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Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.

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 ROUND 1 - les chiens ne sont pas tous poilus mais sont parfois des hommes

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MessageSujet: ROUND 1 - les chiens ne sont pas tous poilus mais sont parfois des hommes   ROUND 1 - les chiens ne sont pas tous poilus mais sont parfois des hommes EmptyMer 14 Mai 2014 - 19:46



les chiens ne sont pas tous poilus
featuring -  Andy

La vie nous mènes au futur, au présent mais où nous mènes le passé ? A quoi bon ? Il y a des jours ou en vous levant, vous vous posez tellement de questions. Sans réponses. Je ne savais pas vraiment ou les chemins nous mèneraient tous au final. Parfois j’étais tellement angoissée, dans mon monde, dans ma tête. Ce matin, je n’avais rien eue à faire, je m’étais levée en sueurs suite à un cauchemar mais comme toujours ? Je ne m’en souvenais pas ! Quand j’étais petite, je pouvais toujours raconter mes rêves, mes cauchemars et tout dans les moindres détails. Maman me dit toujours que c’est par ce que j’ai la chance d’avoir un subconscient assez ouvert ou un sommeil léger. Ce qui est le cas. Un bruit tout ridicule peut me réveiller. J’avais aussitôt prise une douche pour m’apprêter et aller au supermarché, normal. Une routine qui s’installait chez moi depuis quelques semaines enfin disons que j’aimais bien aller faire mes courses pour me changer les idées. Un mp3 dans les oreilles, c’était toujours ainsi avant mon jogging. Aussitôt, j’allais donc jogger et hop en route vers l’infini et au-delà aussi. Enfin peut-être pas tout de même car je ne courrais pas vraiment si vite mais je courrais tout de même à une vitesse… normal. Un jogging, quoi. Ma route était sinueuse alors que ma route n’était parcourue d’un quart. Je devrais retrouver le parking. J’avais passée une bonne heure à courir, faire le tour entre deux petites pauses par ici et par là. Bien sûr ce n’était qu’une partie de la journée, j’étais tout simplement rentrée chez moi en ayant une liste compléte de choses à faire. Vraiment. J’avais mon blog à tenir au net et le ménage aussi. Et sans compter les tâches ouvriéres d’une femme qui a des millions d’amis dans sa maison comme un chien, un chat. Mais bon, le chien ? Oui, j’oubliais que Tagada devait sortir. J’avais tellement de choses en tête, entre Andy et mes parents qui n’avaient pas encore répondus à mon mail mais aussi mon ex enfin qui était encore dans ma tête. Cette robe pendant à la porte de mon dressing qui me disait : tu n’es pas mariée, ma petite. Tu n’es pas mariée. La salope, elle était là à me narguer comme une peste mais mince, coquine, tu n’es qu’une robe. J’étais donc sortie, mettant la laisse à Tagada, mon labrador de couleur crème et allant en direction de la plage. Entre mon jogging et ce moment, je m’étais changée, étant dans une robe noire assez légère, des ballerines aux pieds. J’avais laissé mes cheveux d’or s’onduler presque naturellement et j’étais légèrement maquillée. Alors que ma tête était en pleine sodomie cérébrale. C’est quoi la sodomie cérébrale ? Tout simplement la tête dans le cul. Tout simplement, oui. Je marchais dans le sable, retirant mes ballerines tout de même, oui enfin ce n’est pas vraiment facile. Ça devenait difficile à vrai dire. Je souriais tandis que d’autres optent pour des tongs, je préférais être pieds nus. Comme avant. Tagada qui parfois rame à marcher sur la plage car il aime tout simplement prendre son temps pour se balade et sentir les derrières qui n’était pas parfumés à la pomme des gens ou des animaux sur sa route. Et sachez qu’il aime beaucoup les jeans Levis donc c’est pied quand c’est un homme dans un jeans de la marque, ce chiot a réellement un souci. Je la regardais aboyer contre un chihuahua qui nerveux, se laissait embarquer. « Chut ! », disais-je d’un ton sévère à mon chien qui était encore un chiot donc bon. J’inspirais doucement en tirant sur la laisse. « Allez ! », mais il tenait bon, tandis que le chihuahua était éloigné, il continuait et tirant un peu trop. Sa laisse se détachant d’un coup, je me retrouvais aussitôt sur le cul. Les fesses sur le sable tandis qu’elles s’amusaient sûrement à laisser une empreinte, je riais nerveusement. Il faisait un quart de tour autour de moi en venant même me lécher la joue avant qu’un chien n’aboie au loin et BIM. Oui, BIM. Je me retrouvais à regarder ce chien partir en courant sans que je ne puisse le retenir au loin. Je me levais aussitôt en le suivant. « Tagada… », M’écriais-je alors plusieurs fois, gênée sur la route par mes cheveux. Je soupirais, courant encore et encore mais c’est qu’il était rapide. Je l’entendais aboyer mais je me sentais tellement épuisée à courir aussi rapidement qu’un chiot qui abuse surement du melon et des vitamines. Oui, ce chiot mange du melon et alors ? Je m’arrêtais, posant les mains sur mes genoux en penchant la tête le temps de retrouver mon souffle. J’avais du mal, réellement. J’expirais, inspirais encore et encore. Je soupirais doucement. « Et pourquoi j’aime les animaux encore ? », demandais-je alors à moi-même, le souffle un peu difficile.
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MessageSujet: Re: ROUND 1 - les chiens ne sont pas tous poilus mais sont parfois des hommes   ROUND 1 - les chiens ne sont pas tous poilus mais sont parfois des hommes EmptyMar 20 Mai 2014 - 5:44

Iris ∞ Andy
There's nothing that I'd take back, but it's hard to say there's nothing I regret. Cause when I sing, you shout, I breathe out loud, you bleed, we crawl like animals, but when it's over, I'm still awake. A thousand silhouettes dancing on my chest, no matter where I sleep, you are haunting me
Bip.. Biip.. Bipbipbipbip... J’ouvre un oeil. Je déteste réellement l’invention du réveille matin, quel connerie ! J’abas mon poings sur celui-ci croyant appuyer sur le snooze, mais le pauvre il connu un tout autre fin. Regardant l’objet de ma frustration matinal joncher sur le sol, je soupire avant de me retourner dans mon lit. Il fait un peu frisquet aujourd’hui, rien de bien alarmant, bien au contraire. Mon téléphone vibre, sonne, fait tout les temps et je le regarde avec cet air haineux avant de voir l’afficheur. Mon patron. Je pousse un soupire et décroche aussitôt. « ANDY ! » Un réveil trop brutal selon moi. « On m’a dit que tu devais séduire une fille pour la faire tomber amoureuse de toi ! Elle est avec toi ? » Je regarde le plafond, parfois je trouve qu’il a tout d’un génie de la mode, mais là je le trouve simplement simpliste et con ! Faut pas ce le cacher quand même. « Je lui ai même pas encore adresser la parole... » Silence. Voilà, je suis dans la merde, il va se moquer, rire de moi comme il le fait toujours. Monsieur sort avec une fille en secret et s’amuse de mes relations, je me demande qui est cette fille ? « Je te donne ta journée ! » Ah bin merci... Un message texte aurait amplement suffit. J’essai de dormir une heure ou deux de plus, mais après trente minutes à tourner en rond, autant se lever. Enfilant une parcelle de vêtement, soit un boxer, j’allais dans la cuisine partir la cafetière pendant que j’allais prendre une douche et me préparer pour un jogging matinal. Sous la douche, je regarde la tuile d’un céruléen, comment je vais bien pouvoir abordé cette Iris ? À part lui dire de prendre la pose et de faire ci ou ça, je n’ai jamais vraiment entamé la conversation. Autant dire que mes paroles jouent à la cachette avec elle. Je sors peu de temps après, enfilant un débardeur blanc et une paire de bermuda. Me dirigeant vers la cuisine, je me prépare mon café, boit ma tasse presque cul sec, puis me prend une pomme et une barre tendre protéiné. J’aime pas trop prendre le petit déjeuné. Je sors donc de chez moi avec mes écouteurs dans les oreilles direction la plage pour faire mon jogging. L’air se réchauffe avec les heures qui passe et une fois sur la plage je me retrouve étonné de voir qu’il y a autant de personne sur le sable. Je cours sur le bord de l’eau mes tennis dans mon sac à dos, mon débardeur glisser entre ma peau et mon bermuda. Après avoir couru sur plusieurs kilomètres, je m’arrête près d’un groupe de jeunes filles qui gloussent en me regardant. Une odeur de barba papa émane d’elles, je pourrais facilement jouer le chasseur, mais j’ai une tout autre proie en vue. Quoi qu’elle n’est pas devant moi à cet instant précis. Je sors de mon sac ma bouteille d’eau, retire mes écouteurs un instant pour entendre la mélodie d’un harmonica. Un aboiement attire mon attention, un chiot crème cours entre les personnes et j’ignore pourquoi moi, mais il me rentre directement dans les jambes alors qu’il avait esquivé tout le monde. Bavant sur mes pieds, je prend sa laisse alors qu’il renifle mon pantalon. Ce cabot n’a pas toute sa tête. Je le regarde un instant puis lève la tête pour chercher une personne désespérée. C’est là que je l’aperçois courant vers nous. Ne me dite pas que c’est Iris sa maîtresse... Le hasard fait de drôle de chose parfois. Je me mit à sourire en la voyant approcher, mais comment engager la conversation ? Je ne lui parle pas et dire Iris tout simplement ferait étrange. Je crois que le cabot comprit mon état d’âme, car dans un aboiement à l’arriver de sa maîtresse, il ne me laissa pas le temps de placer un mot qu’il se mit à tourner autour de nous. Tenant toujours la laisse, je me retrouve en un instant coller à elle, ligoter comme un saucisson au niveau des jambes. Puis, l’attaque fatal, mettant ses pattes sur ses fesses il la fit basculer vers moi, elle m’entraîna dans sa chute. J’aurais préférer un champs de pissenlit plutôt qu’une mer de sable. En andyfourchon sur moi, je la regarde. Je vais devoir un mois de nourriture canine à ce cabot s’il me fait gagner des points avec elle ! « Iris ? » Je joue la carte de celui qui semble enfin la reconnaître. Le con. « Ça lui arrive souvent ? Enfin il est bien à toi, sinon il se prend pour une agence de rencontre. » Je souris bêtement, mauvais dragueur ! Je suis meilleur que cela d’habitude ! J’en perd ou c’est simplement parce que je sais que je dois absolument la séduire. Et dire qu’il y a à peine quelque années, j’y connaissais rien aux femmes. En ce moment, j’ai pas de misère à le croire !
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MessageSujet: Re: ROUND 1 - les chiens ne sont pas tous poilus mais sont parfois des hommes   ROUND 1 - les chiens ne sont pas tous poilus mais sont parfois des hommes EmptyJeu 22 Mai 2014 - 20:19



les chiens ne sont pas tous poilus
featuring -  Andy

Les chiens, ce sont parfois des amours mais parfois des diables. On ne sait jamais comment les dompter quand nous adoptons le premier chien de notre vie mais surtout quand nous sommes adultes. J’en avais eus quand j’étais une petite fille mais je n’étais plus une enfant. L’âme d’enfant ne se rend pas toujours compte qu’elle doit faire tant de choses pour qu’un petit chien devienne un grand chien. Tout d’abord ? Il fait être là pour le chien, le sortir et tout. L’enfant n’en fait pas autant. Être une adulte renfermait tellement de complications comme celle-ci mais j’adorais ça. J’avais toujours été cette fille responsable qui ne sortait pas jusqu’à pas d’heures ou qui était encore pucelle à mon âge. Normal me diriez-vous ? Mais si des crétins me lâchent à l’autel. Bien sûr. C’était une toute autre histoire mais là, mon chien semblait lui aussi s’enfuir. On n’en était pas encore à l’étape du mariage et heureusement car sinon je crois que j’ai un sérieux souci mais alors que je me demandais pourquoi je voulais encore de ce fameux chien. Je continuais ma course vers celui-ci, un peu épuisée de courir. Je ne savais même pas où il se trouvait, me contentant de suivre les traces de ses pas. Vive le sable. Vive le sable, vive le sable… d’hiver ? Non, pas vraiment. J’approchais alors, apercevant mon chien sur un homme mais celui-ci s’amuse encore, marchant et courant dans mes pattes, me faisait perde maladroitement mon équilibre alors que je me retrouvais rapidement sur cet homme que je ne reconnaissais pas vraiment sur le coup, pas du tout en fait. Il fallait avouer que je regardais surtout mon chat qui était bien moins effrayant à mes yeux, bien moins… Enfin j’allais devenir zoophile car les chiens sont gentils. Au moins au, ils sont de braves bêtes fidèles ! Je pouvais enfin voir attentivement cet homme, son regard alors qu’il disait mon prénom. J’étais à Andyfourchon sur lui et je riais nerveusement en le regardant, le reconnaissait même. Et hop, là, c’était l’horreur dans ma tête et ouais mais pourquoi ? Je ne devais simplement pas repousser cet homme, non que du contraire. Je devais paraitre même petit à petit amourachée de lui. Je devais petit à petit devenir inséparable. Devenais son autre mais pourtant je n’en avais aucunes envies. Il avait tout de la tête de l’homme qui allait faire souffrir les filles. Il était beau, ses yeux surtout et semblait affreusement sexy et surement même doué au lit. « C’est mon prénom, oui ! », disais-je alors tout naturellement, encore un peu disons que la défensive enfin pas réellement mais plus dans ma bulle. Restant stoïque en le regardant alors me poser cette question ou même parler d’agence de rencontre. Il était sérieux ? Il n’avait jamais réellement parlé avec moi sauf pour commander mes gestes devant un appareil photo et maintenant, il voulait savoir si mon chien était spécialisé dans les agences de rencontres. Je riais nerveusement en le regardant. « Agent de râteau, plus vite ! », quand bien même. Je n’avais pas vraiment envie d’être la fille trop vite accessible. Cela ne me ressemblait pas et cela sonnerait faux. Je voulais être plus stratège dès le début de ce jeu naissant. Souriant à celui-ci, légèrement en tendant de me redresser enfin ça c’était avant que le chien se décide à me grimper sur le dos. Je me laissais maladroitement tomber à plat ventre sur Andy. Je soupirais doucement. « Tagada… », criais-je alors en regardant le jeune homme. « Enfin c’est lui, pas toi, c’est quoi ton prénom d’ailleurs ? », oui en fait, je connaissais son prénom mais je voulais faire cette fille qui l’ignore. La fille qui n’en a rien à foutre en gros mais allais-je réussir ? Je n’en savais rien. Les cartes étaient jetées. Autant sortir mon jeu. Je n’étais surtout pas préparée à lancer la partie maintenant, je n’avais encore pas réfléchie à ce moment ou je devrais faire cette fille aux semblants amoureux. Mon rôle n’était dans le fond pas de le faire tomber amoureux mais de faire comme si j’étais tombée amoureuse. Un défi pour moi alors que j’avais l’impression de l’être encore de mon ex. Je ne voulais pas jouer trop, vite un rôle. Pas avant d’avoir tâtée le terrain.
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