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Bienvenue à Bowen, petite ville côtière du Nord-Est de l'Australie, abritant moins de 7 000 habitants. Si vous recherchez le calme, la bonne humeur et la joie de vivre, vous serez au paradis. Tous les habitants vous le diront, Bowen est l'endroit idéal pour se ressourcer. Et puis ne vous inquiétez pas pour l'intégration, ici tout le monde se connaît et les habitants adorent accueillir les nouveaux. › suite.

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 Une soirée spéciale.

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MessageSujet: Une soirée spéciale.   Une soirée spéciale. EmptyLun 25 Avr 2022 - 16:14

Je suis un jeune homme de trente-cinq ans, et jamais de ma vie, je n’ai jamais vécu d’histoire d’amour en trouple. Pourtant, c’est le cas en ce moment même. Certains pensent que c’est seulement pour le sexe, ce n’est pas du tout le cas, j’aime vraiment ses deux jeunes femmes. Je crois que je n’ai jamais été autant amoureux. Je sais que c’est bizarre de vivre avec deux personnes, au début, c’était compliqué à géré, j’étais même gêné de cette situation, mais ce genre de relation, c’est moi qui l’ai voulu. Il faut que j’accepte la chose jusqu’au bout. J’ai perdu des amies à cause de ma nouvelle façon de vivre, certain me regarde de haut, certain pense que je suis bizarre que j’ai une case en moi de vouloir vivre ainsi. Mais c’est ma vie, je me sens bien heureux. Les jeunes demoiselles sont complètements différente. En effet, il en a une qui a la joie de vivre folle dans ses moments elle a une énergie dingue. Une histoire compliqué aussi avec un passé de drogue et d’alcool, mais elle s’est soigné aujourd’hui elle est prête a passé un cap avec un homme. Puis il y a l’autre fille, sage, à qui on peut faire confiance les yeux fermés, sage, mais surtout vierge elle ne l’avait jamais fait avec un homme ou avec une femme. C’est quelque chose de nouveau pour elle. Elle est aussi plus jeune donc je prends soin de cette petite, c’est ma protégée. J’aime autant l’une que l’autre attention, mais elle la demoiselle est plus fragiles, l’autre est plus sauvage une dominatrice qui nous surprend de jour en jour avec ses drôles d’idées. Je ne suis pas tout le temps à la maison avec mon métier de professeur d’histoire, donc le soir quand je rentre, j’ai l’agréable surprise de retrouver mes deux petites chéries au lit. Parfois, je suis un peu
trop sadique, j’ai des idées tordues, mais elles acceptes toujours, j’ai carte blanche. J’abuse, mais elles savent que j’aime le sexe, j’en suis même accroc. C’est simple, je ne peux pas vivre sans. C’est pour cela que je suis content de ma relation de trouple. Car une relation normal aucune fille n’accepte tout ce que j’ai en tête pour que je sois épanouie sexuellement. Je cache mes deux petites perles aux yeux de tous, je n’ai pas honte d’elle, mais je ne veux pas que ça parle de moi dans l’université dans lequel je travaille, mais surtout, je ne veux pas que le bruit circule dans mes cours, on connaît les jeunes de nos jours, ils peuvent être cruels en ne me respectant pas.
Elles savent comment je suis, timide. Je ne suis pas très sociable, elles prennent aussi soin de moi. Je m’entend très bien avec toutes les deux, il n’y en a pas une avec qui je suis le plus à l’aise au niveau du sexe. J’ai très peu d’amis à qui je peux me confier, mais quand j’en parle, je me libère, ça me fait du bien. J’ai du mal avec les sentiments, à dire, je t’aime elles le savent très bien, alors elles sont attentionnés elles me disent tous les jours qu’elles sont amoureuse de moi. Elles adorent me faire des compliments surtout pour mon physique bien musclé. Je m’entretiens tous les jours pour elles, j’adore faire du sport, j’adore me sentir à l’aise avec mon corps. J’adore quand elles posent leur regard sur moi avec autant de désir comme-ci, c’était la première fois qu’on c'était rencontré.


Depuis un certain temps, j’ai envie de vivre de nouvelles sensations. Nous avons réfléchi tous les trois, et nous avons trouvé la bonne solution. Pourquoi pas se rendre dans un club d’échangisme ? Je n’y ai jamais mis les pieds une seule fois, mais il parait que c’est quelque chose à vivre au moins une fois. Il n'y a rien de pervers, c’est tout dans sa sensualité. Les filles m’ont vachement convaincu pour y aller. Je ne suis pas quelqu’un qui partage, je suis même jaloux. Mais tester la chose pour voir où je peux aller, je veux absolument tester mes limites. Elles aussi devront avoir le cœur accroché, car si j’ai une ouverture, je n’hésiterai pas à la tentation. Mais nous en sommes pas encore là. En effet, on m’a donné l’adresse d’un bon club, je veux d’abord y mettre les pieds le premier pour voir ce que sait l’ambiance est ce que je peux faire confiance pour mes deux petites chéries. Au premier soir, j’ai promis aux deux femmes que j’aime d’être sage, de ne rien faire de seulement observer de toute façon, elles peuvent me faire confiance. Elles savent à quel point je suis réservé, mais elles connaissent aussi mon penchant pour le sexe.
Je n’ai jamais trompé ce n’est pas ce soir que ça risque d’arrivé surtout sans leur accord, car si on dérape chacun de notre côté dans le club, c’est que nous ayons eu un accord ensemble. Mais surtout quand la personne couche avec une autre, il faut que les deux autres soient présents. C’est dans le contrat et quoi de mieux qu’un club d’échangisme pour le faire ? J’avais donc enregistré l’adresse dans ma voiture puis je quitte le domicile familial afin de m’y rendre. Au bout de quelques minutes de route, j’arrive enfin à destination. Il faisait noir très sombre. L’ambiance était assez spéciale, mais ça me plaisait rien que l’entrée du club. J’entre à l’intérieur, je dis bonsoir aux personnes qui étaient à l'entrer puis on m’avait demandé d’attendre le garant du club, car j’étais nouveau. J’étais intimidé, je ne savais pas où me mettre, mais j’étais tout de même curieux, donc j’observais absolument tout. J’avais hâte de découvrir ce club, j’avais hâte d’entrer à l’intérieur pour faire connaissance avec le lieu. À peine entrées déjà, des demoiselles me regardent en sortant des
pièces elles me lancent des regards coquin en me faisant signe de les rejoindre. Je ne fais pas attention à elle, j’attends sagement le gérant du club en m’essayant sur un fauteuil qui était à côté d’une pièce où j’entendais des bruits étranges… Qui me faisait froid dans le dos.
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MessageSujet: Re: Une soirée spéciale.   Une soirée spéciale. EmptyLun 25 Avr 2022 - 22:17

Putains de canalisations!

Les pieds dans la flaque, je m'étais battu avec un raccord vétuste, dans la chaufferie, et j'avais vaincu. Moite, tant à cause de la sueur que l'effort produisait, qu' en raison de l’atmosphère quasi tropicale du local exigu provoquée par la fuite de vapeur. Ça puait le fuel, un peu, et l'eau tiède chargée de poussières métalliques. Tout pour me mettre de bonne humeur. Mais , passé l'agacement premier, je m’étais consolé en songeant que j'avais au moins la chance de n'avoir pas été seul au club ce soir et d'être parvenu, au prix, somme toute modique, de quelques efforts physiques, à remettre en fonction le chauffage avant que le froid ne plombe totalement l'ambiance.

Je me hâtai d'aller passer quelques vêtements secs et présentables avant de regagner la salle. Le barman qui s'était occupé aussi de l'accueil en mon absence m'avait envoyé un texto pour m'avertir que j'avais un nouveau client à accueillir.
J'aimais bien la présentation des lieux et de leur fonctionnement moi même. Cela me permettait de m'assurer que nos clients étaient dans un état d'esprit compatible avec l'ambiance des lieux.
Contrairement aux idées hélas trop largement colportées, un club libertin n'est pas une zone de non droit, de non respect, dans laquelle, au nom d'une libéralité de mœurs favorable à l'incarnation des désirs sexuels, on peut tout s'autoriser. Je tenais à ce qu'entre mes murs, on s'amuse, on jouisse, avec autant de liberté créative que désirée, à la condition de le faire exclusivement entre partenaires consentants.
Cela impliquait donc d'être bien conscient des codes de bienséance tacites parmi les habitués de la maison. S'il était d'usage de traiter avec une bienveillance qui se voulait respectueuse et galante, les femmes dans ce genre de lieux, j'étais pour ma part assez réservé sur cette pratique, que je jugeais au fond assez proche d'un paternalisme pas si bien intentionné qu'il n'y paraissait.
Prétendant vouloir être agréable à celles que le machisme désigne comem appartenant au beau sexe, des tarifs préférentiels leur étaient quasi systématiquement accordés. Les commerçants compensant la substantiel réduction du prix d'entrée par uen taxation frôlant l'abus du tarif imposé au messieurs non accompagnés...d'au moins une dame. Je voyais en ces pratiques une forme de proxénétisme sournois, basé sur l'incitation faites aux femmes par la politique tarifaire à venir servir d’appât à la libido de messieurs ayant payé cher leur droit d'entrée et escomptant bien rentabiliser l'investissement. Sans compter la fâcheuse indécision dans laquelle cela mettait les tenanciers ayant chois cette politique commerciale vis à vis des personnes non binaires. Accueillies par l’embarras des gérants, il est certain qu’elles se sentent d'emblée bienvenues, acceptées dans leur volonté légitimes de ne pas se laisser imposer une classification par genre de laquelle elles ressentent le besoin de s'échapper.
Dans un soucis d'inclusion, je tentais également de pratiquer des prix modérés. La luxure, privilège traditionnel des classes aisée, devait selon ma propre éthique pouvoir se démocratiser.
Il est vrai que, par conséquent, les locaux étaient un tantinet vétustes, mais je me faisais un point d'honneur de les maintenir en était de propreté irréprochable, par respect pour mes clients, et par soucis de ne pas mettre leur santé en péril. On pratiquait tout de même en ces murs des activités qui exposent le corps aux attaques microbiennes!
j'encourageais, toujours dans la même optique prophylactique les rapports protégés et la désinfection avant et après les ébats des lieux choisis pour prendre et donner du plaisir.
Là encore, j'essayais d’insuffler, quitte à me montrer un tantinet plus dirigiste que ce que j'aimais me croire, à prendre garde d'être dans le vrai partage,d’où mon couplet de bienvenue traditionnel sur les notions de consentement libre, éclairé, enthousiaste et révocable. Je me trouvais parfois pompeux et moralisateur, lors de cet exposé, mais ces notions étaient trop importantes pour moi pour que je puisse m'abstenir d'intervenir.
Le jeune homme était au bar, jetant un regard curieux sur la salle, suivant les allées et venues des clients qui passaient, en tenue plus ou moins légère, voir totalement nus. Je remarquai qu'il prêtait une attention plus soutenue au passage des femmes
Un homme seul, manifestement hétéro...
J'avais beau vouloir me défendre de tout préjugés, l'expérience du monde libertin m'avait apprise que souvent, ce profile de client ignorait tout de la courtoise de mise entre échangistes. Je me préparais donc, tout en affichant un sourire engageant, à bien insister sur le respect du consentement auprès de ce joli bébé au corps sportif.
Arrivé à sa hauteur, j'approchai mon corps suffisamment prés du sien pour lui laisser le choix de tendre la joue en vue d'une bise d'accueil, tout en amorçant à peine le mouvement du bras qui lui tendrait ma main pour ne pas l'inciter à trop vite la saisir.
Déjà le barman, habitué à ma façon d'accueillir les nouveaux clients, s'avançait avec deux flûtes de vin pétillant Australien.
Tandis qu'il débarrassait le comptoir du verre vide de mon nouveau client, je lui tendit l'un des deux pleins pour l'inviter à trinquer

-Syrius, le gardien de ce temple du plaisir... C'est votre première fois ici je crois?
Je bus une gorgée en attendant sa réponse avant de lui proposer une visite des lieux, ce qui me donnerait au passage tout loisir d' évaluer ses attentes et de l'informer des bons usages.




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MessageSujet: Re: Une soirée spéciale.   Une soirée spéciale. EmptyVen 6 Mai 2022 - 20:33

Quand j’étais enfant, j’ai perdu mes parents tragiquement. J’ai donc était balader de famille d’accueil en famille d’accueil. À chaque fois, ça ne fonctionnait pas avec les familles. Il y avait toujours un souci avec moi. Il faut dire que je ne rendais pas les choses faciles. J’étais un enfant perturbé, je parlais absolument à personne. J’étais dans ma petite bulle. J’avais peur de tout, je ne me sentais pas en sécurité. Je n’étais pas prêt pour ce nouveau monde, car pour moi, c’était une nouvelle page qui se tournait. J’avais beau être petit, mais je comprenais très rapidement les choses, j’étais timide, quand il y avait des gens au tour de moi, je baissais la tête. Je ne donnais aucun amour aux familles qui voulaient s’occuper de moi, je voulais juste qu’on me laisse tranquille.
Me faire promener ne me plaisait pas trop, c’était pour moi un cauchemar, à chaque fois que des parents voulaient m’adopter, j’avais la boule au ventre. Normalement, un enfant aurait été heureux à ma place, mais moi, je pensais à mes parents que j’aimais du plus profond de mon cœur. De plus, la plupart qui voulaient me prendre en charge s’en foutaient royalement de ma personne. C’était souvent des gens riche, des gens qui voyageaient partout dans le monde pour leur travail ou
d’autres activités dont je ne voulais pas entendre parlaient. De plus, ils avais tous des animaux et moi, je déteste ça, surtout les gros chiens quand ils se jettent sur toi pour t’agresser en te léchant ou en te mordant. N’importe quelle enfant voudrais un chien, moi non. Pour moi, c’est simple un animal de compagnie, c’est une phobie, j’en ai horreur. Le seul animal de compagnie que je tolère, c’est le poison rouge au moins il ne m’embête pas, il est dans son bocal est demande rien à personne. Je sais, j’étais un enfant étrange perdu après la mort de ses parents. Je n’ai jamais voulu en finir,malgré que ce monde était une catastrophe en mon égard. Ce monde ne m’a jamais respecté pourtant, j’ai tenu bon. J’ai réussi à garder la tête sur les épaules, je ne suis pas tombé dans le côté obscur, même si la tentation était là chaque jour auprès de moi. Dans les familles riches, il y asouvent, des failles, ils ont souvent une double vie. Dans l’image, c’est la famille parfaite, mais dans l’intimité, c’est autre chose. Ce sont souvent les pères de familles qui partent en vrille avec leur métier qui leur prend beaucoup de temps, mais surtout pas mal de pression. Ils prennent tous de la drogue sans exception et ces gens-là ont leur donne la chance de devenir parents. Plus d’une fois, j’avais surpris mes pères adoptifs prendre de la drogue dans le bureau. Parce que oui malheureusement vous l’aurais compris, j’en ai eu des pères adoptifs, j’ai du mal avec cette phrase-là, car pour moi, ils n'étaient rien, mais dans la loi dans les règles de l’art, ils étaient mes pères adoptifs.


La drogue est une forme de violence, mais ce n’était pas tout. J’ai été violenté. Aucune personne ne mérite cela, c’était horrible. J’ai du mal a fermé les yeux, quand je le fais, je vois le visage de cet homme. Il était grand. Très musclé. Il était charismatique, il plaisait beaucoup aux
femmes, c’était le roi des connards. En plus d’être violant, cet homme était infidèle et à chaque fois, j’étais témoins de ses adultères. Si j’ouvrais une seule fois la bouche, j’en prenais une. Je n’avais pas le droit à la parole, sa femme se demandait ce qu’il se passait entre nous, pourquoi il
y avais autant de tension, alors que je n’étais qu’un simple enfant. J’étais en pleure à chaque fois que je croisais son regard, j’en avais des frissons partout dans le corps. Il se faisait passer pour l’homme idéal en donnant de l’argent à des associations. Aux yeux du monde, il était l’homme
parfait. C’était un homme d’affaires, il faisait souvent la une des magazines, il me disait tout le temps, tu seras jamais à ma place, tu es trop faible. De mon côté, je ne voulais absolument pas lui ressembler. Il était pour moi un monstre pire que le diable.

Je recevais un coup des coups de ceintures, à chaque fois qu’après, il avait couché avec. Ses partenaires, c’était une autre manière pour lui de se défouler. Je me disais qu’au moins il s’en prenait pas à ses femmes. Je sais que ce n’est pas une réaction normale, qu’en quelque sorte je le
protégeais, c’était une ordure. Si je me dis que j’aime autant le sexe, c’est un peu de sa faute que je ne peux pas avoir de relation normale avec des femmes. Je me sens honteusement comme lui, quand je fais des pratiques malsaines avec les deux femmes avec qui je veux, mais bordel ça me fait un bien fou, je me défoule comme lui, c’était défoulais à l’époque… Mes idées viennent de lui il m'a tout simplement sexuellement diabolisé…
Bonsoir ravis de faire votre connaissance. Dis-je en souriant. Merci beaucoup pour le verre. Dis-je en souriant à nouveau. C’est ça, mais je me sent beaucoup plus à l’aise en votre présence. Dis-je en étant sincère. Je bois également une gorgée puis ce dernier m’invite à visiter cet endroit je le regarde avant de lui dire. Comme je vous l’ai dit, c’est une première alors je ne sais pas ce qu’il pourrait me faire plaisir… Dis-je avant de poursuivre. Peut-être deux demoiselles qui dansent pour moi d’une façon sensuelle, mais aussi sauvage ?
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MessageSujet: Re: Une soirée spéciale.   Une soirée spéciale. EmptyDim 8 Mai 2022 - 2:11

J'avais remarqué qu'il avait gardé ses vêtements de ville veste comprise, malgré la chaleur des lieux. Surement n'avait il pas songé encore à passer au vestiaire pour y déposer son excédent de textile éventuel. De toute façon je commençais toujours les visites par cette pièce, sorte d'antichambre naturelle, surtout avec les nouveaux, non seulement dans mon club, mais manifestement dans le milieu plus globalement, sinon comment expliquer qu'il n'ait pas eu le réflexe de se mettre plus à son aise?
Nos verres vidé, je l'avais invité à m'accompagner. Dans l' étroite coursive reliant le vestiaire à la grande salle dédiée plus spécialement au bar et à la piste de dance, nous croisâmes deux couples qui sortaient, encore un peu humide sous les peignoirs fournis par l'établissement, de la salle des douches. Trois habitués, qui me gratifièrent d'un sourire complice, et une femme un peu plus âgée qu'eux, que les autres, que j'avais déjà croisée, qui esquiva tout contact visuel, manifestement pressée de poursuivre ses activités ludiques.
je pris tout de même le temps d'échanger une caresse de connivence avec Peter, et de m'assurer qu'il passait une agréable soirée. Il confirma que c'était, comme toujours ici le cas.
J'étais content que le hasard les ai mis sur notre chemin. Mieux que des mots, ce bref échange donnait une indication des plus parlante sur l'ambiance du club

Comme vous le voyez, Byron, si vous permettez qu'on s'apelel par nos prénoms, c'est en quelque sorte familial, ici...

Nous arrivions à destination, et lorsque je lui proposait de se défaire de sa veste pour la laisser dans le casier dont le numéro correspondait à sa clef, en m'apercevant de son étonnement, je compris qu'il n'avait même pas eu le sésame pourtant automatiquement attribué lors de l'arrivée à tous les clients. Non seulement, pour qu'ils puissent à leur aise laisser en consigne le superflus, ce qui pour la plus part était primordial car ils se changeaient pour la soirée, profitant de l'occasion pour porter des tenues qu'il eut été plus qu'indécent d'exhiber à la ville, mais surtout que le numéro correspondant nous permette de noter les consommations afin qu'ils règlent en partant, sans s'encombrer d'un portefeuille durant toute la soirée. Ceux qui n'avaient pas de poches dans leur tenue de libertin favorite appréciaient tout particulièrement cette solution pratique et confortable, courante dans les établissements similaires au mien.
Maudissant en silence mon employé pour sa négligence, je mis la main dans la poche ou la clef du placard dans lequel elles étaient stockées , à l'accueil, tout en lui demandant de bien vouloir m'excuser de ne pas déjà lui en avoir fourni une. Mes doigts rencontrèrent la tige de métal familière, et cette fois, ce fut contre moi que se reporta mon agacement. Le barman ne risquait pas de pouvoir ouvrir le coffret contenant les clefs de casier, compte tenu que j'étais parti avec la clef du dit coffret en poche, dans ma précipitation à réparer la panne.

D'ordinaire, nous sommes mieux Organisés, Byron...Donc voici votre clef. Vous avez le caser 12, là juste à votre gauche. Vous pouvez, si vous commandez des boissons en extra, donner le numéro au bar pour régler simplement le tout en partant

Tandis qu'il se mettait à l'aise, me confirmant être novice, il me fit part de son envie d'assister à uen dance...sauvage, offerte en son honneur par deux femmes.

A mon tour, je fus surpris, me demandant s'il ne confondait pas club libertin et lupanar, espérant pouvoir ici trouver des prestations, peut être tarifiées, uniquement dédiées à répondre à ses fantasmes.

Byron...dites moi, c'est votre première fois en club, mais aussi vos premiers pas dans le monde du libertinage?

J'osais l'espérer en tout cas, parce que sinon nos conceptions de la chose risquaient fort d'être incompatibles. Ici nous étions tous, clients comem salariés, là pour partager ensemble des plaisirs basés sur une séduction réciproque, un enthousiasme mutuel, et aucun travailleur du sexe ne venait fournir des prestations.

Vous savez, je vais vous présenter les lieux, mais ensuite, à vous de faire connaissance avec les clients qui semblent vous plaire. On est une grande famille, je le redis, et tous nous sommes sensibles à respect attentifs des envies de besoins de l'autre. C'est un peu ce qui nous réunit ici...Une famille toujours heureuse d'accueillir de nouveaux membres...
Ce soir, en tout cas, il y a aussi des femmes qui aiment danser...mais vous allez les croiser tantôt.


Je l'accompagnai ensuite jusqu'à la salle d'eau, lui expliquant le système pour les serviettes et les peignoirs, lui montrant les piles de linge propre et le bac recevant les usagés. j'en profitai pour vérifier discrètement l'état de propreté, D'ordinaire les clients avaient le savoir vivre de respecter les lieux autant que si c'était leurs propres sanitaires, mais on était jamais à l'abri d'une mauvaise surprise.

Ici,comme dans chaque pièce, il y a des capotes, du lub' et des lingettes désinfectante en libre service. L' hygiène c'est important...si il en manque dites le au bar.
Ha les lingettes, c'est pour le matériel, pas pour le corps... Ou alors je ne garantis rien question rection cutanées...si vous êtes téméraire...
Un petit passage avant après, c'est de l'équipement collectif, donc...ca va de soi pas vrai?


Un petit sourire rassurant, histoire de détendre mon visiteur visiblement en train de découvrir un univers totalement nouveau

Ca va? Prêt pour aller explorer les coins coquins?
[/b]



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MessageSujet: Re: Une soirée spéciale.   Une soirée spéciale. EmptyLun 23 Mai 2022 - 4:24

Quand j’avais fait l’amour pour la première fois, j’avais environ seize-ans. J’étais tout timide, j’étais tout stressé, je me suis fait beaucoup de films sur ça. Pour moi, c’était un événement, je n’étais pas pressé de perdre ma virginité, mais c’était une nouvelle étape dans ma vie pour que jedeviennent un homme. Je n’avais personne pour me conseiller, j’étais seul face à moi-même. C’était une situation délicate, je voulais absolument me confier, mais j’étais tout seul. À l’époque, je n’avais pas Internet pour m’informer. Heureusement, d’ailleurs, j’aurais pu tomber sur des films pour adultes et ça aurait était n’importe quoi. J’avais les mains moites sa cogité beaucoup. Je ne voulais pas décevoir. Ce n’est pas que je voulais être le meilleur, mais je voulais satisfaire ma partenaire. Elle était plus expérimentée que moi, donc forcément la jeune femme avais del’expérience. Je lui avais posé des questions indiscrètes sur le sexe sur ses anciens partenaires. Ils étaient plus vieux qu’elle, à chaque fois elle avais pris son pied. Je n’aurais jamais dû poser se genre de question, j’avais encore plus la pression, mais surtout ça ne se faisait pas vis à vis de mon ex copine, mais j’avais besoin de savoir. Elle aimait beaucoup le sexe, pour elle s’il n’y avait pas de sexe dans une relation, c’était sûr que ça n’allé pas fonctionner, elle m’avait dit cela dès le départ de notre relation de couple. J’avais peur de me planter d’être ridicule. Elle m’avait même proposé de regarder un film pour adulte avec elle, mais j’avais refusé comme un idiot ou pas…

Même si elle avait un côté sauvage, j’avais tout prévu pour que ce soit romantique. Elle était sensuelle, mais elle aimait aussi qu’on prenne soin d’elle. Elle ne voulait pas de préliminaire elle voulais directement passer à l’action. Comme si elle voulait passer à autre chose, alors que c’était ma toute première fois avec une femme. C’était compliqué, j’avais des émotions à gérer. Elle voulait le faire dans le noir, pour elle, c’était plus sexy, j’avais tout de même mis des bougies pourrajouté un peu de glamour, j’y tenais.

La jeune femme était plus âgée que moi. En effet, elle avait trente ans. J’en venais d’avoir seize. Je sais ce n’était pas très légal, mais c’était une relation intime privée. Personne n'était au courant de cette affaire. Je sais qu’elle me voulait seulement pour le sexe, parce que j’étais jeune, j’étais conscient de ça, mais j’avais des sentiments pour elle. Malgré ses airs de femme fatale, elle était parfaite pour moi. Je me voyais dans l’avenir avec elle.  
Cette nuit, c’était bien passé finalement. Beaucoup de bruit pour rien. Cette première fois, n’était pas ratée, mais ce n’était pas dingue non plus. Je pense qu’elle avait pris son pied tout de même, car notre relation avait continué, de mon côté le faire avec une femme plus âge était quelque chose de grandiose, mais j’étais déçu plus qu’elle en coup cas. Notre relation sexuelle avait duré six minutes j’étais sauvage rapide vif, je ne la regardais pas dans les yeux, j’étais contré dans mes mouvements puis quand le moment était arrivé, je n'étais soulagé pas heureux, mais soulagé que j’avais enfin vécu cette première fois. Finalement, on s’était séparé un an après d’un accord en commun, on voulait absolument sauver notre relation, mais au fil des mois, nous avons compris que nous ayons plus rien en commun. Je n'étais jeune pas les mêmes ambitions que la jeune femme a l’époque.

C’est une ambiance qui me plaît beaucoup. Dis-je en souriant.

Ce n’est pas grave, je n'en prends pas rigueur, dis-je en le rassurant. Merci beaucoup pour la clef. Dis-je avant de poursuivre, j’aime beaucoup cette attention. Pour l’instant, je vais me tenir à un verre.
Dis-je en souriant à nouveau. C’est tout à fait ça, donc je n'ose pas vraiment demander ce que je veux réellement une danse de deux femmes, c’est sympa, mais j’ai envie de plus dans le fond.

Dis-je en oubliant complètement que j’avais deux copines… J’ai beaucoup de respect pour vous, pour votre travail fourni ici, je veux être un client fidèle. D’accord, je serais respectueux envers votre clientèle, c’est une promesse que je vous fais. C’est parfait, je comprends la propreté avant
tout
. Dis-je en observant tous les détailles de chaque pièce qui venait de me faire visiter. En effet, dis-je en riant avec lui. Je n’attends que ça. C’était le grand moment que j’attendais, les choses sérieuses allaient enfin commencer. J’ai hâte de connaître les deux filles qui allaient danser pour moi, mais surtout les deux filles avec qui je vais faire l’amour. Au début, je ne voulais pas, mais l’excitation monte vraiment d’un cran. C’est aussi grâce à la présence du jeune homme..
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