AccueilAccueil  RechercherRechercher  MembresMembres  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

↳ personnages attendus

Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.

-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 – 16 Go / 512Go (CDAV : ...
499.99 € 699.99 €
Voir le deal

 

 I think you're still a kid | ft. Alan

Aller en bas 
AuteurMessage
Anonymous
Invité
I think you're still a kid | ft. Alan Empty
MessageSujet: I think you're still a kid | ft. Alan   I think you're still a kid | ft. Alan EmptyMer 30 Aoû 2023 - 8:49

I think you're still a kid | ft. Alan A1393bd40f60a52e2122345f496ebb69a4f48904

Ce soir, c'était soirée entre copines. On avait choisi d'aller n boîte de nuit, bien que l'idée ne plaisait pas des masses à Thomas. Mais en vérité, il n'avait pas vraiment le choix. S'il y a bien une chose que je refusais, c'est que l'on m'impose quoi que ce soit. La seule personne en mesure de le faire n'était autre que mon père. Je lui avais donc fait comprendre que j'irais qu'il soit d'accord ou non. Et s'il voulait me garder, c'est comme ça que ça fonctionnait. Et puis, n'oublions pas que nous n'habitions pas ensemble, bien que ce dernier avait vraiment envie de me voir emménager avec lui. Mais pour l'heure, j'étais bien chez papa et maman. Je n'avais pas responsabilité et ça me convenait, bien qu'un jour, il faille aussi que je prenne mon envol, comme mon frère et ma sœur l'avait fait. Néanmoins, je savais que si j'informais mes parents que j'allais habiter avec Thomas, ce serait certainement la troisième guerre mondiale. Ils avaient décidé qu'ils ne l'aimaient pas et avaient décidé de ne pas appendre à le connaître. Forcément, dans leur tête, je devais finir avec Alan, ce qui avait le don de m'exaspérer plus qu'autre chose.

Je m'étais rendu chez une copine pour que nous puissions nous préparer ensemble. Une petite robe noire assez courte et assez décoltée. Une paire de talons plutôt haut, qui allaient très certainement me faire mal aux pieds d'ici à la fin de la soirée. J'avais pris le temps de me lisser les cheveux et de me maquiller. Une fois que ce que je vis dans le miroir était à mon goût, je l'informais que nous pouvions y aller. Nous devions rejoindre deux autres copines devant la boîte de nuit. Pour éviter de rentrer dans la nuit froide, nous avions décidé de prendre ma voiture. Outre le fait qu'elle soit tape à l'œil, mes copines adoraient monter dedans. En seulement quelques minutes, nous arrivions sur le parking de la boîte de nuit. Je me garais sans forcément respecter les lignes au sol. En même temps, il faut dire que j'avais un véhicule assez large. Et je n'avais clairement envie de faire d'effort pour la garer correctement. On sortis du véhicule pour rejoindre les copines et faire la queue pour entrer dans la boîte de nuit. Ça annonçait une bonne soirée.

Cela faisait bien trois ou quatre heures que nous étions en train de danser sur la piste, avant de rejoindre le bar pour discuter et boire. Je pris, tout de même, un martini dry. On commençait à parler de tout et de rien, lorsqu'une de mes copines me donna un coup de coude pour que je tourne la tête. Mes yeux se posèrent directement sur la personne en question qui n'était autre qu'Alan, affalé sur l'un des canapés de la boîte. À première vue, il n'avait pas l'air d'aller bien. Moi qui pensais que j'allais passer une bonne soirée, c'était louper. Je soupirais tout en levant les yeux au ciel. Est-ce que je devais vraiment aller l'aider et l'engueuler ? Une partie de moi voulait l'ignorer. Après tout, il était assez grand pour prendre ces décisions. Mais une autre partie de moi se disait que je ne pouvais pas le laisser comme ça. Je finis mon verre et me dirigeais vers lui. Une fois à sa hauteur, je pris place à côté de lui. Je ne savais s'il avait bu ou s'il avait aussi consommé des substances illicites, mais j'avais l'impression d'être face à un gamin. Pourtant, c'était lui le plus âgé de nous deux. Je le regardais et sur un ton un peu sec lui lança :

« Ca va, tu te sens bien ? » Question rhétorique, bien évidemment. Il n'avait certainement pas intérêt à me répondre qu'il allait bien. Il se prendrait la rouste de sa vie si c'était le cas. Le pire c'est que par provocation, il en était capable. J'enchainais ensuite : « Qu'est-ce que t'as pris ? »

Je savais comment déjà aller se finir ma soirée : il allait falloir que je le sorte de la boîte de nuit et que je le ramène. D'habitude, j'avais tendance à l'emmener chez mes parents et le faire dormir dans une chambre d'amis pour veiller sur lui, dans ce genre de situation. Mais si jamais cela venait aux oreilles de Thomas, je savais que ça allait être ma fête. Mais d'un autre côté, je n'allais pas le laisser chez lui, tout seul, s'il n'allait pas bien. Je verrais bien le moment venu.
Revenir en haut Aller en bas
En ligne
baby kangou
Alan Hopkins
Alan Hopkins
MESSAGE : 631
ICI DEPUIS : 24/07/2023
COMPTES : ella, willow, skye, murphy
CRÉDITS : aerolvn (avatar) Joey Paesano (gif)

STATUT : Célibataire, est-ce que je dois me poser ?

Feuille de personnage
∞ mes liens:
⇢ à propos de moi
:
I think you're still a kid | ft. Alan Empty
MessageSujet: Re: I think you're still a kid | ft. Alan   I think you're still a kid | ft. Alan EmptySam 2 Sep 2023 - 0:26

tw : drogue


Les dérapages de la veille fracassent encore la tête d’Alan qui est loin d’être dans sa meilleure forme. Il a besoin de souffler, un petit peu,, se reposer. Pourtant, un détail a été oublié : ce soir, c’est l’anniversaire d’un de ses potes et impossible de le rater. Il aimerait bien, il voudrait bien. Il a trouvé des excuses, il en a inventé deux trois, il a besoin de repos, le pauvre. Mais malheureusement l’adrénaline, l’envie, et la motivation des autres le forcent à vouloir sortir. Toujours autant influençable, et la peur du FOMO, peur de rater un événement, une soirée, une sortie. C’est ainsi qu’il enfile une chemise, simple, et part en direction de la maison de son ami. Et là, tous les vices sont permis. Tous. Néanmoins, il résiste, du moins, il tente. Oui, oui, vous avez bien entendu, il a refusé de boire un cocktail, et de prendre un rail de coke. Aujourd’hui, il vise la sobriété, et il va essayer de s’y tenir, car les dégâts de la veille sont encore bien trop présents. Mais le voilà déjà embarqué dans un jeu à boire, il se dit qu’une gorgée c’est pas grand-chose, c’est pas grave. Puis, il en remet une autre et commence un cercle vicieux : jamais deux sans trois devient l’excuse de la troisième, et la quatrième c’est parce  qu’il aime ça, puis… la cinquième, c’est le cimetière, la descente aux enfers. Il se sent pousser des ailes, monter aux cieux, alors qu’il s’enterre, en réalité, six pieds sous terre. L’influence des autres a eu un effet, et leur groupe, ensemble, ils vaincront tout. QU’est-ce qu’il pourrait les arrêter ? Rien, vraiment rien -mais on aura beau dire, l’argent n’évite pas une overdose, juste un meilleur traitement. C’est ainsi qu’il recommence le geste si bien maîtrisé qu’il en devient automatique : un billet pour tracer une ligne blanche, une paille dans son nez et une grande inspiration. On le sent, on le voit, ce n’est pas sa première fois, ni la dernière fois. On pourrait prendre peur tellement aucune hésitation persiste dans sa gestuelle. Mais Alan, ça ne l’angoisse pas, il n’est pas comme tous les autres, Il n’est pas dépendant, non loin de là. Il en prend qu’en soirée, et entouré, c’est tout ! Mais est-ce que cet argument est valable quand les soirées deviennent un quotidien ? Ca, il n’y a pas pensé, et il n’y pensera jamais. De toute façon, avec l’argent, il se refera la santé, et puis tant pis pour la suite. Cependant, cette soirée n’est pas comme toutes les autres, les consommations de la veille viennent s’ajouter à celles d’aujourd’hui. Alors, ça monte vite et il n’a pas besoin d’aller plus loin. Et soudain, pendant sa montée, un ami propose une sortie en boîte de nuit. Il signe directement, sous l’influence des autres, et de la drogue. C’est parti. Allons s’amuser. A-t-il peur d’être recalé par le videur au vu de son état ? Absolument pas, loin de là. L’argent, encore une fois. Ce pouvoir qui le rend invincible. Sinon, il se fondra dans la masse de ses amis qui semblent un peu plus nets, et ça passera comme ça, non ? Il tente tous les plans, et contre toute attente, le voilà désormais à l’intérieur de son royaume. Il se met à danser au milieu de la piste, à s’amuser, une heure, puis deux.. Puis la troisième, une nouvelle dose est nécessaire, la redescente se fait sentir. Il fait donc signe à ses amis avant de s’assoir sur un canapé non loin de la piste de danse et du bar. Et hop, ni une, ni deux, la poudre magique se retrouve sur la table de chevet. Et hop, ni une ni deux, dans son nez. Tour de magie d’apparition-disparition de produits illicite. Et dans quel but ? Aucun, si ce ,’est d’avoir la tête embrumé comme il a, actuellement. Oh. Des sensations étranges parcourent son corps. Une impression de chaleur bouillonnante le brûle de l’intérieur, la sueur dégouline de son front, de son cou, de son dos, de ses bras. Que se passe-t-il ? Il ne comprend pas tout, et décide donc de rester un peu plus longtemps sur le canapé. Il regarde un point fixe afin de retrouver ses esprits et enlever la brouillard. Puis, une personne s’approche de lui. Il n’y prête pas attention, ce n’est pas important, ça ne compte pas, tant que son cerveau n’est pas plus opérationnel. Or, la demoiselle a une voix, et lui parle. Et cette voix, il pourrait la reconnaître entre mille. C’est celle de Maia, son amie d’enfance, la fille avec qui il a grandi, la fille qu’il connaît par cœur. Alors, ni une ni deux, il rassemble toutes les forces qu’il lui reste et lui adresse son plus beau sourire. « Hey ma belle. » accentue-t-il le sourire « Au top de ma forme, et toi ? Tu viens t’amuser ? » dit-il en riant, la tête balançant un peu à droite, à gauche et en arrière. Il écoute après sa question, fronce les sourcils, et se donne l’air le plus innocent possible, tout en gardant un aire de premier de la classe, un peu arrogant. « Que des bons produits issus de l’agriculture biologique ! » Ok, clairement, il se moque un peu d’elle. Mais ce n’est pas grave, c’est un peu sa manière de montrer qu’il est maître de son destin, de ses choix, sa petite confrontation avec Maia, ce petit rituel. Est-ce qu’il s’attend à se faire engueuler ? oui, fortement, mais il en rira, comme d’habitude jusqu'au moment où ça le blessera de la perdre, Maia.

@Maia Harrison bon courage avec Alan Arrow:14::coeur:
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
I think you're still a kid | ft. Alan Empty
MessageSujet: Re: I think you're still a kid | ft. Alan   I think you're still a kid | ft. Alan EmptyJeu 7 Sep 2023 - 9:43

I think you're still a kid | ft. Alan A1393bd40f60a52e2122345f496ebb69a4f48904


À la base, ça devait être une bonne soirée entre copines. S'amuser et ne penser à rien. Mais il y avait toujours quelque chose, ou plutôt quelqu'un en l'occurrence, pour venir gâcher le tableau. Et ce quelqu'un n'était autre qu'Alan. Je l'adorais et je crois que je pourrais faire n'importe quoi pour lui, ce qui avait le don d'agacer particulièrement mon copain. Mais comment pouvait-on lutter contre une amitié aussi forte ? Et je n'étais pas du genre à lâcher mes amis au moindre problème. Ma loyauté allait très certainement me perdre un jour ou l'autre. Assise sur le canapé, je le regardais. Ça me faisait mal de le voir dans cet état. Et je me demandais à quel moment ç'avait vrillé, à ce point, dans sa tête. Je ne le reconnaissais pas et je ne sais pas si un jour, je retrouverais mon ami d'enfance. Au vu de la tournure et de la direction qu'il prenait, je pense qu'on était plutôt en train de s'éloigner qu'autre chose. Et ça aussi, ça piquait. Bien évidemment, ce n'est pas le genre de choses dont je parlais, que ce soit à Alan ou à quelqu'un d'autre. J'étais bien trop fière pour parler de mes sentiments. Et ça lui ferait certainement trop plaisir de voir que, malgré ses frasques, je tenais encore à lui. J'écoutais sa réponse. Une fois de plus, il rigolait. Se rendait-il compte du mal qu'il me faisait ou ça lui passait au-dessus ? Je voulais juste l'aider, mais je crois qu'il n'avait pas vraiment envie de l'être. Peut-être qu'il se complaisait dans cette vie qu'il était en train de se créer. Enfin, si on pouvait appeler cela, une vie... Il faisait plutôt une crise d'adolescence en retard. Je soupirais légèrement lorsqu'il m'annonça qu'il allait bien.

« C'est flagrant que tu vas bien ! » Moi aussi, je pouvais lui envoyer des piques. Sauf que contrairement à lui, moi ça ne me faisait pas rire. Mais alors vraiment pas. Ça ne m'arrachait même pas un sourire en coin. Je repris : « Et je m'amusais jusqu'à ce que je te vois.» Le pire, c'est que c'était vrai. Je passais une bonne soirée, jusqu'à ce que mon amie me montre Alan, presque en PLS sur le canapé de la boîte de nuit. Une petite voie dans ma tête me disait de laisser tomber. Après tout, il avait 26 ans et il était censé être apte à prendre les meilleures décisions pour lui. Le pire dans tout ça ? Outre le fait de se moquer de moi, il ne faisait pas preuve d'honnêteté. « Je savais pas que les produits issus de l'agriculture biologique te faisaient des yeux comme des soucoupes. » Je marquais une brève pause. Il ne fallait pas qu'il me prenne pour une conne trop longtemps non plus. Je repris, sur un ton un peu plus agacé et je commençais à hausser le ton: « Tu sais, Alan, va peut-être falloir que tu grandisses un jour, tu crois pas ? C'est clairement pas en te droguant et en sortant tous les soirs que tu vas construire ton avenir. Je sais que t'en as rien à foutre, mais tu peux pas continuer comme ça, non plus !» Outre son avenir, il y avait surtout le fait qu'il puisse faire une overdose. Et je ne sais pas si je me verrai le perdre. En tous cas, pas à cause de ça. Mais c'est aussi quelque chose dont il se moquait parfaitement. Je me levais et le tira par le bras : « Aller, viens, je te ramène ! C'est hors de question que tu restes ici dans cet état ! » Le problème, c'est qu'Alan était plus lourd que moi et que je n'avais pas de force. Donc forcément, s'il n'y était pas du sien, il ne bougerait pas. Cette soirée allait être vraiment de pire en pire. Et je savais qu'au bout d'un certain temps, je n'aurais plus la même patience avec Alan. Un jour, à force de tirer sur la corde, elle finira par céder et je partirais certainement sans me retourner. Il se retrouvera tout seul et sans personne pour le sortir de ses galères. Peut-être qu'à ce moment-là, il se rendra compte de ce qu'il avait perdu. Ou pas.
<:blockquote>

@Alan Hopkins y va finir par se prendre une baffe un jour pfiou
Revenir en haut Aller en bas
En ligne
baby kangou
Alan Hopkins
Alan Hopkins
MESSAGE : 631
ICI DEPUIS : 24/07/2023
COMPTES : ella, willow, skye, murphy
CRÉDITS : aerolvn (avatar) Joey Paesano (gif)

STATUT : Célibataire, est-ce que je dois me poser ?

Feuille de personnage
∞ mes liens:
⇢ à propos de moi
:
I think you're still a kid | ft. Alan Empty
MessageSujet: Re: I think you're still a kid | ft. Alan   I think you're still a kid | ft. Alan EmptyMar 3 Oct 2023 - 22:26

tw : drogues



Sueurs froides, transpirations, sensation de chaleur, vertige et tremblements. Voilà ce à quoi Alan ressemble actuellement. En est-il fier ? Bien sûr que non. Mais c’est le jeu, il a joué et il a presque perdu. Pourtant, il n’arrêtera pas là. Oh non, loin de là cette idée. Les effets positifs sont tellement plus puissants que ces petits moments désagréables. Après tout, on n’est bien obligé de passer par cette case pour profiter d’une soirée, non ? Qui s’amuse réellement en restant fade, sans excès ? Clairement personne, d’après lui. Il aurait pu se calmer ce soir, c’est vrai. Mais le repos viendra une fois qu’il sera mort. C’est la philosophie du jeune Hopkins, et personne ne pourra la changer. En attendant, son regard reste figé sur un élément qui ne bouge pas de la boîte de nuit pour retrouver ses esprits. Cependant, malgré  son état actuel, il reste fier, et n’hésite pas à le montrer devant Maia. Il a rassemblé toutes les forces qu’il lui restait afin de lui adresser son plus beau sourire et ses meilleures répliques. Petite drague, petite arrogance. Alan est un vrai champion quand il s’agit de se moquer des gens. Un peu trop même. Un jour, ça lui tombera dessus, il se prendra une grosse claque quand il aura perdu ce qu’il avait de plus cher. Mais pour l’instant, tout lui passe par-dessus, et il en profite. Le ton de Maia monte. Et cela ne lui plaît pas. AH ça non. Il n’aime pas être critiquer. Il trouve donc une autre astuce, pour détourner le sens des phrases, jouer avec les mots, une petite spécialité du jeune Hopkins. D’abord, il acquiesce avec sa tête, oui, tout le monde peut voir qu’il va bien, elle n'a pas tort Maia, non ? Tout se passe le mieux pour le mieux. Puis, petit joueur qu’il est, il continue dans cette lancée avec un autre de ses plus beaux sourires. « Et oui, maintenant tu viens me charmer à ce que je vois. » Il sait qu’il joue avec le feu en ce moment, il sait qu’à tout moment, elle peut partir, Maia. Il sait qu’il va se brûler les ailes un jour. Pourtant, il continue, comme s’il ne réalise pas, comme si ce jour sera fictif. De toute façon, il n’est pas prêt d’arriver, si ? Alan écoute donc les paroles de son amie, et souffle. Il souffle, car cette moral, il l’a entendu une fois de sa mère, une fois de son jumeau, et voilà qu’à nouveau, tout ça, vient bourdonner dans ses oreilles. Il est triste aussi, triste d’entendre que c’est Maia qui tient un tel discours. Triste de tout ça, triste qu’ils ne se comprennent plus. Mais il ne le montrera pas. A la place, il continue de lui sourire, se penche sur son amie et dit en riant. « Et toi, il va falloir que tu viennes t’amuser ! » et ajoute un clin d’œil.  Puis, il sent son corps s’effondrer sur le canapé. Aïe. Il n’a plus son soutien. Elle est partie. Mince. Pourtant, il sent son bras se tirer. Et cela ne lui plaît pas aussi. Il veut rester ici, il veut continuer à profiter. Et ça sera encore mieux si elle restait aussi. Alan reste donc accroché au canapé, ne fait aucun effort pour la suivre. Il se redresse juste et lui montre la place vide à côté de lui. « Je ne bougerai que pour danser avec toi. » Aura-t-il la force de danser ? Est-il en état de le faire ? Il ne sait pas du tout pour l’instant, et ne se pose même pas ses questions. Tout ce qu’il tente de faire actuellement, c’est jouer à ce jeu interdit, ce jeu qui dépasse les limites, ce jeu qui détruit tout sur son passage, petit à petit.


@Maia Harrison vraiment vraiment désolée du retard I think you're still a kid | ft. Alan 4026759991, je te promets que là je retrouve petit à petit un rythme normal, et ça ira mieux à partir de maintenant ohhI think you're still a kid | ft. Alan 2826614466 j'aime trop ce rp en tout cas :coeur:
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
I think you're still a kid | ft. Alan Empty
MessageSujet: Re: I think you're still a kid | ft. Alan   I think you're still a kid | ft. Alan Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
I think you're still a kid | ft. Alan
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» what is youre problem ? + perry peach
» fucking nightmare ☽ alan
» Profil d'Alan
» Alan's phone
» Crazy Games (Team Alan Anas)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
∞ à l'ancienne  :: playground :: stories have been told-
Sauter vers: