Everyday life in the beach (Jim Matthews) HOT

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La température avait grimpé d'un cran et Jim avait clairement envie de s'amuser avec moi, pas de soucis mais, je n'allais certainement pas le laisser gagné. Il avait simuler un baiser langoureux avant de s'éloigner de moi et d'ainsi me laisser dans mon envie. Loin de me sentir outré, je m'approchais de la table et attrapé la bouteille d'eau, je laissais quelques gouttes d'eau ruisselé sur ma poitrine faisant mine d'être maladroite. Je pouvais sentir le regard de Jim sur moi et je savais qu'il en avait autant envie que moi. Alors qu'il ne bougeait pas d'un pouce, je renversais une fois encore la bouteille sur moi en plus grande quantité cette fois. Des gouttes d'eau tombèrent au sol et Jim se leva enfin pour s'avancer vers moi. Je plongeais mon regard dans le sien, la bouteille toujours entre mes doigts. Il se rapprocha encore avant de saisir une serviette en papier derrière moi et de venir essuyer le sol. Je baissais la tête alors qu'il était accroupit à mes pieds, j'aurais largement pu le faire tomber en arrière pour venir m'asseoir sur lui mais, cela aurait été la preuve de ma faiblesse. Je le laissais donc faire un sourire malicieux sur mes lèvres, je voulais que ce soit lui qui craque le premier, je voulais sentir son impatience contre mon corps. Après tout, j'avais fait le premier pas ce matin et il était hors de question de lui montrer une fois encore mon envie. Ma respiration se coupa légèrement alors qu'il remontait vers mon visage, je le regardais monté petit à petit et mon cœur commençait à battre la chamade. Il se pencha une nouvelle fois, pour déposer la serviette sur la table mais, celle-ci tomba au sol. Il me fit part de sa maladresse et me demanda de la ramasser, c'était un jeu dangereux qui allait surement finir brutalement dans mon lit. Je restais un moment à le fixer dans les yeux avant de finalement, me retourner et de plonger en avant pour ramasser la serviette. Mes longs cheveux descendirent en cascade libérant mon dos et dévoilant l'attache de mon soutien gorge. Je remontais doucement et déposa la serviette sur la table avant de me remettre droite et de passer mes mains dans mes cheveux pour les remettre à leur place. Je tournais légèrement la tête vers Jim toujours derrière moi et colla mon dos contre son torse. "Il va falloir faire plus attention à l'avenir..." Lançais-je alors que je glissais mes doigts autour de la main de Jim, j'avais l'impression qu'à chaque contact un petit arc électrique se formé. J'amenais sa main au contact de mon ventre et me mordis la lèvre avant de laisser un souffle s'échapper. J'avais cette sensation que ma peau était brûlante et mon cœur martelé ma poitrine. Je relevais mon bras et passa ma main derrière la nuque de Jim, je tournais un peu plus ma tête et attira ses lèvres sur les miennes dans un baiser d'abord contrôlé puis de plus en plus langoureux.

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Il adorait ce petit jeu. Il avait adoré son entrée dans la pièce. Elle était magnifiquement habillée. « Habillée » étant un bien grand mot. Il n'arrêtait pas de la dévorer du regard à chaque instant. Il frissonnait de désir mais contrôlait ses pulsions. Il l'avait admirée, contemplée, se mettre un peu d'eau sur elle. Il avait ensuite fait peu à peu monter la tension entre eux. L'air était chargé d’électricité. Il jouait d'elle. Il jouait avec elle. Son petit manège avec la serviette lui était venu immédiatement en tête. Il n'avait pas encore pu poser les yeux sur sa croupe. Il l'avait touché, l'avait caressée. Avait pu presser ses doigts sur le postérieur de la diablesse mais jamais il n'avait véritablement poser les yeux dessus. C'était là une occasion rêvée. Bailey le regarda d'un air de défi. Elle avait bien compris la démarche de son amant. Elle n'allait clairement pas se défiler. Et il en brûlait d'avance. Il la vit se retourner lentement. Se pencher lentement. Il se mordit la lèvre. Cette mère noël était … Ensorcelante. Elle l'hypnotisait. Le jeu avait pris une toute autre ampleur. Dès qu'elle eut le dos tourné, il eut un coup de chaud, un coup de sang, un battement de cœur lourd. Il avait retiré sa chemise en triple vitesse. Pour ne pas perdre une miette des courbes de la somptueuse jeune femme. Elle se releva et vint coller son dos nu contre le torse nu du jeune homme. Le contact peau contre peau l'électrisa. Il souffla chaudement contre son cou. Comment faisait-il pour résister et ne pas poser les mains sur elle ? Comment faisait-il pour ne pas l'attraper et se précipiter dans sa chambre ou sur son canapé ? Il allait faire attention oui. Attention à elle. Il veillerait à son plaisir. Leur main se touchèrent. Elle amena les doigts du jeune homme sur son ventre. Elle le poussait à bout. Elle trichait. Ce n'était pas dans les règles. C'était un coup bas. Le jeune homme résista. Pourtant son cœur cognait. Elle passa la main sur la nuque de son partenaire. Et elle l'embrassa. Un baiser qui fit monter la chaleur d'un cran. Il sentit la langue de la demoiselle glissait entre ses lèvres et venir jouer avec la sienne. L'homme sexy et trop canon posa les mains sur les hanches de sa « surprise ». Avant de venir sur l'arrière de ses cuisses, de remonter doucement sous la lingerie et vint presser les fesses de la femme de ses désirs. Il ne se contrôlait plus qu' à moitié. Car tout son être lui criait de ne plus perdre une minute et d'unir leur corps. Là. Maintenant. A la place il pressa son bassin contre celui de Bailey. Il fit deux pas pour venir la presser contre la table. Il la souleva et l'assit sur la fourniture. Il l’embrassait avec fougue. Il mordillait la lèvre inférieure de la jeune femme. Il revenait vers sa bouche. Sa main glissa sur le dos de la diablesse et il lui enleva son haut sans attendre une seule seconde. Il vint bécoter son cou. Vint caresser un sein. Tout allait encore beaucoup trop vite. Le jeune homme voulait se calmer. Mais non. Pris d'un accès de folie, il se décolla d'elle. Et recula. De trois pas. Il la dévora du regard. Se mordit la lèvre. Son cœur avait accéléré. Et il se rua sur elle. La tentation était trop forte. Il vint passer une main derrière sa tête et l'embrassa avec une telle passion. Un tel désir. Il écarta à moitié de l'autre bras les potentiels éléments perturbateurs situés sur la table. Qu'ils tombent ou pas il s'en foutait. Il l'allongea sur la table. Toujours en l'embrassant de manière enflammée, endiablée. Et il descendit ses baisers jusqu'à la poitrine de la sublime muse. Ses mains étaient maintenant venus agripper le haut de sa culotte. Elle n'avait pas tarder à se retrouver dans son plus simple appareil. C'est alors qu'il se dit que la position, la table, ça ne devait pas être très confortable. Il passa les bras en dessous du dos de sa sa tigresse et la souleva. Il allait se diriger vers la pièce d'où elle était apparue. Supposément sa chambre. Ce serait cent fois mieux. A moins qu'elle n'en décide autrement ? Et pour quoi faire dans ce cas ?

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J'avais simplement triché parce qu'en vérité je ne pouvais plus tenir. Je voulais sentir sa peau contre la mienne, la chaleur de nos corps s'entremêlé. Alors que je venais de ramasser la serviette en papier, j'avais collé mon dos contre son torse. J'avais rapidement compris, qu'il avait retiré sa chemise et je pouvais sentir ses pectoraux dans mon dos. J'avais discrètement glissé mes doigts sur sa main pour la lui faire poser sur mon ventre. Je mourrais d'envie de retrouver le plaisir de ce matin. Mes lèvres avaient glissé sur les siennes et le baiser se transforma rapidement en échange langoureux et plein de désir. Ma respiration était de plus en plus courte alors que les mains de Jim descendaient sous mes fesses, je sentis son bassin se resserrer contre moi et pu sentir tout le désir qu'il avait pour moi. Tout s'enchaîne et s'accélère et je fini rapidement assise sur la table, mon soutien gorge disparaît rapidement et la pièce s'emplit de soupir de désir. La température monte encore d'un cran et j'ai du mal à contrôler mes envies, puis mon amant s'éloigne. Je le regard me contempler alors que mes cheveux viennent tomber sur ma poitrine. Un éclair de tentation sembla traverser son regard et je me retrouvais rapidement allongé sur la table. C'était excitant et tellement surprenant, je le laissais posséder ma peau et retirer mon bas de lingerie. J'étais entièrement à lui à cet instant et j'étais prête à le suivre n'importe où. Il ne tarda pas à me redresser et me porter prenant la direction de ma chambre. Je continuais de l'embrasser et poussé la porte de la pièce. Aucun autre lieu dans l'appartement n'était réellement convenable pour ce qu'on s'apprêtait à faire. Je glissais mes mains sur ses épaules et laissais un murmure s'échapper entre deux baisers. "...Dans ma chambre...C'est parfait..." J'avais sentis son hésitation, il avait attendu de savoir si c'était réellement dans cette pièce que je voulais qu'on aille. Une fois, sur le lit, j'ouvris rapidement la boucle de sa ceinture avant d'ouvrir le bouton de son pantalon et de le faire glisser au sol. Je glissais mes lèvres dans son cou et lui mordilla avant de venir glisser ma langue. "J'ai envie de toi..." lançais-je simplement sans détour.

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L'idée de commencer leurs préliminaires sur cette table lui avait traversé l'esprit. Elle y était resté un petit temps car il avait allongé sa belle sur cette table. Il était venu joué avec sa poitrine. Leur corps étaient déjà en feu. Il sentit l'humidité sur son tronc. Elle avait joué avec lui en s'éclaboussant le buste. Elle n'était pas complètement sèche. Cela lui rappela leurs ébats de ce matin. Il avait essayé de se reculer. De résister. Mais il était trop tard. Elle l'avait fait craquer en l'embrassant. Il retourna l'embrasser presque sauvagement. Elle se retrouvera bien rapidement complètement nue. La dentelle rouge n'avait pas tenu bien longtemps. Il n'avait pas vraiment profiter de sa surprise. A moins que la surprise ne soit ce qu'il se passe en ce moment. Elle sur cette table. Lui en train d'abaisser ses baisers. De se reprendre. Parce que même si leur désir et leur envie leur feraient sans doute oublier l’inconfort de l'endroit, il se le remémora juste avant. Elle se retrouva rapidement dans ses bras. Elle était légère. Leurs baisers étaient un déferlement de sentiments. Elle lui souffla d'aller dans sa chambre. Sur son lit. Et il s'exécuta. Il l'allongea doucement. Il sentit les mains de Bailey glisser sur son corps et venir lui enlever son pantalon. Un pantalon qui tomba rapidement sur le sol et le jeune homme se retrouva en caleçon. Ils ne prenaient pas le temps. Pareillement à ce matin. Allait-il continuer dans ce sens ou allait-il freiner ses ardeurs. Leurs ardeurs. Elle lui glissa avoir envie de lui. Son sang se mit à bouillir. Elle était nue et il vint caresser son sexe d'une main. Moi … Aussi … Oui il avait envie d'elle. Incroyablement envie d'elle. Mais il ne voulait pas revivre exactement les mêmes choses que ce matin. Il voulait y ajouter un petit quelque chose. Il se plaça au dessus d'elle. Il attrapa ses mains. Entrelaça leurs doigts. Et il les plaqua sur le lit. Il la regarda droit dans les yeux. Son souffle était chaud. Son cœur tambourinait. Il avait délaissé son entre-jambe. Certainement à leur plus grand désarroi. C'était peut-être un peu maladroit quand il l'avait excitée. S'était excité. Pour arrêter très rapidement. Avant d'atteindre le point de non retour. Il colla son bassin contre celui de la délicieuse Bailey. Il approcha de sa bouche. Lui lécha les lèvres du bout de la langue avant de reculer sa tête. La pression montait toujours plus. Il recommença. Il ne craquait pas alors qu'il n'avait qu'une seule envie, l'embrasser des plus langoureusement. Il vint mordiller son cou. Et céda. Il glissa sa langue entre les douces lèvres de la muse. Il lâche ses mains. Il descendit ses baisers. Sur son cou. Le haut de sa poitrine. Son entre deux seins. Le haut de son ventre. Son nombril. Ses abdominaux. Il passa les bras sous les jambes de Bailey. Vint en poser une son bas-ventre. Et remonta la deuxième pour venir caresser un sein. Il n'attendit pas une seule seconde de plus et embrassa ses autres lèvres. Ils avaient toute la nuit devant eux. Il voulait qu'elle se laisse complètement aller. Pas comme sur cette plage. Il joua de sa langue avec le sexe de son amante. Il y prenait du plaisir et espéra lui en donner en retour. Il se mit à suçoter son bourgeon pour encore plus de sensations. Ce n'était que le début. Dans quelques minutes ils s'uniraient une fois de plus et elle pourrait faire tout ce qu'elle voudrait de lui. Absolument tout ce qui lui passerait par la tête.

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