Wild hearts can't be broken - Sara

Sara Liao

feat. kristin kreuk

me, myself & i

› NOM : Liao
› PRÉNOM : Sara
› ÂGE : trente quatre hivers (février1989)
› NATIONALITÉ : australienne
› ORIGINES : australienne et chinoise
› JOB/ETUDE : professeur en maternelle
› STATUT : célibataire / divorcée
› GENRE : femme
› SEXUALITÉ : hétéro
› TES FINANCES : moyennes
› GROUPE : summer
› CREDITS : av @loudsilence icons @vocivus

what about me

elle aime se lever tôt mais s'endort toujours le soir devant les films ‹ elle déteste chanter en public ‹ elle a quasiment toujours porté le nom de sa mère, Marshall, c'est comme ça que la plupart des gens l'appelle ici, encore aujourd'hui ‹ elle a fait beaucoup de danse quand elle était petite et jusqu'à son accident, elle adorait la danse classique mais a essayé plusieurs autres styles, ça lui manque beaucoup ‹ elle déteste le café et ne boit que du thé ‹ elle cuisine très mal ‹ elle pourrait passer des heures dans une bibliothèque ‹ elle a visité plusieurs pays d'Asie et d'Europe au cours des six dernières années, bien qu'elle ait très peur de l'avion depuis le crash, elle a su surpasser ses craintes parce que l'envie de découvrir était plus forte ‹ elle sourit tout le temps, c'est sa façon à elle d'affronter la vie même quand celle-ci ne lui sourit pas ‹ elle a longtemps cru que sa vocation était d'enseigner aux enfants, seulement avec le temps elle a compris qu'elle voulait surtout aider les autres, jeunes comme moins jeunes et pas seulement par l'éducation, alors en revenant à Bowen elle ne reprend qu'un poste à mi-temps en maternelle et elle consacre le reste de son temps à des associations dans le social ‹

1. Maman

Je suis née à Bowen un jour de février, ma mère avait parié le 14, mais je suis arrivée le 12. En même temps c’aurait été de mauvis goût, vu qu’elle n’avait pas d’amoureux. Dans tous les cas je suis devenue sa valentine, même avec deux jours d’avance sur ses pronostics. Ce n’est pas que je n’avais pas de père, simplement qu’il vivait à des milliers de kilomètres, à Pékin. Mes parents se sont aimés le temps d’une année, à quelques mois près et puis quand il a été temps pour lui de retourner dans son pays, il est parti. Il lui avait proposé de le suivre là-bas, mais ma mère était attachée à son Australie, à sa famille, à sa vie ici, lui aussi il avait sa vie qui l’attendait de l’autre côté des mers de Chine. Seulement ni l’un ni l’autre ne s’attendait à ce qu’ils gardent un souvenir impérissable de cette idylle. Quand ma mère a appris sa grossesse, à presque trois mois avancés, elle m’a tout de suite aimé et elle ne l’a pas caché à son ancien petit ami, seulement il a été clair, il était voué à une grande carrière dans les affaires, il ne voulait pas s’embarrasser d’un enfant. Dès lors, dans notre vie, c’était un peu maman et moi contre le reste du monde, on était fusionnelles et mon enfance était faite d’éclats de rire et de petits bonheurs simples. Elle a sacrifié un brillant avenir en tant que médecin pour devenir professeur de mathématiques dans un collège mais nous avons été heureuses. Un jour elle a rencontré un homme, j’avais cinq ans, il était gentil et doux avec moi, quelques mois plus tard ils se sont mariés et au bout d’un an de relation est née ma petite sœur. Si je n’ai jamais considéré le mari de ma mère comme mon père, j’ai tout de suite adoré ma sœur. Ensemble, tous les quatre on formait une sorte de famille. J’ai toujours su où vivait mon père et qui il était, seulement je n’ai cherché à entrer en contact avec lui qu’à l’âge de neuf ans, je lui ai écrit un premier courrier, sans grande conviction et, à ma grande surprise, il y a répondu. Par la suite nous nous sommes beaucoup écrit, de longues lettres, même lorsque les mails ont rendu ce genre de correspondance désuète, c’était notre rituel. Pour mes douze ans il m’a offert un billet d’avion pour venir le rejoindre et rencontrer ma famille là-bas. A tort, peut-être, j’ai toujours cru que mon arrivée avait privé ma mère de sa jeunesse, de la vie qu’elle aurait vraiment voulu avoir. Un peu malgré moi je suis devenue cette personne discrète, effacée, pour ne pas prendre trop de place. J’ai toujours tout fait pour qu’elle soit fière de moi, pour qu’elle ne regrette pas ce choix qu’elle avait fait de me garder. Toujours studieuse, petite fille modèle, bonne à l’école sans être forcément la meilleure de la classe. Voulant suivre l’exemple maternel j’ai toujours dit que je voulais être maîtresse d’école, j’adorais les enfants, c’est devenu comme une vocation. Et il me semblait que maman en était très heureuse.

Jamie

J’étais une jeune étudiante de vint ans quand j’ai rencontré ce garçon, il était beau, le genre que toutes les filles regardent et moi je me croyais invisible alors que, comme les autres, je n’avais d’yeux que pour lui. Pourtant c’est moi qu’il a vu. Moi qui ai toujours été discrète et peu assurée, cette relation m’a fait pousser des ailes, il était populaire et de ce fait je le suis devenue aussi, un peu malgré moi. Les années d’études furent festives et studieuses en même temps. Jamie m'a fait sortir de ma zone de confort mais moi je l’ai assagi également. On vivait ce genre d’histoire que tout le monde pensait éphémère, pourtant les années se sont enchainées et on a tenu bon, jusqu’à ce qu’il me demande en mariage alors que je venais d’obtenir mon diplôme de professeur des écoles. On s’est marié quelques mois plus tard, une cérémonie simple sans trop de monde, pour la grande discrète que j’étais. Mon père était là pour m’accompagner jusqu’à l’autel, cette attention m’a beaucoup touché. Le lendemain notre avion décollait pour nous amener en lune de miel sur une île paradisiaque. C’est là que ma vie a tourné au cauchemar. Alors qu’il devait faire escale en Indonésie une panne est survenue quand l’appareil entamait sa descente, un véritable film d’horreur, j’ai cru perdre ma vie durant les longues minutes avant qu’il ne s’écrase en pleine jungle. Beaucoup de personnes ont péri dans ce crash, mais quelques-unes ont survécu, dont Jamie, dont moi. Seulement moi j’ai été portée disparue durant de longs mois, après une longue période de comas et une hospitalisation sans fin, un système administratif plus que défectueux à bien des niveaux, j’ai longtemps été l’inconnue de ce petit hôpital de fortune. Jusqu’à ce qu’un jour je sois capable de parler, de me rappeler, de donner mon nom et qu’on me rapatrie à Bowen. Après un an. Là-bas on m’avait construit une sépulture, j’étais officiellement morte, un cauchemar je vous dis ! On a cru à un fantôme les premières semaines, à un miracle pour beaucoup. Enfin pas tellement pour mon jeune mari qui avait refait sa vie, rencontré une autre femme, comment lui en vouloir ? J’ai porté son nom durant des mois, jusqu’à ce que le divorce soit officiellement prononcé. Ce jour-là j’ai pris le nom de mon père, alors que j’avais toujours porté celui de ma mère, j’avais besoin de devenir vraiment moi-même.

Woody

D’aussi loin que je me rappelle, Woody a toujours été mon meilleur ami, on traînait ensemble sur les bancs de la maternelle, on s’est toujours suivi et toujours adoré. Sûrement que notre différence nous a rapproché, lui le garçon très sociable, extraverti, sportif et charmeur et moi la fille timide et un peu trop romantique. A l’adolescence on est brièvement sorti ensemble on en a beaucoup ri par la suite, parce qu’en soi on n’avait rien à faire tous les deux. Pourtant moi j’avais le cœur qui battait à chaque fois que je le voyais, seulement lui il aimait les filles, il n’était pas fait pour s’arrêter à une seule. Il était là à mon mariage, ce jour-là je n’avais d’yeux que pour mon mari, je n’ai pas vu son regard à lui, le grand séducteur, qui cependant brillait plus que d’habitude quand il me fixait. A mon retour d’Indonésie j’ai mis du temps à revenir vers lui, mais un jour on s’est retrouvé, comme une évidence, c’était plein d’émotions et d’une tendresse nouvelle. Tendresse qui s’est rapidement transformée en passion. Ce feu m’a révélée, relevée, mais il m’a aussi consumée petit à petit. Woody je l’aimais, j’ai rapidement compris qu’il était et qu’il restera toujours mon grand amour. Seulement il n’avait pas changé, s’il m’aimait également, il a été incapable de ne s’en tenir qu’à moi, je n'étais pas suffisante. Et au terme de deux années d’une relation tumultueuse, j’ai décidé de quitter Bowen à nouveau. J’avais envie de connaître mon père, sa culture dont je savais si peu de choses. C’était une parfaite excuse pour fuir Bowen et guérir du bel australien.

Moi

J’ai vécu à Pékin durant six ans, je me suis choisie moi et c’était la meilleure chose à faire. J’ai appris le mandarin, la méditation et noué un lien très fort avec mon père. J’ai découvert ce pays extraordinaire et sa culture si riche. J’ai trouvé un poste de professeur d’anglais à l’université qui me plaisait énormément. Et un jour j’ai rencontré un homme, Ian, professeur d’anglais également, fraîchement débarqué d’Irlande. Il est très vite tombé amoureux de moi et moi je me suis laissée porter par cette relation simple qui me faisait du bien. On n’a jamais parlé de vivre ensemble, encore moins de mariage ou d’enfant, j’étais libre de partir durant une semaine en randonnée à l’autre bout du pays, ou de le suivre quand il rentrait voir sa famille. Cette période m’a fait énormément de bien, j’ai appris que je pouvais parfaitement me débrouiller par moi-même, sans ma mère, sans un homme dont j’étais follement éprise pour me porter. J'ai compris que j'étais suffisante.

Alice

Alice, ma fille, mon miracle. Tu es arrivée sans faire de bruit, mais tu as fait pourtant tellement de fracas. Tu n’étais pas attendue, c’était comme l’histoire de ma mère qui se répétait avec moi. J’ai longtemps eu peur de te garder, simplement parce que je n’étais pas certaine de qui était ton père. Pourtant au fond de moi je l’ai toujours su et il était évidemment hors de question que tu ne vois pas le jour. J’ai commencé par me séparer de Ian, qui a parfaitement compris mes raisons. Nous sommes restés en très bon terme, dans une autre vie cet homme merveilleux aurait mérité que je l’aime réellement, seulement la vie est réellement mal faite. Il m’a soutenu tout le long de ma grossesse et aujourd’hui, du haut de tes trois ans, tu l’appelles affectueusement Tonton Ian. Ma toute petite, ton grand-père vient de mourir, il y a deux mois, le temps de régler toutes ses affaires, j’ai rapidement ressenti un grand vide sans lui, seule dans ce pays immense. Je sais que tu parles souvent de tes grands-parents que tu vois si peu, ici à Bowen et pour être honnête ils me manquent aussi beaucoup. Je sais qu’un jour tu poseras des questions sur ton papa. Il et donc grand temps de rentrer à la maison.

and behind the computer...

› PSEUDO no need › PRENOM Aura › AGE : Wild hearts can't be broken - Sara 669880921

(le même que Sara en fait look

) › COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM? Il parait que je suis le dino officiel de Retro :32:

› COMMENT LE TROUVES-TU? y a pire :01:

› PRÉSENCE : I'm always watching you :42:

› SCÉNARIO/INVENTE : inventé il y a fort fort longtemp › DOUBLE-COMPTE : Léo, Marcus et Charlize › AUTRE CHOSE? Le retour de ma Sara :11:

je suis un peu émotionnelle quand il s'agit d'elle ohh

Code:: <b>KRISTIN KREUK</b> - @"sara liao"

Bienvenue ici

Bonne chance pour ta fiche et j’espère que tu te plaira ici avec nous :coeur:

Bienvenue ! Bon courage pour l'écriture de ta fiche ! :11:

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We are not victims,
we have a different way of living.

j'ai l'impression que c'est un rebienvenue? I love you

(les rps avec woody :11:

)

dans tous les cas, j'adore kristin qui est si peu vue :coeur:

bon courage pour ta fiche ohh

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i don't wanna go, think I'll make it worse, everything I know brings me back to us. I don't wanna go, we've been here before, everywhere I go leads me back to you

Pardon pardon je n'ai pas voulu faire tant de mystère :06:

j'ai juste balancé ma fiche et suis retourné sur Word pour l'histoire après

Mais bien vu @Alexis Silveira aha

Je connais plutôt bien la maison oui :notally:

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When life gives you lemons, make lemonade

Le retour de Sara ohh

Amuse-toi bien avec elle, Aura :hug:

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Only know you've been high when you're feeling low,only hate the road when you’re missin' home, only know you love her when you let her go... And you let her go

Invité

Re bienvenue à la maison :coeur:

Nous faudra un lien avec Avery je suppose aha

oh ce personnage ohh

bon retour chez toi :coeur:

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crawl into your

soul

j'me disais bien que c'était le retour de Sara aha

rebienvenue dans ta maison mon p'tit chat :coeur:

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she lights up the roomwith her smile

️ EXORDIUM.

Merci mes ptits chatons sauvages love u

@Ally Winters il est probable que toute la famille Rutkowski la connaisse plutôt bien, oui aha

@Haley Lockwood tu avais un doute ?! :notally:

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When life gives you lemons, make lemonade

Invité

Le retour de la belle Sara :11:

Woody aura-t-il droit a son happy ending finalement ? :01:

Très hâte de suivre tout ça de près en tout cas :coeur:

@Mathilda Vernon Ne soyons pas trop optimiste pour lui quand même aha

mais sa vie était trop calme actuellement !
Merci :coeur:

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When life gives you lemons, make lemonade

Oh, mais j'adore tellement ce que j'ai lu
ta Sara est adorable, et elle est si belle
re-bienvenue chez toi

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☽☽ Si c'était si facile, tout le monde le ferait, qui tu serais pour réussir où tous les autres ont échoué? Oublie tes rêves prétentieux, redescend sur terre ou tu n'en reviendras jamais