Tout dépend du hasard, et la vie est un jeu.

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Anton & Neala

❝ Tout dépend du hasard, et la vie est un jeu. ❞

Voilà quelques jours que j'étais revenu de mes vacances improvisé avec Wyatt, c'est étrange la vie… En revenant ici, je ne pensais pas retrouver mon premier amour. J'étais juste venu ici dans l'espoir de me retrouver, de faire le point avec moi même et voilà que j'avais l'impression de revenir des années en arrière, d'être à nouveau qu'une simple adolescente, loin des paillettes et des projecteurs. C'était tellement plus simple, même si a cette période, j'avais l'impression que ma vie était un enfer, je sais a présent que je me trompais.

L'enfer, c'est la, maintenant que je vis une vie de rêve, une vie que j'ai voulu et que pleins de gens rêveraient d'avoir. Mais une vie que je ne désirais plus vraiment, j'avais réussi a en venir a cette conclusion lors de mon séjour avec Wyatt. Mais je ne pouvais pas renier cette vie qui m'a tant plus autrefois. Seulement plus je me forçais à faire plaisir aux uns et aux autres et plus je me perdais… C'est étrange comme sensation, on est physiquement là mais intérieurement vide, comme si toute once de joie réelle avait disparu. J'avais tellement appris à faire de faux sourire, de faux rire, de montrer une fausse joie qu'a présent je m'étais totalement perdu en chemin.

Aujourd'hui encore en ouvrant le courrier, j'avais trouvé une lettre de menace, j'avais beau me dire que ce n'était pas grave, au fond de moi, j'angoissais. Ça me donnait encore plus de m'enfermer pour que plus personne ne me trouve. Mais je ne pouvais pas faire ça, sachant l'admiration de pleins de gens, qui comptaient sur moi pour leur redonner le sourire, avec mes chansons, mes photos… Mais cette lettre la, m'avais totalement déprimé pour la journée. Heureusement que je n'avais rien de prévu, j'ai pu rester enfermé chez moi, pour prendre soin de mon corps, tout les soins est masques y sont passé afin de me détendre. Et après être sortie de la salle de bain s'est vêtue d'un short en jeans, d'un débardeur blanc et d'une longue veste fine trois fois trop grande pour moi, que je sortis pour enfiler des baskets. Une envie irrésistible de marcher à la plage m'avait prit en milieu d'après midi, respirer cet air frais, entendre le bruit des vagues et regarder au loin… J'étais donc parti a la plage pour une longue balade avant de m’asseoir dans le sable, croisant les bras en serrant mes genoux contre ma poitrine pour que mon menton repose sur mes genoux afin d'admirer le paysage face a moi. Lorsque j'entendis quelqu'un se rapprocher de moi, croyant même entendre une voix, je tournais la tête pour observer cet inconnu qui n'en était pas un. « Anton… Alors ça… Si on m'avait dit que je te trouverais là… Je ne l'aurais pas crue.. » Soufflais-je en le regardant, je n'en revenais pas de le voir ici, alors quand je me relevais pour lui faire une accolade en guise de bonjour, je manquais de tomber, mais je fis bonne figure.

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Naela & Anton

Elle était de retour. Et pour de bon. C’est ce que j’avais cru comprendre. J’en étais forcément plus que ravi. Savoir qu’elle avait toutes ces personnes constamment autour d’elle m’avait rendu fou pendant des années. J’ai toujours su cacher mes émotions, particulièrement en sa présence, je sais être celui qui lui faut, celui dont elle a besoin. Ce n’est pas tous ces fans de pacotilles qui sauront réellement la rendre heureuse. Moi j’avais trouvé la technique parfaite. Certes, un peu barbare par moment, mais ça fonctionnait tellement bien que je n’avais jamais changé de tactique. Ce type menaçant, je l’avais créé de toutes pièces il y a bien des années, avant même que mon premier best-seller ne paraisse. Il était bien pure que moi, un vrai bourreau, un harceleur doublé d’un kidnappeur. Mais tout comme pour moi, il était bien plus complexe que cela. Et je me retrouvais depuis des années en lui. Comment l’abandonner en si bon chemin alors que tout fonctionne si bien ? Aucune raison. Je n’avais malheureusement eu aucune occasion d’aller rendre visite à Naela alors que j’en mourrais d’envie depuis que j’avais appris la nouvelle. J’avais encore des chapitres à terminer alors que je sortais à peine de mon entretien avec mon demi-frère, fraîchement rencontré. C’était étrange cette sensation d’avoir une personne qui connaisse votre père, qui partage votre sang mais dont vous ne vous doutez pas de son existence. Et j’avais besoin de coucher cette expérience sur le papier. J’étais peut-être encore un peu trop à l’ancienne, et ma fille n’arrêtait pas de me le faire remarquer, surtout vu l’état catastrophique dans lequel se trouvait mon bureau. Mais personne n’avait jamais eu le droit de toucher à mon bordel. Tout le monde connaissait la colère noire que j’avais quand je ne retrouvais pas mes affaires. Encore plus mes écrits. Sauf que voilà, alors que je décidais de rentrer, j’apercevais cette chevelure de feu que je pourrais reconnaître entre mille. Mon cœur fit un bon dans ma poitrine et je filais à sa rencontre. Je ne cherchais même pas à comprendre, à chaque fois qu’on me parlait d’elle ou que je la voyais, je devenais fou, peut-être un peu trop. Je me rends compte assez souvent que ma personnalité peut être assez diverse en fonction des situations ou même des personnes. Je me suis donc mis à la poursuivre, elle était assez loin, mais je commençais à réduire l’écart entre nous, essayant de l’interpeller, ne réussissant pas du premier coup. Je ne lâchais pas l’affaire pour autant et continuer jusqu’à ce qu’elle se retourne. Elle n’avait pas changé, elle était même encore plus sublime que dans mes souvenirs. Oui, je sortais du resto et je t’ai vu de loin … je pensais que t étais sur New York ? Tu t’es pris des vacances ? Oui, bien sûr que je feignais l’ignorance. Si elle apprenais qui j’étais vraiment, le privilège de l’avoir dans mes bras, même le temps d’une seconde, plus jamais je n’y aurais droit.

AVENGEDINCHAINS

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Anton & Neala

❝ Tout dépend du hasard, et la vie est un jeu. ❞

Le bruit des vagues étaient apaisant, même si ça me faisait repenser à certaines conversations avec Wyatt lors de notre séjour, et elles n'étaient pas toute plaisante. Alors en regardant ces vagues, j'en revenais aux mêmes conclusions… J'avais loupé quelques choses dans ma vie. J'avais fait tout comme on m'avait dit et pourtant, je ne me sentais pas heureuse. Je me sentais mal-aimé alors que des millions de gens m'apporte leurs amours chaque jour. Comment peut-on être une éternel insatisfaite ?

La réalité, c'est que je n'en avais pas la moindre idée… J'avais quelques hypothèses bien sûr… Peut-être que j'aurais du moins faire ce qu'on attendait de moi, moins écouté les gens et juste écouter mon cœur. A présent j'avais du mal a l'écouter, je ne savais pas ce qu'il voulait exactement sauf… Le fait d'avoir un enfant. C'est le gros manque à ma vie, ce vide que personne d'autre qu'un enfant pourrait combler, j'avais tout cet amour maternel a donner… Et de ne pas pouvoir le faire me rendait malheureuse malgré moi, le plus dur, c'est de devoir paraître totalement heureuse aux yeux de tous, de ne rien faire remarquer.

Ca plus les menaces que je recevais de temps en temps, tout se brouiller dans ma tête, est-ce que je serais prête a accueillir un enfant avec cette vie là ? Je ne pensais pas… Est-ce que je devais faire une croix sur ma carrière ? Je n'en avais aucune idée, mais je ne pouvais pas décevoir des milliers de gens… J'étais complètement perdu. Alors voir une tête familière me faire sortir de ces pensées qui me rendait plus que triste intérieurement, me redonna le sourire malgré moi.

« Oh on t'attend alors ? » Lui demandais-je en espérant au fond de moi que non, je n'avais pas envie d'être à nouveau seule avec moi-même ça me ramener toujours a ce sentiment de tristesse. « Tu as réussi a me reconnaître depuis là bas ! » Dis-je dans un souffle, c'était flatteur tout de même, ma chevelure devait bien être unique.. « Si je l'étais, mais… J'avais besoin d'un retour aux sources, tu comprends ? J'arrive dans une période ou j'ai besoin de me préserver de toute cette euphorie que les projecteurs envoient. » Dis-je en douceur tout en plongeant mon regard dans le sien en arborant un sourire malicieux sur les lèvres. « Et toi ? Tu deviens quoi ? » Lui demandais-je sans le quitter du regard, j'avais envie de savoir ce que devenait Anton, j'étais ravie de le retrouver, le hasard fait vraiment bien les choses parfois.

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Naela & Anton

La revoir me faisait un bien fou. Je me savais dépendant d’elle, et j’avais pris l’habitude de lui envoyer des lettres menaçantes pour être sûr que jamais elle ne se passera de moi. Pour être sûr que jamais personne d’autre que moi ne pourra la rassurer comme je sais si bien le faire. Alors forcément je n’allais pas rater une occasion de passer du temps avec elle. Même si mes pages blanches m’attendaient chez moi. J’ai l’avantage de pouvoir organiser mon emploi du temps comme je le désirais. Non, je n’ai rien de prévu cet aprem. Et c’était tant mieux, parce qu’elle semblait avoir besoin de compagnie. Je ne pouvais que m’en délecter. J’ai une bonne vue surtout. Lui répondais-je, mentant un peu, même si au fond, c’était un peu ça. Disons que je pourrais la reconnaitre entre mille surtout. Je lui posais ensuite la question bateau, que je connaissais déjà, mais il fallait que je feigne parfaitement l’innocence si je voulais conserver cette relation qui allait pouvoir peut-être même évoluer dans le bon sens du terme. Je ne connaissais tout de même pas ses motivations, même si j’espérais que cela soit surtout qu’elle ait besoin de s’éloigner du monde des paillettes. Et cela ne manqua pas. Je me forçais à ne pas sourire à outrance, pour paraitre encore plus crédible, alors que j’étais ravi Je peux comprendre. Finissais-je par lui avouer simplement. J’ai toujours eu horreur de ce monde-là en même temps. Seulement de l’autre côté de mon appareil. Même si ce sont davantage les belles femmes qui m’intéresse, starlettes ou non.Et bien … toujours dans la photo et l’écriture surtout. C’est devenu mon plus grand gagne-pain. Lui expliquais-je alors qu’on avait commencé à faire quelques pas sur le bord de la plage.

AVENGEDINCHAINS

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Anton & Neala

❝ Tout dépend du hasard, et la vie est un jeu. ❞

L'entendre dire qu'il n'avait rien de prévu, me fit plaisir malgré moi, car comme ça, on pourrait passer un peu de temps ensemble ? A parler de tout et de rien comme on le faisait avant. Ne pas être seule, savoir qu'il est la même pour quelques heures ou peut être qu'une, c'était tout de même rassurant. « Ca te dis de marcher un peu ou d'aller boire une boisson chaude ? » lui demandais-je en le regardant attentivement.

Ca pour avoir une bonne vue, il en avait une, me reconnaître d'aussi loin, c'est tout de même assez surprenant. « Oui ça, on peut dire que tu as une bonne vue ! » dis-je en riant en douceur. Je jetais un regard autour de nous avant de sourire à nouveau en l'entendant dire qu'il comprenait. Anton a toujours eu cette manie de me comprendre, il était là quand j'avais besoin de lui, il me jugeait pas, non, il me comprenait toujours, du moins c'est ce qu'il disait et moi je le croyais, je n'ai aucune raison de douter de lui après tout c'est mon ami.

« Je sais pas comment tu fais, tu as cette facilité à me comprendre, je crois que ça me surprendra toujours et je t'en remercierais jamais assez. » C'était important pour moi qu'il sache que je lui étais reconnaissante pour ce qu'il m'apportait. Il n'avait pas changé, la photographie et l'écriture animé toujours son quotidien et ça me fis sourire. « Tu écris quelques choses en ce moment ? » J'étais tout de même curieuse « Un de tes livres deviendra un film ? Si c'est le cas, je postulerais pour jouer un rôle ! » Dis-je en souriant, bien sûr je rigolais, mais si un de ces livres sortait en film alors je voudrais le voir.

« Et la famille ça va ? » Lui demandais-je en voyant qu'il ne me parlait que de sa carrière et non de sa vie familiale, si, il avait un soucis, il pouvait m'en parler, je serais la comme lui l'avait était pour moi.

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Naela & Anton

Son rire m’avait manqué. Ses expressions douces et délicates étaient gravées dans ma mémoire. Et pourtant, j’avais l’impression de les redécouvrir. Ca me faisait du bien. Je ne voyais pas cette star internationale, non, je voyais cette femme qui avait su retourner ma tête quand je l’avais vu pour la première fois. Si j’avais pu l’enfermer dans une cave pour la garder rien que pour moi, je l’aurais fait. Enfin, plutôt dans une tour d’ivoire, oui, elle mérite bien mieux qu’une cave mal éclairée. Toujours est-il que c’était loin d’être le cas. Elle avait passé sa vie sous les projecteurs, et à présent, elle revenait enfin aux sources. Evidemment que je la comprenais. Même si je lui cache beaucoup de choses et lui mentir est devenu aussi facile que de respirer. Si ça pouvait m’aider à rentrer de nouveau dans ses petits papiers, je n’allais clairement pas me gêner. On peut marcher un peu, on verra par la suite ? Oui, je préférais marcher après le lourd déjeuner d’affaire que je m’étais enfilé, j’avais besoin de digérer. Je serais même bien parti faire un footing ou faire un peu de muscu, mais la présence de Naela me suffisait tellement mieux. Je me disais même que je pourrais réussir à la ramener chez moi, ma fille n’était pas prête de rentrer à la maison. Mais il était inutile de trop se projeter, je profitais déjà de la rousse à cet instant présent. J’eus un sourire en coin quand elle me remerciait de la comprendre si facilement. C’était assez ironique, et cette relation pouvait paraître plus que malsaine, mais elle me procurait une adrénaline jamais vécue, dont laquelle j’étais bien trop rapidement devenu accro. Elle enchaina en me demandant des nouvelles, et bien sûr, seul mon métier en ressortait. Non pas que je ne voulais pas parler de ma fille, mais ça a toujours eu dont de me gêner avec elle. Sûrement parce que je voudrais tellement plus qu’une simple amitié. Je ne saurais dire. Je n’ai jamais songé à adapter l’un de mes bouquins en scénario. Ca pourrait être pas mal, mais je ne suis pas sûr d’y arriver. Faut dire aussi que lorsque j’écris des scénarios, je ne pense pas en roman. Forcément, vu du sens contraire, c’était la même chose. Mais je serais ravi d’écrire un rôle rien que pour toi. Rajoutais-je avec un léger clin d’œil complice. Mais l’enthousiasme de cette idée retomba bien rapidement puisqu’elle me demandait des nouvelles de ma famille, et je n’entendais aucune jalousie. Franchement, ça me désespérait davantage. Je soufflais un bon coup et me forçais à répondre Ma fille va très bien. Elle est en vacances quelques jours chez une amie. Je fis une pause, pensant à ma fille, cette perfection que j’avais eu le miracle d’avoir. Et pourtant avec une femme que je n’aime plus depuis longtemps. Et ma femme … je ne sais même plus si je t’avais dit qu’elle était tombée malade … J’avais une certaine tristesse dans la voix. Mais seulement parce que sa maladie me bouffait de l’intérieur et que j’aimerais par-dessus tout que tout s’arrête enfin.

AVENGEDINCHAINS

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Anton & Neala

❝ Tout dépend du hasard, et la vie est un jeu. ❞

J'étais contente de voir qu'il voulait bien m'accorder un peu de temps, car il n'était pas obligé alors quand il voulut marcher, je saisissais l’opportunité et me tourna un peu plus vers lui avant de lui saisir le bras entre mes mains pour commencer a marcher droit devant nous, la plage est un endroit vraiment paisible et reposant alors quand on est en bonne compagnie en présence d'un ami par exemple, c'est vraiment agréable. « Ça me va parfaitement ! » Lui dis-je sans dissimuler mon sourire aux lèvres.

J'étais un peu étonné qu'il n'est jamais songé à adapter ces romans a l'écran, tout écrivain ne rêve donc pas de ça ? Les fans de certains bouquins doivent bien imaginer comme si se doit, les romans en livre ? Du moins c'est ce que je pensais, c'est comme les jeunes filles, qui adorent les disney enfant et qui rêve de voir le visage de leurs princesses préférés en film, c'est bien pour ça qu'on fait les adaptations des contes de princesses à l'écran non ? Et puis il y a bien les romans, comme pour Roméo et Juliette, Orgueils et préjugé, Bridger Jones, 50 nuances de Greys ou même Harry Potter… Il y en a tellement… « Je pense que ça serait carrément d'enfer ! » Avouais-je en souriant un peu plus avant de froncer les sourcils. « Il ne faut pas que tu doutes de toi, tu as du talent! Vraiment, je pense, je sais que tu peux y arriver si tu le désires vraiment ! » Après tout rien ne lui avait résister a présent alors pourquoi pas un film ?

« Vraiment ? » Demandais-je étonnée malgré moi avant de reprendre « Et comment serait mon personnage alors ? » Dis-je par pure curiosité. Il venait d'éveiller ma curiosité et je voulais voir comment je pourrais inspirer un de ses personnages.

« Ça lui fait quel âge a ta fille aujourd'hui ? Elle doit te manquer ! » Je ne sais pas, mais je le voyait bien protecteur avec ça fille, la relation père fille, comme la fifille a son papa. Je les imaginer bien complice, je l'avais déjà vue quelques fois sur des photos et elle est magnifique. Mais je cessai net de marcher en entendant la suite, non, il ne m'avait absolument rien dit, il s'était bien garder de me le dire d'ailleurs.
« Quoi ? Non je ne savais pas…. Je suis sincèrement désolé,… Comment va-t-elle ? » M'empressais-je de demander avant de reprendre inquiète « Et toi comment tu te sens ? Si je peux faire quoi que se soit pour vous, compte sur moi d'accord ? » Lui dis-je sérieusement en plongeant mon regard dans le sien, réalisant que j'avais vraiment loupé beaucoup de choses…

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