Everyday life in the beach (Jim Matthews) HOT

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Les soupirs et les gémissements se firent de plus en plus intenses. Les mains baladeuses de Jim, comme de Bailey, trahissaient les envies de plus. Toujours plus. Les baisers ininterrompus également. Les deux jeunes gens se sentaient incroyablement bien. L'excitation et l'envie était palpable. Le jeune homme n'en finissait plus de goûter les lèvres de la demoiselle. Il sentit les doigts de Bailey venir lui caresser le torse et descendre jusqu'à sa pantalon trois quart. La belle n'hésita pas une seule seconde et déboutonna le bas de son partenaire. Son partenaire qui délaissa un sein pour venir palper, caresser, chaque parcelle du corps de la jeune femme. Son pantalon resta en place alors il vint lui même l'abaisser et celui-ci tomba lentement jusqu'à ses chevilles. Il se retrouvait à présent en caleçon mais ne l'ôta pas de suite. Bailey l'embrassa comme jamais. Jouant de ses lèvres. Le cœur de Jim se mit à battre de plus belle. Elle le désirait. Et il la désirait. Il ne se posa aucune question. Concernant leur relation actuelle. Leur avenir. Ils auront le temps de parler de ça plus tard. Visiblement ils étaient sur la même longueur d'onde. Si bien que lorsqu'il glissa ses mains sur les flancs de la jolie demoiselle pour lui enlever son short, ce fut elle qui prit les devants. Elle qui fit glisser son vêtement le long de ses jambes. Elle qui revint se coller tout contre lui. Ils ne leur restaient plus que leur sous-vêtement. Probablement pas pour longtemps. L'homme n'attendit pas une seconde de plus. Il plaça ses mains sur la taille de la belle et les glissa sous le maillot pour venir pétrir ses fesses. Ses lèvres se perdaient sur celles de sa partenaire. Plus rien ne comptait hormis elle et lui. Il l'amena un peu plus contre elle. Colla leur bassin et mima pendant quelques secondes un mouvement de va et vient. Il remonta alors une main pour venir la poser sur la joue de Bailey. Il la cala sur sa mâchoire et sa langue redoubla d'activité. Ils n'avaient grillé aucune étape. Ils avaient été un peu vite. Certes. Mais chacun faisait toujours le geste pour les rapprocher toujours plus de leur union. Sans forcément trop accélérer les choses. Le jeune homme continua dans ce sens. Son autre main vint se poser sur le ventre de la sauveteuse. Il la pivota pour placer ses doigts vers le bas et vint les glisser sous le maillot. Il souffla alors chaudement sur les lèvres de Bailey au moment où il caressa l'intimité de la demoiselle. Il aurait voulu de meilleures préliminaires. Mais l'endroit n’était pas de plus approprié. Doucement d'abord, il la masturba. Avant d'accélérer lentement le rythme. Sa bouche se perdit dans le cou de sa partenaire. Revint sur ses lèvres. Repartit de l'autre côté du cou. Il vint mordiller tendrement l'oreille et inséra un doigt dans l'antre d'amour de Bailey. L'excitation montait toujours un peu plus. Il se sentait près. Près pour unir leur corps. Ne plus faire qu'un. Les faire basculer définitivement. Mais il continua quelque peu à la caresser de ses doigts. Il voulait faire monter le désir au maximum. Il ôta alors sa main et vint écarter le maillot. Il ne ressentait pas le besoin de la lui enlever. Il l'embrassa langoureusement, passionnément. Leur amour était sur le point d'être consommé. Il n'y aurait pas de retour en arrière. Il n'y avait plus que l'océan. Elle. Et lui.

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Le désir avait encore prit un niveau et l'envie se faisait encore sentir un peu plus. J'avais fini par ouvrir le pantalon de Jim sans pour autant oser lui retirer. Il ne mit pas longtemps d'ailleurs à le retirer, je sentais un peu plus son désir grandissant entre ses jambes. Je me soulevais légèrement et retira rapidement mon short avant de m'asseoir une fois de plus sur lui et de sentir son intimité encore caché contre la mienne. Jim mima d'ailleurs le mouvement du va et vient m'arrachant quelque gémissement plus prononcé. Je sentais ses mains glisser le long de mes flancs avant de venir se perdre dans le bas de mon maillot de bain et de venir caresser mon entre-jambes. Mes doigts se fermèrent sur les épaules de Jim et je tentais de ne pas laisser un cri s'échapper. Heureusement, qu'il continuait de m'embrasser me permettant de faire le moins de bruit possible. Je n'avais pas tellement envie que toute la plage profite de cet ébat amoureux qui allait arriver d'ici peu. Les doigts de Jim s'invitèrent dans mon intimité et je pressa un peu plus mes lèvres sur les siennes. J'avais envie d'hurler mon plaisir et mon envie mais, je prenais un maximum sur moi pour ne pas le faire. Je regardais rapidement les alentours, il n'y avait pas un chat et j'étais quelques peu rassuré. Avec une habileté je sentis Jim écarté mon bas de maillot, j'avais envie de cette union et de connaître de nouvelles sensations avec lui. Chaque partenaires que j'avais pu avoir m'avaient apporter beaucoup et bon nombre de nouvelles sensations. Je glissais à mon tour ma main vers son intimité et la dégagea du boxer. Je caressais un petit instant son sexe gorgée de sang avant de me soulever légèrement et de le guider à l'intérieur de moi. Un gémissement mêlé d'un soupir se fit entendre alors que je commençais à effectuer un léger mouvement de va et vient. D'abord dans une allure lente pour que nos corps s'habitue l'un à l'autre puis j'augmentais la cadence amenant son sexe un peu plus profondément dans mon intimité. Je fermais les yeux et me laisser bercé par ce plaisir et le bruit des vagues sur le sable. Je m'autorisais à certains moments à prononcer son prénom dans des gémissement de bien être.

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La jeune femme semblait étouffer ses cris. Le jeune homme sentit les doigts se refermer sur sa peau. Signe que Bailey semblait prendre du plaisir. Ils s'embrassèrent immédiatement et il sentit qu'elle se retenait de relâcher quelques gémissements. Ce qui fit monter le désir en lui une fois de plus. Il aurait voulu qu'elle se lâche un peu. Mais ils s'affichaient déjà beaucoup et elle avait raison de garder un peu de retenue. Leurs baisers s’enflammèrent davantage alors qu'il caressait, et plus encore, le sexe de sa partenaire. Il la sentait extrêmement chaude. Lui même brûlait. Son sang bouillait dans ses veines. Si bien qu'il fut déjà en érection alors que la demoiselle n'avait pas encore esquissé le moindre geste vers son caleçon. Leur langue n'en finissaient plus. Plus il la masturbait, et plus il sentait qu'elle se contenait. Qu'elle retenait ses gémissements. Des gémissements qui se perdirent dans sa bouche et dans celle de Jim. Il ne souhaitait à présent plus qu'une chose. Unir leur corps. Céder complètement à la tentation. Briser les barrières restantes et continuer vers la voie du plaisir. Alors il agrippa le maillot et l'écarta. Dévoilant l'intimité de la jeune femme. Elle immisça sa main sous le caleçon du jeune homme et put constater qu'il était déjà parfaitement excité par tout ces préliminaires. De l'autre main il abaissa presque maladroitement son boxer. Laissant son bassin parfaitement dégagé. Le sous-vêtement vint rapidement rejoindre le pantalon aux chevilles du jeune homme. La demoiselle fit aller sa main sur son membre. Jim se laissa aller à soupirer chaudement contre son cou, ses lèvres. Allant même jusqu'à pousser de petit râles de plaisir. Le bassin de Bailey se souleva et l'instant d'après, ils ne firent plus qu'un. Bailey gémit. Les râles de la jeune femme pénétrèrent chaque pore de la peau nue du jeune homme. Ils étaient beaux dans leur plus simple appareil. Il cala alors ses mains à moitié sur les hanches, à moitié sur les fesses, et accompagna les mouvements de la belle. Elle imprimait le rythme et il se laissait faire. Il la sentit accélérer et il en fit de même. Amplifiant les va et vient par la même occasion. Il la vit fermer les yeux. L'expression de son visage était synonyme de plaisir. Les prunelles du jeune homme était rivé sur la beauté de la demoiselle. Elle murmurait son nom. Ce qui avait le don de faire monter la pression davantage. Il avait pensé que les premières secondes de leurs ébats sonneraient comme une délivrance mais c'était tout l’inverse. Il ne souhaitait plus qu'une chose. Qu'ils atteignent ensemble le nirvana du plaisir. Pourtant il ne se hâta point. Souhaitant faire perdurer leur union juste ce qu'il fallait. Il souleva la demoiselle et s'arc-bouta légèrement. De manière à être face à sa poitrine. Il enleva le haut de son maillot et embrassa sans plus tarder les seins de la sauveteuse. Il se sentait incroyablement bien. Ils avaient trouvé un rythme qui semblait leur convenir à tous les deux. Il revint ensuite placer leur visage en vis-à-vis et l'embrassa. Il bécota son cou et susurra également le nom de la jolie jeune femme à son oreille. Sa voix avait totalement perdue toute trace de « débilité » qu'elle possédait par moment. Ils s'adonnèrent au plaisir charnel. Leur corps chaud l'un contre l'autre. Ses mains empoignant les fesses de la belle demoiselle. Avant qu'il ne vienne caresser le bourgeon d'amour de Bailey. Pour lui procurer davantage de plaisir. Un plaisir qu'ils partagèrent tous deux. Il voulait la faire vibrer sur lui. Il voulait vibrer sous elle. Atteindre le septième ciel d'ici quelques minutes. Ensemble. Elle . Et lui.

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L'océan comme unique témoin de notre ébat, je tentais de faire taire mes gémissement pour ne pas attirer l'attention sur nous. Heureusement qu'il était encore tôt et que personne n'était encore descendu jusqu'à nous. Il n'y avait pas de honte à avoir mais, c'était le genre d'activité puni par la loi surtout sur un lieu public. Je ne sais pas ce qui m'avait poussé à embrasser Jim mais, mon corps l'avait réclamé. C'était sûrement un geste égoïste de ma part mais, en tout les cas, je ne regrettais nullement la tournure des événements. Chaque va et vient étaient plus intense et plus profond, m'offrant un plaisir que je devais maîtriser. Si nous avions été dans un endroit plus intimiste, j'aurais certainement laissé mes cris emplir le silence. Jim me souleva légèrement et alors qu'il retirait mon haut de maillot de bain pour embrassé mes seins, je laissais cette fois, un petit râle sortir entre mes lèvres. J'avais l'impression que mon sang était entrain de brûler mes veines et que l'eau dans laquelle nos corps reposé était aussi chaude. Je la sentais venir léger ma poitrine découverte et soutenir mes mouvements. Le jeune homme relâcha très rapidement mes seins pour venir m'embrasser une nouvelle fois. Je pressais un peu plus mes lèvres contre les siennes alors, qu'il glissait ses doigts vers mon intimité pour me stimuler d'avantage. Je me cambrais légèrement et pencha quelques peu ma tête en arrière. Mes ongles s'enfoncèrent délicatement dans la chair de Jim. Je lui indiquais entre deux soupires de ne pas arrêter et que j'appréciais ce qu'il était entrain de faire. J'accélérais encore les mouvements et sentis mon corps se contracter. J'allais bientôt atteindre le moment tant convoité, ce moment de délivrance et de bien-être intense. Ma respiration commencait à saccadé avant de disparaître. Après quelques secondes en apnée, mon souffle réapparu dans un cri. Je posais mon front contre celui de Jim et laissais aller mes gémissement de plaisir. Cette fois, je n'avais plus aucune retenu, je devais sortir les démonstration de bien-être. Je voulais par mes soupires qu'il sache à quel point, il me faisait du bien. Je tentais de me calmer un peu avant de l'embrasser une nouvelle fois et de continuer encore un peu les va et vient pour qu'à son tour il puisse goûter aux plaisirs de l'orgasme.

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La jeune femme se retenait légèrement. Retenait ses cris seulement. Car leurs mouvements de bassin, eux, étaient à présent bien prononcés. Les baisers plus enflammant et enflammés que jamais. Leur corps dégagèrent une chaleur à faire bouillir l'eau autour d'eux. Ses gémissements étouffées stimulaient le jeune homme plus que jamais. Il voulait qu'elle se contienne. Qu'elle garde en elle tout le plaisir pour le relâcher dans un instant de folie. Leurs ébats s'intensifièrent de seconde en seconde. Le corps de Jim réclamait toujours plus. Celui de la jeune femme aussi sans doute. L'homme vint alors caresser le sexe de la demoiselle. Essayant d’accélérer toujours un peu plus le rythme. Il la sentait proche. Il insista davantage avec son pouce. Il la vit basculer la tête. Il la vit remonter imperceptiblement sa poitrine. Les joues de l'homme rougirent. Ses yeux étaient rivés sur le visage de la belle. Il la sentit toujours un peu plus proche de l'explosion. Les doigts enfoncés dans sa peau lui indiquèrent que Bailey aimait cela. Une sensation bien vite confirmée par la demoiselle qui lui demanda de continuer. Son souffle était court. Chaud. Les jambes de la jeune femme ne relachèrent à aucun moment leur étreinte. Il maintint le rythme de ses va et vient et Bailey amplifia elle aussi les gestes de son bassin pour accentuer le plaisir. Il redevint le Jim d'avant et dit à sa partenaire de « venir ». Il ne quitta pas le visage de la demoiselle. Il vit son souffle saccadé. Il vit sa respiration se bloquer. Il vit, sentit et entendit lorsqu'elle atteignit l'orgasme. Son cri de plaisir redoubla l'excitation du jeune homme. Il se sentit durcir un peu plus. Si tant est que cela soit possible. Il aurait voulu jouir en même temps qu'elle mais il n'en était pas encore là. Bientôt. Bientôt il se laisserait aller en elle. Elle revint coller son front sur le sien. La retenue dont elle faisait preuve s'était envolée. Elle gémissait. Et lui aussi. Les va et vient étaient un peu plus lents. Il profita de ce rythme pour s'insérer en elle plus profondément que jamais. Bailey devait reprendre un peu de souffle. Après quelques secondes il accéléra de nouveau. L'embrassa avec une fougue sans précédent. Les soupirs de Bailey témoignèrent du plaisir de leur union. Elle se laissait aller. Pour le plus grand bien du jeune homme. Elle semblait totalement faire abstraction des alentours. Chaque seconde qui passait semblait être la dernière avant d'atteindre les sommets du plaisir. Leurs lèvres glissèrent. Leur langue n'en finirent plus de jouer l'une avec l'autre. Il plongea ensuite de nouveau sur la poitrine de la demoiselle. Elle n'était pas opulente mais elle lui plaisait. Il suçota les petits tétons de la demoiselle. Avant de revenir sur ses lèvres. Ses douces et chaudes lèvres. Leur va et vient s'intensifièrent. Il avait trouvé le rythme qui lui convenait parfaitement. Il était proche. Il susurra des plus normalement qu'il l'attendait. Il voulait qu'elle vienne à nouveau. Qu'ils explosent sous le plaisir en même temps. Elle avait relâcher le sien quelque minutes auparavant mais le désir était peut-être remonté plus rapidement que prévu. Leur bassin remuèrent. Il susurra son nom. Bailey. Lui dit qu'il était au bord de venir en elle. Son souffle se fit court. Ses mains se raffermir sur les fesses de la jolie jeune femme. Au terme d'un ultime mouvement, il poussa un gémissement de plaisir. Un plaisir intense. Et il vint en elle. Les va et vient se firent plus lents, plus profond. Il orgasma. Déversa son jus de plaisir en elle. Il continua pendant des secondes qui semblèrent durer des minutes. Aller au bout de l'extase. Du nirvana. Leurs ébats avaient été parfaits. Ni trop court, ni trop long. Il acheva ce magnifique moment en venant embrasser Bailey. Des baisers bien plus doux. Afin qu'ils reprennent leur calme. Il envisagea de rester quelques petites minutes de plus dans cette position. Ressentir son corps contre le sien. Il laissa échapper un dernier soupir chaud sur les lippes de la belle. Il se sentait incroyablement bien …

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La cadence dont nous avions fait preuve plus le fait de sentir les doigts de Jim sur mon intimité avait eu pour effet de me donner un orgasme. J'avais laissé exploser mon plaisir en oubliant totalement le lieu où je me trouvais et les potentielles passant qui se promené. Heureusement, pour moi, il n'y avait personne à croire que le destin lui même avait décidé de cet ébats et avait fait en sorte qu'aucune âme ne viennent troubler ce moment. Je continuais mes mouvements pour qu'à son tour Jim puisse connaître l'orgasme. J'avais une nouvelle fois glissé mes lèvres sur les siennes pour retrouver la fougue du début. Le rythme reprit tranquillement et Jim s'insinua encore d'avantage dans mon intimité m'arrachant une fois encore de léger cri étouffé par ses lèvres. Mon excitation était revenu et je me cambrer encore un peu pour le sentir d'avantage. Je rapprochais encore ma poitrine de son corps alors qu'il venait glisser sa langue sur la petite pointe charnue de mes seins. Je passais une main dans ses cheveux alors que nous avions encore accéléré la cadence. Je n'étais pas sur de pouvoir travailler après un tel ébat, il me faudrait bien un moment pour reprendre mes forces et être pleinement consciente de mon travail. En tout cas, je risquais de penser pendant un longtemps à ce savoureux moment. J'accueillais une fois encore les lèvres de Jim avec beaucoup d'envie, nos lèvres étaient salée avec l'air ambiant et la chaleur de mon corps ne m'avait toujours pas quitté. Je l'entendais me susurrer qu'il m'attendait et qu'il voulait encore m'offrir un orgasme ce qui eut pour effet de m'exciter encore d'avantage. Je changeais légèrement ma position qui m'offrit la possibilité de sentir pleinement le sexe de Jim dans mon intimité alors qu'il continuait de mettre du rythme dans ce moment d'amour charnel. Je sentais qu'il arrivait bientôt à la fin et il me le confirmé en me le chuchotant dans l'oreille, je donnais quelque coup de hanche encore un peu plus fort et fini par sentir ses mains se raidir sur mes fesses. Je fermais une fois de plus les yeux et alors qu'il exprimait son plaisir dans un dernier râle, j'émis pour la seconde fois, un cri dans un souffle. Mon corps s'était raidit violemment avant de finalement, se relâcher. Les va et vient ralentirent avant de totalement se stopper. Je répondais à ses baisers tendre avant de venir me blottir contre lui et de poser ma tête sur son épaule essayant de reprendre un peu mon souffle. Heureusement, que j'étais plutôt sportive et que je ne mettais pas longtemps à reprendre mes forces. Je fermais les yeux profitant encore de ce moment sans un mot, juste le bruit de la mer et de nos souffles qui s'entremêler. Je me redressais finalement, après quelque minutes de calme et me relevais pour quitter le corps de Jim. Je remis en place mon bas de maillot de bain et me laissa tomber sur le sable à côté de lui. J'étais tournée dos à la plage de façon à ce qu'il n'y est que lui qui pouvait voir ma poitrine dénudé. Un sourire se dessina sur mes lèvres alors que je posais les yeux sur son visage, je ne savais pas trop, ce que ce moment avait provoqué chez lui mais, pour ma part, je l'avais vraiment apprécié. La seule petite chose c'était de savoir où tout ceci allait bien nous mener. J'avais simplement répondu à une pulsion instinctive de mon corps sans vraiment réfléchir aux conséquences. J'attrapais le t-shirt de Jim et mon short que j'avais calé sous mon genoux un peu plus tôt et lui tendit. J'essorais rapidement mon short avant de rire un peu. "Je crois que c'est loupé pour être au sec maintenant..." Je ne savais jamais quoi dire après un acte aussi primaire et beau.

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Le jeune homme souhaitait clôturer ce moment de la plus belle des manières. Deux corps vibrant d'un seul et même plaisir. Deux corps orgasmants et déversant leur plaisir dans l'immensité de l'océan. Il lui avait qu'il était proche. Il se retenait mais ne freinait en rien son bassin. Tout comme Bailey qui ajusta légèrement son corps pour toujours plus ressentir leurs va et vient. La jolie demoiselle remua de plus belle. Pour amener son partenaire au septième ciel. Un endroit visité par Bailey quelques minutes plus tôt. Il n'en pouvait plus. Il résista quelques secondes. Il se dit qu'elle devait être aux portes du nirvana. Qu'elle avait brutalement accélérer le rythme pour plus de sensations et pour répondre à sa demande. Il la sentait extrêmement chaude. Ou c'était lui qui était bouillant. Il n'aurait su dire. Chaque parcelle de son corps réclamait la délivrance. L'extase. Il n'était plus question de que secondes. Il l'attendit un tout petit peu plus. Et quand il la vit pencher la tête, fermer les yeux, il ne se retint plus. Elle n'y était pas encore mais son propre râle, son propre gémissement de pur plaisir la fit définitivement basculer. Si quelqu'un passait par là, il les aurait sans doute trouvés incroyablement beaux. Leur visage irradiaient de bonheur, de bien être, de plénitude. Ils s'embrassèrent. Tendrement. Reprirent leur souffle. Firent ralentir leur cœur. Refroidir leur corps. Le jeune homme laissa ses mains sur le bas du dos de la belle qui vint poser sa tête sur son épaule. Son regard se perdit au loin vers l'océan. Il se dit qu'il avait de la chance. Il était peut-être devenu un peu « bête » mais il n'avait rien à envier à personne. Il venait de vivre un moment magnifique. Un pur coup de folie. Elle l'avait embrassé. Il s'était laissé faire. Il s'était montré entreprenant. Elle aussi. Elle l'avait désiré. Il l'avait désirée. Ils avaient cédé à la tentation. Il aurait été dommage de ne pas le faire. Leur corps nu entremêles étaient magnifiques. Le soleil tapait doucement sur le dos de la demoiselle. Ils restèrent dans cette position quelques minutes. Jim avait perdu toute notion du temps. Il arriverait peut-être en retard. Il se ferait engueuler par Sara. Il s'en foutait pas mal. Il serait d'excellente humeur toute la journée. Elle se décolla lentement et vint se poser à ses côtés. Il la laissa partir bien qu'il appréciait le contact de son corps sur le sien. Elle enfila son maillot. Lui resta encore avec le pantalon et le caleçon aux chevilles. Il la regarda s'installer. Elle souriait. Il souriait. Ses yeux allèrent du visage et des prunelles de Bailey à ses seins. Des seins qu'il avait pris plaisir à embrasser. Il se décida enfin et couvrit sa virilité. Elle lui tendit son t-shirt, il lui tendit son débardeur. Il retrouva le haut de son maillot et le lui tendit également. Il allait définitivement la regarder renfilait ses habits. Avoir une dernière vision du corps de femme. Il laissa pour l'instant son t-shirt sur le coté. Il était de toute façon trempé. Il préférait sécher grâce aux rayons du soleil. Bailey brisa le silence. Jim ne voulait pas être le premier à le faire. Il était bien trop maladroit avec les mots. Il n'avait jamais été timide avec Bailey. Il s'était toujours senti très à l'aise. Mais en ce moment il voulait gardait le silence. Effectivement, leurs habits mettraient du temps à redevenir sec. Jim sourit. Regarda Bailey dans les yeux. Posa son regard sur son corps. Revint dans ses prunelles. Pas pardon … Il rit. Il n'était absolument pas désolé. Il laissait trainer ses yeux sur ce jolie brin de femme. Magnifique … Il tourna la tête vers l'immensité de l'océan. Jim … Parler … Océan … Il reprit. Océan … Magnifique … Il rit de plus belle. Sa manière à lui de faire un peu d'humour. De titiller un peu la sauveteuse. Qu'elle comprenne ou non, c'était une autre histoire. Il attendit qu'elle soit complètement rhabillée. Ou qu'elle soit prête à s'en aller. Il ne savait pas quoi penser concernant ce partage. Un coup de folie ? Un coup d'une fois ? Allaient-ils remettre ça un autre jour ? Leur relation avait changé c'était certain et leur avenir s'écrivait en pointillé. Le début d'une simple complicité ? La parfaite copine de sexe ? Ou autre chose de beaucoup plus romantique ? L'heure n'était pas aux réponses. Leurs sentiments devaient encore être un peu trop perturbés par le plaisir ressenti quelques minutes plus tôt. Il lui tendit la main pour l'aider à se relever. T-shirt sur l'épaule. Dans le dos tapait l'astre de jour. Devant lui rayonnait son petit rayon de soleil.

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Nous avions connu l'extase et bien plus dans cet acte, je ne sais pas encore ce qui m'a animé dans cette folie mais, je ne regrettais en rien ce que j'avais fais. Est-ce que c'était un acte égoïste ? Au départ, ça l'avait été, je voulais simplement me satisfaire en goûtant à ses lèvres puis, cet acte égoïste avait fini par un partage. J'étais heureuse de lui avoir offert ce moment et d'avoir pu moi aussi en profiter un peu. Je glissais mon short le long de mes jambes et le cala sur mes hanches après quoi, Jim me passa mon haut de maillot de bain et mon débardeur. Il était certain que j'allais devoir me changer une fois de retour au poste de sauvetage. Heureusement, qu'on avait toujours des tenues en réserve. J'avais repris la parole sans trop savoir quoi dire et avait indiqué à Jim que c'était loupé pour avoir des vêtements sec maintenant. Je lui lançais un sourire amusé alors que je refermais mon haut de maillot sur ma poitrine. Le jeune homme m'indiqua qu'il ne souhaitait pas s'excuser pour ça, je souris de plus belle avant d'essorer un peu mon débardeur. J'étais concentré sur mon débardeur lorsque la voix de Jim se fit une nouvelle fois entendre, dans un petit magnifique. Je relevais rapidement les yeux et remarqua qu'il avait très vite tournée la tête avant d'ajouter qu'il parlait de l'océan. Je regardais l'étendu d'eau puis reposa mon regard sur Jim qui était toujours torse nu. "Oui c'est vrai que c'est beau..." Je l'éclaboussais légèrement avant de sourire. J'enfilais mon débardeur et m'aida de la main de Jim pour me relever. Je pouvais sentir l'eau couler le long de ma jambe tellement mon short était gorgée d'eau, heureusement, que c'était le genre de sensation qui ne me déplaisait pas. Je gardais sa main dans la mienne et le tira sur le sable, je ne savais pas très bien ce qui allait se produire maintenant. Est-ce que c'était juste pour une fois ou en aurait il d'autre ? Le temps finirait surement par répondre à cette question. Je marchais à reculons pour pouvoir avoir mon regard posé sur Jim et lui souris. "Tu as un cours aujourd'hui ?" Je savais qu'il prenait très régulièrement des cours pour ré-apprendre les bases mais, aujourd'hui il ne semblait pas particulièrement pressé d'y aller. Il fallait dire que moi-même, je n'étais pas pressé de me rendre à mon poste. Je jetais un rapide coup d'oeil d'arrière moi pour éviter de tombé et me stoppé rapidement. Ce n'était qu'un prétexte pour me retrouver une fois de plus dans les bras du jeune homme. Je posais mes mains sur son torse et leva le regard vers le sien, un sourire toujours dessiné sur mes lèvres. "Et maintenant ? On fait quoi toi et moi ?" Je voulais bien entendu parlé de ce qui venait de se produire entre nous et de la suite à donner.

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Jim était persuadé que Bailey n'avait pas compris sa petite plaisanterie. Il n'avait pas vraiment réussi à l'énoncer comme il le souhaitait. Le sous-entendu était sans doute un peu trop sous-entendu. En soi ce n'était pas grave car sa phrase restait assez passe-partout. L'océan était magnifique. Ce jour là un peu plus que les autres. Il n'était pas prêt d'oublier ce moment. D'oublier le visage de Bailey. D'oublier la sensation de bien-être intense. Il ne sentit pas « con » des suites de sa blague qu'il pensa ratée. Il regarda Bailey du coin de l’œil. Elle lui fit part de son petit commentaire. Une réplique qui sonna parfaitement comme celle du jeune homme. Elle avait finalement saisi. Evidemment il avait parlé d'elle. Magnifique. Et sans doute qu'elle parla de lui. « C'est beau ». Il reçut un peu d'eau et rigola. Il se surprit à s'imaginer l'éclabousser en retour. Elle se lèverait et le fuirait. Il l'attraperait. Et ils remettraient ça. Il en avait un peu envie oui. Mais leurs précédents ébats se suffisaient à eux-mêmes. Il n'y avait pas besoin de plus pour aujourd'hui. Ce serait sans doute trop répétitif. Ce serait moins intense. Moins spontané. Bref. Ce serait beaucoup moins bien. Alors il stoppa ses pensées et revint à la réalité. Pour la première fois depuis le début de leur union, il reprit conscience de l'endroit où ils se trouvaient. La plage. Elle était vide. Un fait plutôt rare. Il y avait toujours bien l'une ou l'autre personne pour y faire un jogging. L'une ou l'autre personne pour venir faire une balade matinale, comme lui, comme eux. Elle prit sa main et se releva. Leurs doigts ne se quittèrent plus. Elle l'emmena sur la plage. Il avait sans doute encore un peu l'esprit ailleurs mais il la trouva absolument pleine de vie, rayonnante. Elle avançait en marche arrière. Ils gardèrent le contact visuel. Elle lui demanda s'il avait un cours juste après. La réponse était évidente. Elle lui faisait simplement la conversation. Ou elle s'inquiétait pour lui. Qu'il arrive en retard. Elle voulait peut-être le pousser à y aller et faire des efforts. Oui … Jim … Cours … Lundi … A … Vendredi … Aujourd'hui il savait qu'il passerait un agréable cours. Il repenserait peut-être un peu à Bailey. Il avait le sourire. Sara se douterait peut-être d'un petit quelque chose. Mais elle n'en dirait certainement rien. Cours … Important … Jim … Pas encore … Progrès … Mais … Venir … Doucement … Après … Il souhaitait aller mieux. Il souhaitait pouvoir parler comme tout le monde. Il souhaitait pouvoir écrire quelques mots sans faire de mots. Lire un livre seul bien qu'il aimé l'entendre conté de la voix de Lily ou Mary. Ils avancèrent tranquillement. Et le jolie jeune femme se stoppa. Elle posa ses deux mains sur le torse du jeune homme qui était plus grand qu'elle. Elle souriait. Le regard de la sauveteuse vint se perdre dans celui de Jim. Et inversement. Il se surprit à poser les mains sur sa taille. Un geste machinal. Elle lui posa la question qu'il essayait d'éviter pour cette matinée. Que l'avenir leur réservait-t-il ? Elle était presque une dizaine d'années plus jeune que lui. La différence d'âge ne le gênait pas. Il n'avait aucune idée de quoi lui répondre. Pourtant il ne détourna pas le regard. Il haussa imperceptiblement les épaules. Bailey … Vouloir … Quoi ? Il se sentait presque ridicule. Il ressentait son handicap en ces moments. Jim … Pas savoir … Il prit sur lui et parla. S'expliqua. Jim … Apprécier … Bailey … Il reprit. Laisser … Temps … Au temps ? Son cœur palpitait plus que d'ordinaire. A vrai dire il avait pris son pied. Et s'ils pouvaient remettre cela par la suite, il n'était absolument pas contre. Il n'avait personne. Elle n'avait personne. Ils étaient jeunes. Jim un peu moins. Ils prenaient du bon temps tout le temps. C'était le principal. Jim … Bailey … S'amuser ? Il conclut. Jim … Ecouter … Bailey Il laissait simplement ses mains sur elle. Il plongea dans ses prunelles. Mais il n'esquissa aucun geste pour l'embrasser ou la presser contre lui. Il attendit. Il serait bien vite fixé.

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J'avais traîné Jim sur la plage pour que nous sortions de l'eau après ce moment intime. J'avais apprécié cet instant de plaisir et on pouvait le dire très peu d'homme avait réussi à m'emmener deux fois de suite sur le chemin du bien-être. Il fallait dire que je n'avais jamais vraiment fréquenté d'homme plus vieux, en général la plus part de mes conquêtes avaient mon âge. Je marchais à reculons mes yeux posés sur ceux de Jim tout en lui demandant s'il avait cours. Je n'avais aucune idée de l'heure mais, je ne voulais tout de même pas qu'il soit en retard surtout si, j'étais la cause de ce retard. Il m'indiqua qu'il avait toujours cours du lundi au vendredi et que c'était important car, il n'avait pas encore fait de gros progrès. Je lui souris, il fallait savoir être patient et je ne doutais pas que les progrès arrive par la suite. Je jetais un rapide coup d’œil derrière moi pour ne pas tomber et me stoppé. Je me laissais envelopper par les bras de Jim avant de remonter mon regard dans le sien. Je ne savais pas trop comment définir ce qui venait de se produire et j'étais curieuse d'avoir l'avis du jeune homme sur la question. Je lui demandais donc tout simplement ce qu'on allait faire maintenant. Loin de moi l'envie de retomber dans une relation amoureuse, je n'étais pas faites pour ce genre de relation qui avait le don de me détruire et puis la perte de l'être aimé, était un sentiment horrible. Je ne supportais pas l'abandon c'était pour moi une sensation désagréable et elle faisait partie de mes pires peur. C'était surement, le fait d'avoir connu ça plusieurs fois dans ma vie. D'abord ma soeur jumelle qui était morte dans le ventre de ma mère biologique, bien entendu, je n'avais aucun souvenir de tout ceci mais, il m'arrivait parfois d'avoir une sensation de manque. Puis l'abandon de ma mère biologique qui, je ne sais pour quelle raison n'avait pas voulu de moi. Je ne lui jetais pas la pierre mais, tout de même, j'aurais aimé connaitre la raison de cet acte. Et puis, il avait eu ce premier amour qui m'avait lâchement abandonné une fois encore. Non vraiment, les histoires d'amour ce n'était pas pour moi ou du moins, je me refusais à ce que ça le soit. La voix de Jim, me sortie de mes pensées. Il voulait savoir ce que je voulais car, il ne savait pas lui même. Il m'appréciait et préférer laissé le temps au temps, il ajouta qu'on pouvait tout simplement s'amuser. Il termina en me disant qu'il m'écoutait. "Et bien, j'aime l'idée de laisser le temps faire et qu'on continue de s'amuser...Sans prise de tête et sans se soucier de l'avenir. Profiter du temps présent et de nos moments tout simplement." Je lui souris un peu, de toute façon, c'était la meilleure chose que je pouvais offrir pour l'instant.

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Le jeune homme n'était pas satisfait de lui. Il n'avait pas su s'exprimer comme il le souhaitait. Si les phrases arrivaient quelque peu à se former dans sa tête, il était incapable de les retranscrire en parole. Il était un tout petit peu agacé contre lui-même. Au fond de lui il ne voulait pas se prendre la tête avec une histoire de cœur. Il n'avait jamais vraiment eu de longue relation. S'amuser. C'était ce dont il avait envie. Il ne prenait pas les femmes comme des objets. Des objets sexuels dont on se servait quand on le souhaitait et qu'on jetait par la suite comme un vieux linge sale. Il avait toujours été réglo. Toujours plutôt clair dans ses relations. Coups d'un soir. Sex friends. On reste un mois ensemble et on se quitte. Il n'était jamais sorti avec deux femmes en même temps. Et le « nouveau » Jim allait dans la continuité de « l'ancien ». Il n'allait pas se mettre à profiter des femmes. User de son « handicap » pour qu'elle prenne pitié de lui et aille jusqu'à lui donner un peu de bonheur. Il détestait cela. Il voulait simplement être normal. Il reviendrait faire sa petite balade tous les matins. Ils s'égareraient peut-être par moment dans un coin isolé pour découvrir de nouveaux plaisirs ensemble. Il ne savait pas trop s'ils se verraient en dehors de leur promenade. Et si c'était le cas, il ne savait si c'était pour une sortie au bar ou pour quelque chose de plus … sexuel. N'ayons pas peur des mots. « Laisser le temps au temps ... ». S'il y avait des mots dont il était plutôt satisfait il s'agissait de ceux-là. Bailey était une bonne personne. Il n'y avait aucun malaise entre eux deux. Tout le contraire même. Ils s'entendaient très bien. Il est certain que ce coup de folie changeait bien des choses. Mais il ne viendrait pas ternir leur entente. Ils se parleraient. Ils accepteraient les choix l'un de l'autre. La demoiselle sembla être du même avis. Il fut rassuré. Elle avait compris ce qu'il avait dit. Il hocha la tête. Profiter … Présent … Oui ! A dire vrai, la sauveteuse avait parfaitement exprimer le fond de sa pensée à lui. Ils étaient sur la même longueur d'onde. Il enleva ses mains du corps de la demoiselle. Pas exactement. Il en plaça une dans le bas de son dos et la tourna de sorte qu'ils puissent avancer dans la même direction. Il n'avait aucune idée de l'heure mais il se dit qu'il ne devait pas trop traîner. Remettre … En route … Il reprit. Jim … Pas vouloir … Etre … Retard … Il marqua la fin de sa phrase. Jim … Pas aimer … Faire … Attendre … Sara … Il reprit. Sara … Toujours … A l'heure. Sa langue se délia et il parlait avec plaisir. Les mots lui vinrent plus facilement que précédemment. Jim … Pas savoir … Heure … Il regarda Bailey. Jim … Oublier … Temps … Dans … Océan … Oui le temps avait été suspendu. Il n'avait pas la moindre idée du temps qui était passé. Ils n'avaient pas traînés. Mais ils n'avaient pas non plus précipité l'acte. Ils avaient pris un semblant de temps. Et cela avait été parfait comme cela pour Jim. Il reprit la parole immédiatement. Pour s'essayer à une nouvelle petite plaisanterie. Jim … Pas savoir … Pourquoi … Il détourna les yeux vers le ciel et prit un air faussement innocent qui était plutôt drôle à voir. Bailey … Avoir … Idée ? Il ne put retenir un rire. Il savait déjà que la réponse de la demoiselle le ferait grandement sourire. Alors il ouvrit grand ses oreilles et attendit impatiemment.

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Je n'avais pas l'intention de repartir dans une relation destructrice et je préférais largement les relations sans prise de tête. J'exprimais donc à Jim que je préférais vivre les bons moment au temps présent sans prise de tête et sans réellement mettre un nom sur cette relation. J'espérais avoir était clair et que Jim ne prendrait pas mal mes propos. Mais, d'après ce qu'il m'avait dit, je n'étais pas sur que mes propos le dérange plus que ça et puis, l'idée de s'amuser me plaisait bien. Il fallait bien dire que je mettais bien amusé lors de notre petit ébat dans l'océan. Jim m'indiqua qu'il était d'accord avec mes dires, un sourire se dessina sur mes lèvres alors qu'il me tourna de façon à reprendre la route. Il m'expliqua qu'il ne voulait pas être en retard pour son cours car, sa professeur était toujours à l'heure voir même en avance. Il ajouta qu'il ne savait pas l'heure qu'il était et qu'il avait oublier le temps dans l'océan. Je souris alors qu'il ajoutait, qu'il ne savait pas pourquoi et me demanda si j'avais une idée. Je fis mine de réfléchir à la question en posant un doigt sur ma bouche, je levais le doigt comme ci, je venais de trouver une idée. "Je pense qu'on a fait trop de sport...c'est pour ça. Le temps passe plus vite dans l'eau." Je ris légèrement à ma bêtise sachant parfaitement pourquoi nous ne savions plus l'heure qu'il était. "On verra au poste de secours mais, je pense que tu seras pas en retard...Je suis pas sur qu'on a prit une heure pour faire ça...Quoi que..." Je ris de plus belle alors que le poste de secours se dessinait déjà face à nous. Je remarquais le petit regard de mon collègue l'air étonné de me voir trempé de la tête au pied ainsi que Jim. Je me stoppais à bonne distance et me tourna vers le jeune homme. "Tu viens me chercher pour le marché de noël alors ? Histoire que, j'arrive à le voir au moins une fois." Je souris plongeant une nouvelle fois mon regard dans celui de Jim en attendant sa réponse. Au moins, s'il venait me chercher, j'étais sur de pouvoir me rendre au marché de noël car, si je devais m'y rendre seule, je ne risquais pas de quitter mon travail à l'heure.

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Il avait parfaitement su s'exprimer cette fois-ci. Enfin « parfaitement ». C'est un bien grand mot. Mais à l'échelle de Jim, il avait employé les mots qu'il souhaitait. Il était sûr que la demoiselle comprendrait. Comprendrait absolument tout. De son cours quotidien et de sa prof qu'il ne voulait pas faire attendre. Jusqu'à la petite plaisanterie. Petite plaisanterie à laquelle Bailey s'empressa de répondre. Elle posa un index sur sa bouche et fit semblant de réfléchir. Elle mima l'illumination. Jim l'écoute. Et il rit. Du sport ils en avaient fait. Un peu. La position n'était pas des plus éreintante. Hormis pour Bailey qui avait du peut-être un peu plus s'employer. La prochaine fois serait sans doute bien différente. Hum hum. Le temps était passé vite. Il rirent tous les deux. Il faudrait qu'il songe à venir se balader un petit peu plus tôt … Hum hum. Evidemment Jim ne pensait pas à tout cela. Il écouta simplement la jolie demoiselle parler. Elle pensait comme lui, à savoir qu'il ne devait pas être à la bourre. Une bonne nouvelle. Il vit son expression lorsqu'elle lui dit que leurs ébats n'avaient pas du dépasser l'heure. Il en rit énormément. Bailey aussi. Ils arrivèrent bien rapidement au poste de secours. Ils ne s’étaient pas éloignés tant que ça. Objectivement parlant, ils avaient été fous. Fous de se donner l'un à l'autre au beau milieu d'une plage. Ils ne s'étaient pas cachés. Ils avaient complètement cédé à leur pulsion. Sans jamais se retenir. Sans jamais même y penser. Ils étaient encore trempés de la tête aux pieds. Ce qui ne manqua pas d'attirer le regard des collègues de Bailey. Ils n'eurent pas le temps de commenter que la sauveteuse se retourna et s'adressa au jeune homme. Le marché de noël ! Il avait déjà complètement oublié. Il s'empressa de répondre à la jeune femme. Oui ! … Jim … Venir … Chercher … Bailey … Soir … Il reprit. Bailey … Voir … Marché … Joli ! Il avait soutenu son regard. S'il avait oublié son invitation en ce moment, nulle doute qu'il s'en serait rappelé ce soir. Son programme de la journée était maintenant fixé. Il savait qu'elle passerait très vite et qu'il se retrouverait rapidement le soir. A venir chercher sa partenaire de promenade. Sa partenaire de … plus ? … à présent.

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Le jeune homme arriva tranquillement au poste de secours. Il faisait encore agréablement bon. Jim s'était bien entendu changé. Il avait opté pour un trois quart en jeans et une chemise à manches courtes de couleur blanche. Il était assez fringuant. Une tenue qui le rajeunissait peut-être une tout petit peu. Il avait mis une pointe de parfum et avait laissé ses cheveux quelque peu en bataille. Il n'était pas « bien habillé » comme pour aller à une soirée de gala mais il était plus chic que ce matin. Non il n'avait pas fait cela dans le but de plaire. En fait, il avait pris la première chemise qu'il avait trouvé. Pareil pour le bas. Un heureux hasard que les vêtements s'accordaient bien ensemble. Et si cela n'avait pas été le cas, il aurait changer de tenue. Il attendit que Bailey sorte. Il ne voulait pas aller toquer à la porte. Il était certain qu'elle n'avait pas oublié leur rendez-vous. Elle l'avait peut-être vu arriver de loin mais il n'y avait encore personne. Il laissa aller son regard sur l'océan. Un sourire s'afficha sur son visage. Il était calme. La plage était belle. Le léger remous des vagues également. Forcément il repensa pendant une ou deux secondes à cette matinée. Maintenant qu'il avait un peu plus de recul, il ne regrettait en rien leurs ébats. Il ne regrettait pas leur décision commune de s'amuser ensemble. Il espérait que la position de Bailey n'ai pas changé elle non plus. Il regarda l'heure à sa montre – encore heureux qu'il ne l'avait pas mise ce matin – et attendit. Il réfléchit déjà à ce qu'il allait lui montrer en priorité. Faisant mentalement le tour des différents stands et chalets.

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Le marché de noël avait été un sujet de conversation juste avant notre petit dérapage. Jim m'avait proposé de m'y emmener faire un tour et de me montrer les merveilles que le maire avait mis en place pour les habitants. J'avais entendu dire que cette année, il avait mis les bouchés double pour faire oublier le tremblement de terre et les nombreux dégâts qui en avait découlé. Je demandais donc à Jim, si il venait toujours me chercher comme convenue. Le jeune homme répondit rapidement à ma demande et m'indiqua qu'il viendrait bien me chercher et que j'allais le trouver magnifique. J'avais du mal avec la période de noël, c'était une fête tellement familial et même si j'adorais ma famille d'adoption, j'avais toujours au fond de moi, l'impression de ne pas être à ma place. Comme ici à Bowen d'ailleurs. J'avais pas mal d'amis d'enfance mais, j'avais toujours l'impression que mon chez moi était ailleurs ou alors c'est que je n'avais pas encore trouvé ce qui me fallait ici. Je lui souris et hocha simplement la tête pour lui indiquer que c'était entendu. Je ne savais pas trop comment lui dire au revoir, alors j'opta simplement pour un petit salut de la main suivi d'un petit clin d’œil. Je n'avais pas spécialement envie que mes collègues admire le spectacle d'un baiser ou autre.

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La journée était passé très rapidement et je n'avais eu aucun soucis à déplorer hormis quelque brûlure de méduse à traiter rapidement et quelques enfants perdu sur la plage. Une journée tout a fait normal en soit. Le soir était rapidement tombé et un de mes collègues m'indiqua que je pouvais quitter mon poste pour rentrer chez moi. Je me précipitais dans le poste de secours et prit rapidement une douche, une chance qu'il est ce genre de petit confort dans nos postes. Après quoi j'enfilais mes vêtements avec lequel j'étais venu le matin, à savoir un jean brute et un débardeur noir. J'enfilais mes doc Marten's avant d'attraper mon sac et de sortir de la petite cahute. Je fis signe à mon collègue avant de descendre les escaliers et de me tourner vers le parking. Jim m'attendait comme convenu, un sourire se dessina sur mes lèvres alors que j'arrivais vers lui. "C'est bon cette fois je vais réussir à voir le marché de noël ! Personne ne pourra me retenir sur la plage...Du moins, pas pour sauver quelqu'un..." Un petit regard malicieux arriva dans mes yeux avant de rire légèrement, bien entendu le sous entendu était pour notre petit ébat du matin. Je commençais à marcher entraînant avec moi mon compagnon de "promenade" qui avait fini par se transformer en bien plus. "Alors par quoi on va commencer ?" Je plongeais mon regard dans le sien tout en marchant vers le centre ville.

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Il l'entendit arriver. Ses pas dans un premier temps. Et puis sa voix. Enfin donc ! Elle allait voir le marché de noël. Il aurait été malheureux de ne pas y aller au moins pour un soir. Découvrir ce merveilleux petit village. Il se sentit légèrement fier qu'il l'accompagne dans sa découverte du marché. Si Jim ne l'avait pas invitée, elle n'aurait certainement jamais pris l'initiative d'y aller seule. Alors oui il était un peu fier. Mais surtout content. Et personne ne l'empêcherai d'aller passer une agréable soirée. Aller boire un petit chocolat chaud. Faire une photo spéciale noël. Déguster une petite spécialité de la saison. Il n'y aurait pas de baigneur de minuit à sauver ce soir. Jim ne perçut pas immédiatement la petite plaisanterie. Le petit sous-entendu. Mais quand il vit son regard. Son sourire. Quand il entendit son rire, la pièce tomba. Il rit en chœur avec la demoiselle. Et pendant une fraction de seconde, il se demanda s'il ne s'agissait pas d'une « proposition » de Bailey. D'une invitation à ce qu'ils restent tous les deux sur cette dite plage. Dans le but de passer du bon temps. Quoi d'autre sinon ? Mais bien vite elle l’entraîna vers le centre de Bowen et son marché de noël. Bien vite ses pensées s'envolèrent. Par quoi allaient-ils commencer ? Elle essaya de sonder son âme. Les prunelles du jeune homme plongèrent dans celles de la demoiselle. Il réfléchit. Bailey … Voir … Il reprit. Jim … Pas savoir … Encore … Marché … Grand … Beaucoup … Choses … A voir … Et puis ils avaient toute la soirée devant eux. Ils n'auraient peut-être pas le temps de tout faire, de tout voir mais ce serait déjà très bien comme cela. Ils marchèrent tranquillement. Jim souhaita faire un brin de conversation. Journée … Bailey … Tranquille … ? Il la regarda avec le sourire avant d'ajouter. Matinée … Calme … ? Il se mordit la lèvre inférieur et pris un air somme toute assez coquin. Il savait très bien que la matinée de la demoiselle avait pour le moins été … mouvementée … ? Hum hum. Il ouvrit grandes les oreilles afin d'entendre la réponse de la jeune femme. Il savait déjà qu'il l'apprécierait. La ville était assez calme. Le soleil était en train de se coucher. Donnant une teinte particulière au ciel. Ils ne ressemblaient pas forcément à un couple tous les deux mais on pouvait ressentir une grande complicité entre eux. Ils se connaissaient depuis peu de temps. Le jeune homme appréciait passer ses balades avec elle. Tout particulièrement celle de ce matin. Allez savoir pourquoi. Ils avaient décidé de s'amuser. Et bien vite ils apprendraient à connaître les petits plaisirs cachés de l'autre. Les petites choses inavouées qui pimenteraient un peu plus leur vie. Ce qui ravirait le jeune homme. Ce qui ravirait la jeune femme. Mais seul l'avenir sait ce qu'il se passerait exactement entre eux.

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