ce que je faisais comme métier ouais, s'amusa-t-elle, nostalgique.

Elle le laissa s'installer en face d'elle, son corps venant bouger de manière féline sur l'estrade qui les séparait, laissant sa peau se découvrir peu à peu sous ses gestes sensuels. Elle n'avait toujours voulu danser que pour lui, finalement, que pour ses yeux qui la regardaient avec une intensité qui mordait sa peau d'un désir qu'elle ne serait jamais apte à contrôler. S'allongeant sur l'estrade, elle cambra son corps qui se déhanchait encore, sa emprisonnant sa poitrine pour glisser fiévreusement entre ses cuisses, laissant Niels s'imaginer contre elle, alors qu'elle se dépossédait de ses derniers tissus, envoyant son soutien-gorge à son amour de manière joueuse.

- Je serais là toute à l'heure pour te ramener contre moi bébé... Souffla-t-elle, le regard fiévreux, animée par toutes ses pensées brûlantes. Je les choisi toujours pour toi mon amour... Je sais à quel point t'aimes bien certains de mes sous-vêtements, sourit-elle en coin, se redressant grâce à la barre, son corps maintenant nu se dirigeant vers son amour à sa remarque. Touche-moi bébé... Susurra-t-elle, se plaçant sur ses cuisses, ses dents venant mordiller son lobe pour glisser dans son cou. Je veux te sentir mon amour... Lâcha-t-elle fiévreusement à son oreille, son bassin ondulant sensuellement contre le sien, sa main accrochant son haut en glissant jusqu'à son bouton de jean qu'elle détacha. C'est une torture d'avoir tout ce désir pour toi bébé... Faut que tu m'aides... Le tenta-t-elle d'une voix fiévreuse, ses lèvres embrassant langoureusement son cou.

Il aimait la voir lui céder, se complaisant dans l’idée qu’elle le ferait tout le temps, toute sa vie, Niels qui lui ouvrirait toujours l’étau de ses bras pour la réchauffer dés qu’elle en ressentirait le besoin. Parce-qu’elle était la seule qu’il avait attendu pendant tout ce temps, la seule pour qui il se damnerait jusqu’à la fin des temps. « Je doute pas de toi mon amour. » Souffla-t-il amoureusement, lui qui désirait la mettre toute sa vie en confiance, parce-qu’elle méritait de savoir qu’il était l’homme le plus heureux du monde grâce à elle. Il esquissa un sourire joueur et complice à sa réponse, aimant savoir qu’elle ne désirait aucunement se raisonner avec lui, quitte à frôler l’excès toute sa vie. Il se rappelait de chaque seconde de leur première soirée, se remémorant les débuts de leur histoire alors qu’il dansait contre elle, la gardant contre lui pour pouvoir respirer son parfum à plein poumons, celui qui lui rappelait qu’il était en sécurité, chez lui, dans les bras de l’amour de sa vie. Il lâcha ses lèvres pour lui révéler sa seconde surprise, l’emmenant avec lui jusque chez eux où son cadeau l’attendait, faisant savoir à Aelya que ce n’était pas quelque chose qu’il aurait pu transporter. Il s’était imprégné de chacune de ses émotions, la laissant découvrir cette pièce qui était maintenant la sienne, son refuge, celui qu’il avait créée uniquement pour elle. C’était aussi sa manière de lui montrer qu’elle comptait plus que tout au monde, et qu’il ne la laisserait jamais abandonner sa passion pour lui. Parce-qu’elle pouvait continuer de danser autant qu’elle le souhaitait, Niels qui était également tombé amoureux de son talent, de sa facilité à bouger son corps en rythme, aimant la voir s’évader dans des mouvements libres. « T’as pas le droit de dire ça mon amour… Tu me mérites. J’suis amoureux de toi, j’te veux jusqu’à la fin des temps. » Murmura-t-il, l’embrassant amoureusement, ses mains parcourant ses courbes parfaites. « Je l’ai très vite su. J’savais bien que t’étais trop belle pour ne pas être regardée. » Répondit-il avec un tendre sourire, se rappelant de la première fois où il était venu la voir danser, le lendemain même de leur première nuit, là où finalement, il avait compris qu’Aelya était différente de toutes les autres filles qu’il avait rencontré. Le coeur battant à tout rompre, il s’était installé face à l’estrade, se régalant de la vue qu’il avait sur son amour, celle qu’elle lui offrait sans compter, pour qu’il puisse encore sombrer pour elle. Il était dingue de sa façon de danser, elle qui semblait parfaitement maîtriser son corps, sa gestuelle sensuelle embrasant son désir qui se faisait plus insistant alors qu’elle se dénudait devant ses yeux subjugués. « Tout à l’heure ? Ça me paraît déjà trop long… » Souffla-t-il, impatient de pouvoir lui sauter dessus comme un félin en manque de proie, Niels se laissant emporter par ses pensées érotiques. « J’crois que je les aime tous bébé… Mais c’est vrai que ceux-là, ils sont particulièrement sexy… » Répondit-il, observant le soutien-gorge qu’il avait en main, le délaissant vite pour son amour qui approchait lentement vers lui, prenant finalement place sur ses cuisses pour lui laisser un accès libre à son corps. Il se mordit la lèvre, ses mains dérapant sur ses hanches, venant épouser sa taille pour remonter lentement sur ses flancs, Niels lâchant un soupir lorsqu’il perçut la brûlure de ses lèvres dans son cou. « Déshabille-moi… » Lâcha-t-il, soupirant à son oreille alors qu’Aelya ondulait déjà contre lui, agrémentant le feu qui s’était déclenché dans son bas ventre encore emprisonné dans son tissu, Niels sentant son membre à l’étroit dans ses habits. « Demande-moi tout ce que tu veux… » Dit-il, d’une voix pleine d’envie, fermant les yeux en percevant la chaleur de sa langue qui se baladait dans son cou, Niels passant ses mains sur sa chute de reins qu’il pressa entre ses paumes. « Bébé… j’ai envie de te dévorer là… Mes lèvres ont envie de toi. » Murmura-t-il, se redressant d’un coup sec pour échanger leurs places, Niels laissant le dos de son amour buter contre le fauteuil tandis qu'il s'agenouillait sur le sol, maintenant ses cuisses ouvertes pour y plonger son visage, la tentant avec ses lèvres qui vinrent rôder autour de son anatomie, sa langue la caressant une première fois pour la rendre dingue.

Elle ne savait pas à quoi ressemblait la vie, le bonheur, sans Niels. Elle avait tout appris dans chacun de ses regards, puisant sa force qu'elle avait perdu dans chacun de ses sourires qu'elle imprimait profondément dans son esprit. Le paradis s'ouvrait dans les lettres de son prénom qu'elle ne cessait de porter sur les lèvres, celui qu'elle avait appris à expier dès qu'elle ressentait le besoin de lui évoquer ses sentiments, son désir, son plaisir, tout ce qui les liait et les rendait complices. Elle se sentait complète, là, blottie à l'intérieur de ses bras qui formaient son plus bel univers, lui qui n'avait aucunement besoin d'appeler les étoiles dans le ciel pour en créer dans ses prunelles. Il n'y avait que des comètes qui s'illuminaient dans son regard, traversant son âme pour mieux l'embraser, détachant un à un tous les doutes qui pouvaient s'encastrer dans ses pensées. Si elle n'avait jamais douté de lui, elle avait toujours douté d'elle, de sa capacité à le mériter, mais jamais de sa manière de l'aimer, Aelya qui mourrait juste pour le protéger, comme dans la volonté de le voir rejoindre l'éternité. Elle se laissa porter jusqu'à leur refuge, permettant à son amour de la guider à l'aveugle dans leur maison jusqu'à ce qu'elle ne se plante devant un décor qui ressemblait de près à celui du club où elle travaillait. Elle comprit silencieusement la signification de son geste, Niels qui désirait qu'Aelya puisse continuer à danser malgré son choix qui l'avait favorisé lui. Et son regard était évocateur de toute la gratitude et de l'émotion qu'elle ressentait alors que son regard filait sur chaque objet présent dans la pièce.

- J'suis définitivement trop amoureuse de toi pour juste m'imaginer un jour qu'on s'éloigne bébé... Je t'ai choisi pour la vie, susurra-t-elle après être revenue vers son amour, son regard caressant amoureusement son visage pour succomber à ses lèvres. Le seul homme dont je voulais capter l'attention c'était toi de toute façon. Je t'aurais attendu tous les soirs même... Avoua-t-elle, replongeant dans ses souvenirs, se revoyant penser à Niels dans l'ombre des lumières tamisées du club, s'imaginant qu'il était là à l'admirer dans l'obscurité.

Elle voulait l'enflammer, voir son regard s'allumer pour elle, pour ses courbes qui se déhanchait juste pour son plus grand plaisir, Aelya qui se délestait de sa robe lentement, le laissant s'imprégner de sa peau qui se dévoilait peu à peu. Elle ressentait l'urgence d'avoir ses mains sur elle, alors que les siennes glissaient fiévreusement sur son corps, appelant silencieusement Niels à la toucher, elle qui frissonnait déjà en s'imaginant ses mains presser sa poitrine, ses hanches, jusqu'à ce qu'elle ne finisse nue.

- J'adore te torturer... Admit-elle dans un sourire en coin, se voyant également torturée par son désir. Je connais tes goûts bébé. Et je sais qu'à chaque fois que je me fais ce cadeau, c'est aussi à toi que j'le fais, souffla-t-elle, consciente que sa lingerie le concernait aussi, Aelya déployant toujours chaque détail pour le voir lui succomber davantage.

Elle avança vers lui de manière féline, se postant sur ses cuisses pour tenter son désir, son bassin bougeant sensuellement sur le sien pour mieux l'embraser. Elle soupira en sentant ses paumes glisser sur ses hanches, ses lèvres venant langoureusement grignoter son cou pour lui faire part de son désir brûlant. Elle tira sur les pans de son haut à sa demande après avoir déboutonné son jean pour le pousser à bout, sentant la fièvre de son bas ventre se révéler contre son bassin.

- J'veux que tu me fasses l'amour bébé... Susurra-t-elle à son oreille, le bassin en feu sous l'effet de ses paumes qui pressaient sa chute de reins, Aelya s'occupant de consumer sa peau de baisers fiévreux.

Elle eut à peine le temps de répondre à sa remarque qu'elle s'était vue plaquée contre le fauteuil, Niels se réfugiant entre ses cuisses, commençant à mettre à exécution ses envies.

- Bébé... Soupira-t-elle d'envie en sentant sa langue réchauffer sa peau, ses doigts se faufilant entre ses cheveux pour les caresser, ses cuisses se contractant à la chaleur humide de sa bouche. Tu me rends folle là... Murmura-t-elle, sa paume libre se réfugiant contre son sein qu'elle pressa sous l'effet du désir, son souffle s'ébruitant de plus en plus alors que son corps se parsemaient de frissons.

Il aimerait lui faire comprendre qu’elle le méritait bien plus qu’elle ne l’imaginait, Niels qui savait intimement qu’il n’y aurait personne d’autre capable de prendre soin de son coeur comme elle le faisait depuis deux ans. Parce-qu’Aelya, elle avait su réanimer la flamme dans son coeur, celle qui avait vacillé, à deux doigts de s’éteindre devant les échecs qu’il avait connu et qui avait forgé sa carapace. Finalement, elle avait caressé son âme avec une telle douceur, avec un tel intérêt, qu’il avait compris que leur histoire n’était pas anodine. Aujourd’hui, il savait que son coeur lui appartenait à tout jamais, qu’il était scellé au sien pour le restant de ses jours, lui qui ne pouvait certainement pas aimer une autre femme comme il aimait Aelya. Il valsait lentement avec elle, son torse contre sa poitrine, comme pour laisser leurs coeurs se répondre dans leurs battements, leurs lèvres se faisant savoir qu’elles se désiraient, encore et encore, jusqu’à en perdre leurs souffles. Niels avait finalement accompagné son amour jusqu’à sa surprise, celle qu’il préparait et qu’il cachait depuis de longues semaines, ayant toujours fait en sorte qu’Aelya ne se doute de rien pour que la surprise soit d’autant plus grande le jour de son anniversaire. Elle ne se doutait certainement pas de l’allure à laquelle son coeur battait, lui qui était fier de la rendre heureuse, heureux de la voir se réjouir de cette surprise qui avait été pensée pour ça, pour que les sourires continuent de s’étirer sur ses lèvres parfaites. « Je t’aime, si tu savais à quel point j’suis heureux de te voir comme ça. » Souffla-t-il amoureusement, la laissant encadrer son visage pour mieux l’embrasser, se remémorant les premières scènes de leur relation. « J’aurais été capable de pas dormir juste pour venir te voir toutes les nuits mon amour. » Souffla-t-il, se rappelant parfaitement de tout ce qu’il avait ressenti au début de leur histoire, de l’excitation et de la peur de se voir attaché à cette femme qui était tout ce dont il avait toujours désiré. Encore une fois, ce soir, elle lui prouvait qu’elle était et resterait la femme de tous ses désirs, Niels se voyant incapable de détourner les yeux de la scène, son amour usant de ses charmes pour capter toute son attention. Comme elle, il se voyait déjà tout contre son corps, à caresser sa peau, à englober ses courbes avec ses paumes qui ne désiraient qu’elle. « Je le sais ça… » Répondit-il, dans un souffle joueur, sa patience le mettant à rude épreuve. « On s’entend vraiment bien sur ce point-là bébé. » S’amusa-t-il, se mordant la lèvre alors qu’Aelya s’était totalement dénudée devant lui, Niels appréciant de voir sa silhouette se révéler devant lui. Sans lâcher son regard, il l’avait dévoré des yeux lorsqu’elle s’était approchée de lui pour prendre place sur ses cuisses, l’incitant sans le savoir à la toucher, Niels ne pouvant résister à l’appel de son contact, ses doigts glissant avec envie jusqu’à ses hanches. « J’aime trop quand tu m’embrasses comme ça… » Répondit-il, se retenant de soupirer plus fort bien que l’envie le faisait perdre pieds, Niels levant les bras pour aider son amour à le dévêtir, son jean ouvert laissant entrevoir l’ampleur de son excitation. « J’en ai trop envie aussi… J’te veux à un point que t’imagines même pas… » Murmura-t-il, Niels tendant la nuque pour la laisser mordiller son cou, avant de prendre les devants sans prévenir, ses lèvres en manque de son corps. Il esquissa un sourire devant son air presque surpris, prenant place sur ses genoux pour se mettre à hauteur de son bassin, son visage plongeant sans aucune hésitation entre ses cuisses pour commencer à la caresser, sa langue explorant son anatomie avec envie à peine dissimulée. « C’est ton anniversaire bébé… Tu pensais pas que tu m’échapperais… » Joua-t-il, sur un ton évocateur de son envie, Niels jetant un coup d’oeil vers son visage, se délectant de la vision de son corps qui se cambrait, de sa main qui était venue presser son sein. « Putain t’es vraiment trop belle… » La complimenta-t-il, lâchant un râle de plaisir en continuant de dévorer sa partie intime, jouant de ses talents pour lui faire atteindre le nirvana, Niels venant agrémenter ses caresses langoureuses avec celles de ses doigts.

Elle aurait pu regarder l'éternité s'écouler dans son regard, Aelya laissant le doux son de leurs palpitants guider leurs pas sous les étoiles. Elle s'attachait à lui à mesure que le temps passe, à mesure que leur amour ne s'embrase, leur donnant les ailes dont on les avait privé toute leur vie jusqu'à ce qu'ils ne se retrouvent au détour de leur vide, celui qu'Aelya avait voulu remplir de Niels. Dans le creux de son coeur, il n'y avait rien d'autre que des souvenirs étalés un peu partout qui les représentaient tous les deux, qui lui rappelait qu'ils ne seraient jamais seuls tant qu'ils se possédaient l'un et l'autre. Elle ne s'était pas attendue à cette énième surprise, celle que Niels avait crée sous ses yeux brillants d'émotions, lui qui avait tenté de refaire le club où elle avait dansé pendant deux ans, comme dans une volonté silencieuse de ne pas lui faire perdre son hobbie, Aelya qui avait préféré Niels à la danse, et qui le choisirait jusqu'à la fin s'il le fallait. Parce que sa plus grande passion, c'était ses lèvres, c'était ses yeux, c'était son corps et son âme, tout ce qu'elle était apte à percevoir de lui et qui la rendait complètement folle.

- J'suis comme ça tous les jours avec toi mon amour... Susurra-t-elle contre ses lèvres, sa bouche valsant amoureusement contre la sienne, son corps blotti contre lui. Et moi j'aurais même pu faire des heures supp' juste pour que tu me regardes encore plus longtemps... Renchérit-elle, se renvoyant dans sa peau deux ans plus tôt, le coeur s'accrochant au sien à chaque battement, s'écorchant dans les pans de ce désir qui vint se délester de son masque pour s'abandonner à l'amour le plus pur qui soit.

Elle avait craint cet attachement jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus rien y faire, sa peau se jonchant de ses délicieux hématomes qu'ils avaient pris l'habitude de s'offrir dans leurs nuits d'insomnie, ceux qui étaient venus lentement mais surement les empoisonner dans cette douce folie. Elle jouait de son envie, Aelya, laissant ses courbes se dévoiler sous son regard, ses déhanchements s’intensifiant alors qu'elle se mit au sol, comme pour lui montrer qu'il pouvait être là lui aussi, contre elle, entre ses cuisses qui s'agitaient sensuellement pour le tenter.

- On s'entend bien sur pleins de choses bébé... T'es ma moitié, avoua-t-elle en retrouvant amoureusement son regard.

Elle se dénuda entièrement, permettant à Niels d'admirer ses courbes bien qu'il les connaissait par coeur. Elle vint se placer sur ses cuisses, son désir palpitant trop fort dans sa cage thoracique, ses soupirs s'étendant déjà pour l'appeler contre elle alors qu'il l'emprisonnait entre ses paumes.

- T'es trop délicieux mon amour... Murmura-t-elle entre deux baisers sur sa peau, sa langue venant réchauffer son désir en s'échouant dans son cou, le marquant de sa fièvre alors qu'Aelya vint s'occuper de lui retirer son haut et déboutonner son jean, là où son envie se faisait remarquer. J'veux que tu me montres... L'invita-t-elle chaudement, voyant son corps basculer en un seul coup sur le canapé, son regard se teintant d'amusement et de désir, Aelya comprenant qu'il comptait bien la tourmenter.

Sa nuque se tendit abruptement contre le dossier du canapé lorsque sa langue vint s'enfermer autour de sa zone érogène, son souffle devenant soudainement saccadé et plus bruyant, lui qui administrait du plaisir en masse dans ses veines, connaissant exactement la moindre de ses faiblesses.

- C'était mal te connaître mon bébé coquin... S'amusa-t-elle entre deux soupirs, sa main venant instinctivement presser son sein sous l'effet du plaisir, ses cuisses épris de spasmes à chaque nouvelle vague de bien-être qu'il lui donnait de par ses baisers langoureux. T'es vraiment trop doué bébé... Putain... J'en peux plus déjà... Gémit-elle, sentant son coeur s'envoler de sa cage thoracique tant le plaisir était immense, Aelya fermant les yeux, ondulant discrètement contre ses doigts qui jouaient avec son désir. Mon amour... Souffla-t-elle dans un élan d'envie, ses cris de plaisir commençant à se déployer autour d'elle, résonnant entre les murs. Bébé... J'vais avoir... Un... Orgasme... Lâcha-t-elle difficilement, son visage s'étirant dans le plaisir alors qu'elle sentait son bassin se sensibiliser dans son désir, Aelya sentant son anatomie se réchauffer en s'humidifiant à chaque geste fiévreux de son amour, jusqu'à ce qu'elle ne crie une dernière fois son plaisir en atteignant le nirvana. T'es carrément fou... Admit-elle, la respiration encore troublée, mordillant sa lèvre. Tu m'as rendu encore plus affamée de toi... Avoua-t-elle, le regard félin, Aelya venant attraper ses lèvres en plein vol, permettant à ses mains de tirer sur son jean pour emprisonner fiévreusement son bas ventre alors qu'il était encore à genoux.

Les souvenirs de sa vie d’avant ne valaient pas la peine d’être retenus à côté de ceux qu’ils avaient créé ensemble, les seuls qui avaient de la valeur à ses yeux. Il avait bien l’intention de continuer d’écrire leur histoire, de la plus belle des façons possibles, lui qui savait qu’avec Aelya en partenaire de vie, ils seraient capables d’aller très loin, les limites étant franchissables si c’était pour elle. Il ne désirait qu’elle, ne voulait qu’elle pour le restant de ses jours, n’imaginant pas pouvoir recommencer à zéro avec une autre qui n’aurait certainement jamais accès à son âme comme Aelya. Parce-qu’elle était la seule en qui il vouait cette confiance aveugle, presque folle, lui qui ne s’était jamais mis à douter de ses intentions envers lui. Il avait le coeur qui palpitait rien qu’à la voir aussi heureuse, rien qu’à voir son magnifique sourire s’étendre encore un peu plus, parce-qu’il ne se lassait jamais de savoir qu’il pouvait contribuer à son bonheur lui aussi. Il la laissa venir contre lui, incapable de refuser le contact de ses lèvres, lui qui en était en constante demande. « J’te rends heureuse bébé ? » Souffla-t-il contre ses lèvres, presque innocemment, ses mains posées contre sa taille. « Dés le début on était pas nets amour… » Pouffa-t-il en se moquant gentiment d’eux, se rendant compte qu’ils s’étaient très rapidement rendus accro l’un à l’autre sans qu’ils ne puissent rien y faire. Il pouvait encore ressentir la brûlure de son manque s’attaquer à sa peau, à son coeur qui avait toujours eu un rythme désordonné lorsqu’il se retrouvait avec elle, lorsqu’il se laissait envoûter par son regard de braise. Il aimait chaque détail de son être, chaque trait de sa personnalité qui faisait d’elle cette femme unique dont il était tombé follement amoureux, Niels repensant à chaque étape de leur relation alors qu’il l’observait danser devant lui, son regard traduisant à bien des égards toute son admiration pour elle. « T’es rien qu’à moi. » Répliqua-t-il, avec un regard félin, peinant à gérer son calme alors que son amour lui offrait une vue privilégiée sur son corps, le dénudant entièrement pour satisfaire ses désirs. Il finit par l’accueillir sur lui, profitant de sa proximité pour toucher son corps, ses paumes redécouvrant ses courbes qu’il connaissait pourtant par coeur, son souffle finissant par se perdre contre le sien. « Pas autant que toi… » Murmura-t-il, presque dans un soupir d’envie, accompagnant Aelya dans ses discrets mouvements de bassins, lui laissant entrevoir toute l’excitation qu’elle administrait dans ses veines alors qu’elle déboutonna son jean. « T’as pas peur des conséquences…? » Joua-t-il, lui laissant penser qu’il était prêt à le lui montrer toute la nuit, qu’il pourrait lui faire l’amour jusqu’au petit matin si c’était ce qu’elle désirait. Finalement, il se laissa porter par son envie, basculant contre elle pour venir directement entre ses cuisses, sa langue se chargeant de faire monter la température de son corps. Il ne contrôlait plus sa fougue, s’affairant à maintenir les cuisses de son amour ouvertes pour pouvoir lui donner tout le plaisir du monde, sentant sa patience mise à rude épreuve à chacun de ses spasmes d’envie. « C’est très très mal me connaître. Surtout quand j’ai une idée bien en tête… » La chercha-t-il, son regard se délectant de la vision de son amour qui semblait apprécier le moment, Niels continuant sa délicieuse torture avec ses doigts qui la caressaient fiévreusement, maintenant son emprise lorsqu’Aelya se mit à gémir plus fort, l’incitant à continuer jusqu’à ce qu’elle n’atteigne l’orgasme. « Mon bébé… Putain, t’es magnifique… Tu me fais rêver. » Souffla-t-il, lui aussi à court de souffle alors qu’il réduisait lentement le rythme de ses caresses, souriant à ses mots. « Fou… Ouais, c’est le mot. » Admit-il avec un air malin, son regard cherchant le sien alors qu’il la vit se redresser pour atteindre ses lèvres, Niels répondant à son baiser en y insufflant plus d’ardeur, gémissant contre sa bouche lorsqu’elle vint enrouler ses doigts autour de son bas ventre tendu d’envie. « On dirait que j’ai réveillé la lionne… » Murmura-t-il, le regard enflammé, la peau embrasée, Niels laissant son bassin onduler contre sa main, provoquant son désir qu’il savait grandissant. « On se rappellera de nos premiers moments dans ta salle de danse bébé… » S’amusa-t-il, s’avançant vers elle pour attraper ses lèvres, dérapant dans son cou qu’il mordilla avec envie. « Viens sur moi… »

Elle n'aurait jamais laissé personne entrer dans son âme, Niels qui avait pu entrevoir la totalité de chacune de ses facettes qu'elle s'était prise à cacher au monde entier. Il l'avait silencieusement poussé à se révéler, lui qui l'avait mis en confiance dès la première rencontre, dès le premier jeu de regards qui l'avait fait sombrer pour la beauté de son être qu'elle ne cessait d'admirer à chaque fois qu'ils passaient du temps ensemble. Elle s'avança vers lui, tentant ses lèvres qui restaient sa plus belle gourmandise, Aelya savourant la douce chaleur de ce baiser, éprise dans ses liens qui la ramenaient constamment vers l'amour de sa vie.

- Plus qu'heureuse. Ce mot est beaucoup trop faible, admit-elle, peinant toujours à trouver les mots justes pour décrire l'exactitude des sentiments qui la martyrisaient délicieusement. Le pire c'est que ça va pas en s'arrangeant, pouffa-t-elle, consciente qu'ils étaient loin de s'assagir tous les deux, leurs tempéraments de feu les embrasant dès que la vie balançait de l'huile sur leurs instincts en fusion.

En cet instant, c'était Niels qu'elle désirait enflammer, ses courbes se chargeant de le divertir pour mieux le réchauffer, elle qui mourait d'envie d'être sienne, de s'abandonner entre ses bras pour se sentir complète. Il n'y avait rien de plus vrai que tout ce qu'elle faisait pour lui, ses gestes se voulant aussi sensuels que tout ce qui se tramait dans son esprit, ces pensées érotiques qui se déversaient dans son organisme alors que son regard glissait avec intensité sur son être. Personne ne savait la combler avec autant de précision que Niels, qui s'alliait parfaitement à tout ce qu'elle était, comme si finalement, ils avaient toujours été faits l'un pour l'autre.

- Aussi longtemps que tu voudras de moi... Susurra-t-elle, retirant avec sensualité chaque tissu qui entravait sa vision pour venir se placer sur ses cuisses, Aelya le tentant avec sa chaleur pour le pousser à bout, elle-même irradiant de désir pour son fiancé alors qu'ils se cherchaient tous les deux dans les caresses, les baisers qu'elle vint échouer dans le creux de son cou. J'ai surtout peur d'être tellement accro à toi que je pourrais plus jamais rien faire d'autre que faire l'amour avec toi, admit-elle, un léger sourire qui le défiait sur le coin des lèvres, Aelya soupirant en sentant la chaleur de son torse sur sa poitrine et la rigidité de son bassin qui taquinait doucement le sien.

Sans s'y attendre, elle bascula sur le canapé, laissant son amour ouvrir ses cuisses pour alimenter son envie avec ses baisers langoureux, Aelya sombrant devant la fièvre de son urgence qui augmentait à chaque vague de plaisir, ses cuisses se contractant en rythme avec les à-coups de ses gestes.

- T'as toujours ce que tu veux, sourit-elle entre deux gémissements, son corps ondulant d'envie sous le plaisir qu'il lui offrait, jusqu'à l'atteinte de son orgasme qui lui coupa la respiration pendant quelques secondes, la laissant en proie à son coeur arythmique d'envie, les pupilles dilatées par tout ce qu'elle voulait encore faire avec son amour. Qu'est-ce que je devrais dire de toi... Tu me fais trop craquer amour... Murmura-t-elle, la respiration saccadée, savourant ses dernières caresses. Et je t'aime tellement comme ça, renchérit-elle, son regard se posant une demi-seconde sur son magnifique visage avant qu'elle ne vienne soudainement emprisonner ses lèvres dans un baiser fougueux, sa main venant directement s'approprier son désir qu'elle désirait sentir en elle. Et pas qu'un peu, j'veux t'entendre crier mon bébé... Lança-t-elle, admettant des va-et-viens avec sa paume, ses soupirs fiévreux s'échouant contre sa bouche. Fallait bien qu'on la baptise bébé, s'amusa-t-elle, répondant à son baiser, son murmure lui déclenchant des frissons avant qu'elle ne s'exécute, invitant à Niels à reprendre place sur le canapé pour qu'elle ne se place à califourchon sur son bassin. Je veux te sentir mon coeur... Lâcha-t-elle, son corps glissant doucement dans le sien dans un long soupir de soulagement, ses hanches commençant à danser dans des mouvements amples sur lui. J'aime trop danser sur toi aussi... Avoua-t-elle malicieusement, sa main venant s'infiltrer à la base de ses cheveux pour permettre à ses lèvres de continuer à dévorer son cou, l'aspirant jusqu'à laisser une trace.

Il avait toujours désiré qu’elle se sente en confiance avec lui, dans ses bras qui n’avaient toujours voulu que lui procurer du bien. Parce-qu’ils étaient les mêmes au fond, ces deux âmes écorchées par la vie, laissées sur le bas côté, comme s’ils n’avaient jamais eu d’importance, comme si leurs existences avaient toujours été insignifiantes. Dans le regard d’Aelya, il avait enfin trouvé quelqu’un qui était capable de le comprendre, capable de palper ses sensibilités. Elle était son âme-sœur, la seule et l’unique, l’amour de sa vie qu’il voudrait jusqu’à son dernier souffle. Il profita de sa proximité pour l’embrasser, Niels qui était incapable de se priver de son contact, son cœur battant à chaque vague de chaleur que lui transmettait la simple présence de sa fiancée. « C’est tout ce que je voulais entendre... » Murmura-t-il avec un sourire heureux, pouffant de rire à ses mots joueurs. « C’est pas grave bébé, on deviendra fous ensemble. » Dit-il sur un ton faussement rassurant, n’ayant aucune envie de toucher à leurs personnalités de feu, eux qui savaient s’embraser en l’espace d’une seconde, surtout lorsqu’ils étaient ensemble. Il tombait continuellement sous son charme, subjugué par tout ce qu’elle était, tout ce qu’elle représentait pour lui, Niels sentant qu’il l’aimait un peu plus à chaque seconde qui passait. Il la contemplait avec un regard qui ne trompait pas, appréciant cette danse privée qu’elle lui offrait, Niels l’ayant toujours trouvé incroyablement talentueuse, hypnotisé par la facilité avec laquelle elle se mouvait, ses courbes valsant avec une sensualité qui le faisait frémir. « Ça durera toute la vie. » C’était une certitude, quelque chose dont il était intimement convaincu, persuadé qu’il n’y aurait jamais de fin entre eux, que leur histoire ne serait jamais brisée. Parce-qu’il l’aimait à en crever, incapable de s’imaginer sans elle, lui qui dépérissait au moindre centimètre qui s’ajoutait entre eux lorsqu’il s’éloignait de l’amour de sa vie. Là, contre elle, il ressentait sa chaleur irradier contre la sienne, ses mains caressant son corps alors qu’il se laissait dévorer par sa fiancée. « Bébé... Si tu savais à quel point j’rêve de te faire l’amour tout le temps. J’voudrais qu’on s’arrête jamais... » Murmura-t-il, l’esprit jonché de ces pensées brûlantes qui ne le laissaient pas de marbre, son désir se faisant plus visible alors qu’ils continuaient de se chercher fiévreusement. Il la fit néanmoins basculer sur le fauteuil pour la tourmenter davantage, Niels ayant bien des idées en tête pour qu’elle puisse se remémorer sa soirée d’anniversaire jusqu’à son dernier souffle. « C’est le cas de le dire... C’que je voulais surtout, c’était toi. » Souffla-t-il, replongeant son visage entre ses cuisses, sa bouche s’accaparant son intimité pour la faire frémir d’envie, sa langue s’aventurant contre son envie qu’il pressait, caressait, pour laisser le plaisir s’insinuer en masse dans son corps. Il ferma les yeux, recevant ses derniers mots d’amour pour la propulser vers le nirvana, le cœur battant à toute allure. « Je t’aime aussi... » Répondît-il amoureusement, surpris de la voir lui sauter dessus aussi rapidement, soupirant contre ses lèvres lorsqu’elle s’empara de son anatomie pour le caresser vigoureusement, agrémentant son envie qui se raidissait entre ses doigts experts. Il esquissa un sourire malicieux à ses mots, avant d’inciter son amour à venir tout contre lui, pour qu’il puisse finir cette soirée en beauté, l’un contre l’autre, comme ils savaient parfaitement le faire. « J’te veux trop, j’veux que tu me sentes en toi bébé. » Dit-il, incapable de retenir un premier gémissement lorsqu’Aelya glissa contre lui, leurs bassins l’un contre l’autre. Il passa ses paumes sur ses hanches, la laissant gérer le rythme de ses ondulations qui le rendaient déjà dingue, Niels tendant la nuque vers elle pour la laisser le marquer comme elle le souhaitait. « Tu danses merveilleusement bien mon amour... T’es une déesse. » Murmura-t-il, prenant appui sur ses jambes pour pouvoir buter plus fortement contre le bassin de son amour, désirant l’entendre prendre du plaisir. « Bébé... bébé... T’arrêtes pas... » Gémit-il, ses mains pressant sa chute de reins pour la guider, le cœur battant la chamade. « J’vais jouir... Dis-moi que tu me veux... » Souffla-t-il difficilement entre deux gémissements, la respiration saccadée par le plaisir qui le foudroyait.

C'était tout ce qu'elle désirait, continuer avec Niels, même si cela pouvait impliquer de foncer droit dans le mur, elle s'en fichait. Tout ce qu'elle voulait se révélait dans son regard, et si c'était le chaos qu'ils trouveraient, elle emmêlerait les filaments de son âme dans toutes les pièces qui pouvaient la raccrocher à l'amour de sa vie. Elle n'avait peur de rien, seulement d'errer sans sa main, celle qui la ramenait à sa chaleur si enivrante. Son regard parlait pour elle, gorgée d'amour et d'admiration pour la seule personne qui savait la faire renaître de ses cendres quand le monde entier s'était empressé de la regarder s'immoler dans les flammes de ses tourments.

- Tant que je reste avec toi, j'peux devenir tout ce que tu veux, sourit-elle en coin, son regard complice plongeant dans le sien.

Elle s'amusait à le déboussoler, la boussole de son propre coeur s'agitant dans tous les sens tant il avait toujours cette capacité à désarçonner sa raison, les aiguilles de sa sagesse qui se brisaient dès lors qu'elle croisait son regard. Ses gestes avaient pour but de le séduire, de lui transmettre toute sa passion à distance alors que sa peau rayonnait déjà dans l'attente de le voir poser ses mains sur ses courbes. Elle n'était elle-même que lorsqu'il la possédait amoureusement, lui qui inséminait bien plus que simplement de la chaleur dans son corps, lui qui lui offrait tout ce qu'elle n'avait jamais pu avoir dans son passé.

- J'serais incapable de te lâcher de toute façon bébé... Admit-elle, son regard ne le lâchant pas.

Et comme pour confirmer cette évidence, elle était venue se loger tout contre lui, son corps dénudé n'attendant que sa peau pour se réchauffer, ses lèvres marquant son cou dans une volonté de le rendre sien une fois de plus, jusqu'à l'éternité.

- Je voudrais faire que ça tout le temps bébé... Toi contre moi... Susurra-t-elle à son oreille d'une voix brûlante, égayée par toutes les idées qu'elle voulait lui faire, son bassin cherchant le sien alors que l'envie de son amour se concrétisait entre ses cuisses, Aelya se laissant basculer sur le canapé pour accueillir les lèvres de Niels sur sa peau déjà bien réchauffée. Tu m'as pour toujours, je sais pas où j'en serais sans toi... Je m'reconnais plus sans toi bébé, avoua-t-elle amoureusement, le corps se chargeant de frissons sous la délicieuse brûlure de ses lèvres entre ses cuisses.

Aelya gémit de plus en plus, sa voix résonnant entre les murs qui s'imprégnaient de leur désir alors que Niels la propulsa jusqu'au nirvana, sa peau encore sensibilisée par les caresses de ses doigts et de ses lèvres. Elle sentit son coeur battre encore plus vite sous l'effet de ses mots d'amour, elle qui avait maintenant envie de le voir crier sous le poids de son propre plaisir. Sa main se dirigea instinctivement vers son anatomie alors que sa bouche chercha la sienne fiévreusement, son corps se laissant étreindre par l'urgence de ne faire qu'un avec son amour. Elle soupirait d'envie entre chaque baiser, laissant sa main réveiller son désir qui grandissait entre ses doigts, Aelya s'imposant à lui sur ses cuisses à sa demande.

- Viens en moi bébé... L'invita-t-elle dans un souffle brûlant, son bassin s'emboitant lentement au sien dans un soupir, ses hanches ondulant sensuellement sur son corps, le sien maitrisé par ses paumes qui l'emprisonnaient contre lui alors qu'elle dévorait son cou de baisers. T'es mon dieu mon amour... Dans tous les domaines, ajouta-t-elle contre son oreille qu'elle mordilla, gémissant à chaque fois qu'il percutait son corps avec plus de ferveur, ses bras s'enroulant autour de sa nuque, son front chevauchant le sien. Touche-moi encore bébé... Renchérit-elle dans un gémissement lorsqu'il pressa sa chute de reins, Aelya savourant chacune de ses ondulations, se délectant de son plaisir. J'te veux en moi mon amour... J'veux tout de toi... Murmura-t-elle, ses lèvres glissant sur sa mâchoire, Aelya venant tendre sa nuque alors qu'elle se mit à expier son plaisir dans des cris de plaisir de plus en plus nombreux, ses ongles venant glisser sur son torse. Bébé... Cria-t-elle lorsqu'elle atteignit son deuxième orgasme, accablée par son plaisir qui résonna entre les murs de la pièce alors qu'elle sentit son corps s'éprendre de spasmes. Tu m'as trop gâté pour mon anniversaire... Lâcha-t-elle, sa tête se réfugiant contre son cou qu'elle embrassa tendrement. T'es parfait, je sais pas comment tu fais... Ajouta-t-elle, ses baisers remontant progressivement jusqu'à ses lèvres.

Ils pouvaient être qui ils voulaient ensemble, eux qui avaient bâti leur force sur leur duo que rien ne pouvait arrêter, encore moins les inconnus qui se permettaient de les juger sans même s’arrêter deux minutes sur leur histoire. Niels, il était prêt à tout pour être avec l’amour de sa vie, pour qu’ils puissent se retrouver jusqu’à la fin, jusqu’à ce que leurs âmes ne fassent plus qu’une jusqu’à leur dernier souffle. « Y’aura jamais personne pour nous arrêter. » Répondit-il, confirmant ses propos, parce-qu’ils étaient liés jusqu’à la fin, même dans la séparation, leurs coeurs étant incapables de battre normalement s’ils n’étaient plus ensemble. Ses yeux, complices, se perdaient sur la danse de ses courbes qui se mouvaient avec sensualité devant lui, Niels qui avait toujours l’impression d’assister au plus beau des spectacles lorsque son amour dansait. Elle était le plus beau paysage qui soit, le brun n’ayant aucun mal à la regarder et à la contempler toute la journée, à longueur de temps, sans ressentir une once de lassitude. Il se retenait déjà de se redresser pour pouvoir poser ses mains sur elle, sur ce corps qui appelait aux caresses et aux baisers, ceux qu’il désirait parsemer sur sa peau brûlante. « On va finir notre vie ensemble bébé. » Ajouta-t-il, persuadé que ça serait le cas, qu’ils s’aimeraient toute leur vie, ces deux ans de relation n’ayant fait que confirmer ce qu’il savait déjà, qu’Aelya était le grand amour de sa vie. Il s’était laissé guider par elle lorsqu’elle avait pris place sur lui, incapable de se contenir maintenant qu’il pouvait la toucher, Niels la laissant le dévorer comme elle le souhaitait. « Moi dans toi… » Répliqua-t-il derrière elle, à son oreille, laissant un baiser sur sa joue alors qu’il continuait d’accompagner ses ondulations contre son bassin en feu, Niels sentant son membre se raidir contre son corps. « Moi non plus j’sais pas ce que c’est d’être sans toi. J’veux jamais l’être, c’est la pire des choses qui pourrait m’arriver mon amour. » Souffla-t-il, le visage niché entre ses cuisses pour la tourmenter, pour lui offrir un orgasme, Niels qui aimait l’entendre expier son plaisir, faisant en sorte d’appuyer sur ses zones sensibles qu’il commençait à connaître sur le bout des doigts. Il accompagnait ses baisers langoureux avec la pression de ses doigts sur son anatomie, Niels finissant de l’emmener jusqu’au septième ciel, le coeur battant la chamade lorsqu’elle s’appropria ses lèvres et son membre pour le caresser, soupirant contre sa bouche le plaisir qu’elle insufflait dans ses veines. « Tu sais comment t’y prendre avec moi… » La complimenta-t-il avec un sourire, Niels se relevant pour prendre place sur le fauteuil, Aelya s’installant rapidement sur lui pour lier leurs corps qui n’attendaient que ça. « J’adore quand tu me fais l’amour comme ça… » Murmura-t-il pour l’enflammer, dévorant son corps des yeux, ses mains accompagnant ses hanches contre son bassin, le rythme sensuel qu’elle lui imposait le rendant dingue. « Un dieu pour une déesse… On s’y retrouve bien mon bébé… » Gémit-il, prenant les choses en main pour accentuer ses coups de rein, trouvant un appui sur le fauteuil pour laisser son bassin buter contre le sien. « Comme ça mon amour ? » Murmura-t-il, pressant davantage sur sa chute de reins, claquant légèrement sa peau pour l’enflammer, son regard s’embrasant alors qu’il gémissait plus fort, son front se calant amoureusement contre le sien alors que son plaisir arriva à son point culminant, Niels explosant d’amour contre sa fiancée. « J’ai été gâté aussi mon amour… » Sourit-il, la respiration encore saccadée, fermant les yeux pour profiter de ses douces et tendres pressions dans son cou. « Je fais rien du tout. C’est parce-que je t’ai toi surtout. » Murmura-t-il, embrassant ses lèvres doucement, ses mains remontant jusqu’à son visage pour l’encadrer amoureusement, prolongeant leur échange qui se termina en baisers vifs, Niels s’amusant avec ses lèvres qu’il attrapa rapidement. « Et si j’te faisais un massage dans le lit mon amour ? » Proposa-t-il avec un air amoureux, ses mains revenant glisser sur ses hanches. « A force de danser, tu dois être tendue bébé… » S’amusa-t-il, prenant leur moment d’amour pour excuse.

Elle attendrait toujours que lui, Niels, la perle nacrée qui avait égayé ses rêves d'un voile doux, loin de l'amertume qui l'avait constamment rongé, laissant son âme à vif sur les pavés de son espoir desséché. Il l'avait reconstruite de ses mains, plaçant sa chaleur sur son être qui n'avait toujours eu besoin que de ses soins, Aelya qui ne savait même pas où elle en serait si Niels ne l'avait jamais trouvé. Elle sourit à sa remarque fièrement, persuadée que personne n'était apte à les briser, sûrement pas devant les conséquences qui les attendait si même ils essayaient. Parce qu'elle avait trop vécu loin de lui pour toute une vie, et que son cœur ne serait jamais à même de renaître si c'était Niels qu'on lui arrachait, lui qui était directement impliqué dans chaque impulsion de vie qui s'inséminait en elle. Elle dansait pour ses beaux yeux, pour cette lueur qu'elle voulait voir jaillir au plus près de sa peau, Aelya qui n'avait pas peur de se brûler si c'était son amour le brasier, lui-même créant un incendie dans son corps qui ne désirait que l'accueillir.

- Je te le promets, lâcha-t-elle, incapable de se délester de sa présence dans sa vie qui ne tenait debout que par la seule force de sa voix.

Ses vêtements retirés dans ses mouvements sensuels, elle s'était invitée sur ses cuisses, rapprochant leurs peaux pour agrémenter davantage leur désir plus que palpable, le cou de Niels se voyant dévorer par ses lèvres affamées de sa douceur, tandis qu'elle sentait son urgence taquiner son bassin. Elle sentit sa respiration s'emballer à ses murmures brûlants laissés dans son oreille.

- Jamais tu seras sans moi... Si tu savais comme tu représentes toute ma vie... Susurra-t-elle amoureusement.

Elle laissa son amour descendre entre ses cuisses pour la tourmenter par le biais de ses lèvres et de ses doigts contre son anatomie en feu, dévastée par son envie qui la faisait soupirer un peu plus fort à chaque fois, jusqu'à l'atteinte du sommet de son plaisir qu'elle vint récupérer sur ses lèvres, laissant sa main graviter autour de son membre pour le sentir grandir.

- Je te connais par cœur... Et t'es la personne la plus magnifique que je connaisse... La plus sexy aussi, sourit-elle en coin, ses lèvres soufflant son désir contre les siennes avant de s'inviter sur lui, liant leurs corps pour n'en faire qu'un. J'aime tout avec toi bébé... T'es mon seul fantasme, avoua-t-elle entre deux gémissements, savourant la chaleur de ses paumes sur ses hanches qui s'agitaient sensuellement sur son bassin. On s'y retrouve toujours ensemble... C'est aussi pour ça que je suis folle de toi... Murmura-t-elle, joueuse, laissant ses cris se dévoiler alors qu'il percutait son être avec plus de ferveur. Comme ça bébé... T'arrêtes pas, continue... Gémit-elle, en proie à une délicieuse transe qui portait son prénom, son corps s'agitant contre le sien avec harmonie, Aelya mordant sa lèvre en sentant sa main claquer légèrement sur sa peau, animant sa fougue, son corps se marquant des pressions passionnées de ses paumes, jusqu'à ce qu'elle n'expie une dernière fois son orgasme. T'es le meilleur amour, sourit-elle tendrement, embrassant doucement son cou. Je veux personne d'autre que toi bébé, je peux pas me passer de toi, c'est trop fou... Admit-elle amoureusement, l'embrassant tendrement avant de légèrement rire en réceptionnant ses baisers vifs sur ses lèvres. Bébé, t'es pas encore assez crevé, faut encore que tu me fasses un massage ? S'amusa-t-elle, prenant ses mains pour les embrasser tour à tour. Si tes mains veulent encore un peu travailler... On peut se faire des massages à tour de rôle ? Proposa-t-elle malicieusement. Je veux tes mains sur moi encore, sourit-elle, prenant la main de Niels pour l'attirer dans la chambre, s'allongeant sur le ventre alors qu'elle rejoignit le lit. T'aimes la vue mon cœur ? Le chercha-t-elle, joueuse.