Gus - Si je suis tombé par terre, c’est pas la faute à Voltaire

Gustavo Castillo

feat. Diego Boneta

me, myself & i

› NOM : Castillo, nom cubain, porté fièrement par toute sa famille depuis des générations. Un nom qui vient aussi avec certaines attentes et une facilité de vie.
› PRÉNOM : Gustavo Sergio Alfonso. Un bon mix avec les prénoms de ses grands-pères annexé au sien. En règle générale, tout le monde l’appelle Gus.
› ÂGE : 30 ans (03.04.1993)
› NATIONALITÉ : Américain, c'est là qu'il est né et qu'il a grandit.
› ORIGINES : La nationalité importe peu à ses yeux, il est bien plus fier de ses origines cubaines héritées du côté de son père et mexicaines du côté de sa mère.
› JOB/ETUDE : Héritier d’une chaîne hôtelière de luxe, il aujourd'hui gérant de la branche australienne.
› STATUT : Longtemps engagé dans une relation, il est aujourd'hui célibataire et ça lui convient très bien.
› GENRE : Homme cisgenre.
› SEXUALITÉ : Hétérosexuelles, les courbes féminines ont toujours eu ses faveurs sans qu'il ne se pose vraiment plus de questions.
› TES FINANCES : Excellentes depuis toujours. En plus de son salaire conséquent, il vit de l’argent de papa et maman avec des comptes en banque bien fournis.
› GROUPE : summer
› CREDITS : av @lumos solem icons @madeyesaes

what about me

Issu d’une famille cubaine ayant fait sa fortune dans le monde de l'hôtellerie, Gus n’a jamais été à plaindre. Il a grandi dans le luxe. ‹ Gus, même s’il se considère totalement cubain, en réalité, il a grandi à Los Angeles. ‹ Il a grandi comme le petit prince de la famille, le gamin à qui on donne tout et qui n’a pas souvent entendu “non” dans sa vie. ‹ Totalement bilingue, il parle couramment l’espagnol en plus de l’anglais. ‹ Il a beaucoup voyagé grâce à l’argent de ses parents, découvrant des nouvelles destinations de luxe chaque année. Pourtant, depuis quelques années, c’est en faisant du backpacking qu’il prend du plaisir à découvrir le monde. ‹ Gus fait énormément attention à son image et surtout à son physique. Que ce soit le sport ou son style vestimentaire, chaque détail à son importance. ‹ Son arrivé à Bowen a été synonyme de punition pour le jeune Castillo, son père voulant qu’il apprenne de vraies valeurs, loin de l’abondance de la cité des anges. ‹ Il a une grande sœur avec qui la relation a toujours été compliquée. Maintenant, qu’ils sont à distance, l’entente se passe mieux. ‹ Son portable, c’est une extension de son bras. Accro au travail, il ne s’en sépare jamais. Il pourrait être au cinéma qu’il sortirait pour répondre. ‹ Il a fait des études de communication et marketing dans le but de devenir plus tard directeur de communication pour l’entreprise familiale. La partie business ne l’ayant jamais vraiment intéressé. ‹ En bon cubain, il apprécie fumer le cigare avec un bon verre de rhum. Toujours habitué au meilleur, il n'accepterait jamais un verre à bas prix. ‹ Même à Bowen, il profite de l’argent de ses parents. Dès que la vie devient trop compliquée, il trouvera toujours la solution dans son porte-monnaie. ‹ Pas un jour ne passe sans qu’on ne le croise à la salle de musculation. ‹ C’est un problème avec les jeux d’argent qui a poussé ses parents à l’envoyer à Bowen, sous peine de lui couper les vivres. ‹ Très actif sur Instagram, il pourrait passer ses journées dessus. ‹ Il se considère comme un bon danseur, surtout quand on lui parle de bachata. ‹ C'est un fêtard Gus, il aime sortir, danser, sociabiliser... Mais il est la majeure partie du temps en contrôle. L'alcool n'allant pas forcément bien avec son mode de vie sportif, il se réserve les gros craquages pour seulement quelques soirées.

Cette histoire, c’est l’histoire d’un gamin à qui tout a toujours souri ou presque. L’histoire d’un gars né dans une famille aisée. Le genre d’enfant qui part en vacances constamment avec ses parents, qui grandit dans une villa avec tout à disposition, celui qui est promis à un grand avenir. Le petit prince des Castillo. Le petit dernier d’une fratrie de deux. En bonne famille conservatrice, c’est à lui que devait revenir la direction de la de l’entreprise familiale. Un chemin tout tracé pour un gamin qui n’en avait que faire des hôtels. Lui tout ce qui l'intéressait, c’est le sport. Le sport et les copains. La fibre du business, c’est Rosa, sa sœur, qui l’avait. C’est elle qui aurait mérité toute l’attention qu’on portait au petit dernier des Castillo. Ils ont donc grandi dans une ambiance de compétition, mais une compétition truquée. Le genre qui avantage l’un des participants sans même qu’il ne l’ait demandé. Alors les deux gamins, ils ont passé leur enfance à se chamailler. L’une envieuse du piédestal sur lequel on avait mis son frère, l’autre simplement content d’y être et profitant à chaque instant des avantages. Après l’adolescence, c’est devenu d’autant plus criant. Rosa n’a pas arrêté de bosser pour être la meilleure en tout temps alors que Gus, lui, il passait sa vie à faire la fête. Capitaine de son équipe de basket, populaire comme pas possible au lycée et surtout, le gars qui peut inviter ses potes dans n’importe quel hôtel appartenant à sa famille. Il a rapidement été en roue libre, surtout une fois arrivé à l’université. C’est là que les problèmes sont arrivés. Avec les autres gars de sa fraternité, ils ne faisaient que sortir, peu présent en cours et surtout, mettant en place des parties de poker pour gros joueurs. Tous issu du même milieu, ce n’est pas avec des billets d’un dollar qu’ils jouaient plusieurs fois par semaine, mais bien des liasses beaucoup plus grosses. Ça aurait pu s’arrêter à la fraternité, perdre entre eux et s’arrêter là. Très vite, il a fallu plus. Il a fallu se frotter à des gens extérieurs, ce genre de personne peu recommandable et que ça amuse de plumer des gosses de riches. Alors Gus et ses potes, ils se sont rapidement retrouvés sous l’eau, dilapidant à vitesse grand V l’argent de leurs parents. Ils se pensaient invincibles, libres de faire tout ce dont ils voulaient. C’était sans compter sur les parents, qui ont retrouvé leurs fils en sang à l'hôpital un matin. Une soirée sans liquide qui a fini par déraper. Il fallait bien que ça arrive et pour être honnête, c’était bien mérité pour eux. Gus, il aurait bien aimé que ses parents réagissent comme les autres, qu’ils paient ses dettes et que l’histoire s’arrête là. Ils ont bien failli le faire d’ailleurs, juste avant que le paternel ne remarque tout l’argent manquant sur le compte de son fils, qu’il analyse les frais de ce dernier. Des bouteilles achetées en boite de nuit, des billets d’avion pour tous ses potes, des fringues de luxe, des repas à tout-va, mais surtout, des retraits en liquide indécents. En moins de deux, Gustavo s’est fait offrir un ultimatum. Partir en Australie et apprendre les ficelles de l'hôtellerie dans une des filiales Castillo ou se faire couper les vivres complètement. C’est donc à reculons que le petit prince déchu débarqua en Australie. Un changement de vie radical pour lui. De Los Angeles à Bowen, il y a un monde. Un choc culturel auquel il n’était pas prêt, mais qui fut nécessaire pour lui.

En six ans à Bowen, le jeune cubain a grandit. Toujours un peu dépensier, il a quand même pris en maturité. Il a pu analyser le métier auquel il a été promis toute sa vie, se découvrant même une certaine curiosité pour ce dernier. Jamais il n’aurait idée de prendre le poste de PDG qui, à ses yeux, revient de droit à sa sœur. Lui ce qu’il aime faire, ce dans quoi il est bon, c’est l’image. Fort, de ses réseaux sociaux qu’il a su développer au fil des années, il a finalement trouvé comment associer ça à l'hôtellerie. À distance, il a finalement commencé à s’investir dans la branche communication de l’entreprise familiale. Se découvrir professionnellement ça a pris du temps, mais il y est finalement arrivé. Petit à petit et tout ça, il le doit aux rencontres qu’il a faites sur le chemin. À Bowen, loin de son milieu social de base, il a appris à remettre un peu les pieds sur terre. Il garde ce côté flambeur, bien évidemment. Par moment aussi, il garde ce côté petit con à qui on ne dit jamais non. Mais globalement, il a appris ce qu'étaient des vraies relations. Des connexions humaines basées sur la personne et pas son compte en banque. Quand sa période d'exil a touché à sa fin, c’est un nouveau dilemme qui s’est présenté : rentrer à Los Angeles ou rester à Bowen. Tout poussait à croire qu’il serait parti de Bowen à la minute où son père l’en aurait autorisé. Il s’est surpris lui-même là-dessus. Après quelques années à râler et traîner des pieds, motivés par le simple fait de savoir qu’il pourrait quitter un jour cette ville qui était devenue sa prison, il a finalement décidé de rester. Il est resté, pour ses amis qu’il s’était faits ici, mais surtout par amour. Une relation qui a chamboulé sa vie au moment où il en avait le plus besoin. Une belle relation, sincère et constructive. Une relation qui a duré le temps qu'il fallait, mais qui aura eu le mérite de se finir presque aussi bien qu'elle a commencé. Aujourd'hui, il a encore beaucoup de choses à apprendre Gus, il en a conscience. Mais une chose est sûre, si ces années à lui ont appris quelque chose, c’est qu’il grandira toujours plus entouré de ces nouveaux proches qu’avec sa famille avec qui il n’a jamais tissé de lien très fort.

and behind the computer...

› PSEUDO Astierian/Cheekeyfire › PRENOM Anais › AGE : 27 ans › COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM? un top site il me semble › COMMENT LE TROUVES-TU? C'est la maison aha

› PRÉSENCE : Un peu tous les jours. › SCÉNARIO/INVENTE : Inventé › DOUBLE-COMPTE : Tommy, Kay & Cooper › AUTRE CHOSE? Gus - Si je suis tombé par terre, c’est pas la faute à Voltaire 2826614466

Gus - Si je suis tombé par terre, c’est pas la faute à Voltaire 2826614466

Code:: <b>ROME FLYNN</b> - @"gustavo castillo"

Ayant été témoin en live de ce craquage ! Je te souhaite la bienvenue de nouveau :coeur:

hâte d’en savoir plus !

rebienvenue chez toi chaton aha

hâte qu’on développe notre lien :01:

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she lights up the roomwith her smile

️ EXORDIUM.

Dis donc il est mignon ce chaton héhé

Bienvenue avec ce petit nouveau !

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"Is that alright ?"

Maybe it's time to let the old ways die. It takes a lot to change a man, it takes a lot to change your plans. And a train to change your mind.

rebienvenue avec ce beau gus I love you

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i don't wanna go, think I'll make it worse, everything I know brings me back to us. I don't wanna go, we've been here before, everywhere I go leads me back to you

Re bienvenue avec ce monsieur très charmant dis donc :11:

je le connais pas mais je veux bien le connaître :48:

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broken heart

I'm so depressed, I act like it's my birthday every day I'm so obsessed with him but he avoids me like the plague I cry a lot but I am so productive, it's an art you know you're good when you can even do it with a broken heart

(c) by daylight

Invité

Re-bienvenue chez toi :coucou:

Re bienvenue chez toi

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what things ☩

Full of colors to my face
Colors to our faces We were burning with the sun We were smiling at the devil
We were dancing in the sea Playing with the poison I confess to my demons We were smiling at the devil
Thousand Suns ~ Talisco

re bienvenue :coeur:

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⎯ don't blame me, love made me crazy

Bon retour ici avec ce charmant jeune homme. :coeur:

Il a l'air d'être un fils à papa à ce que j'ai pu lire, Max elle va l'adorer je pense. :01:

Hâte de lire la suite pour qu'on se trouve un ou des liens de folie. :11:

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Too smart for you.
by EXORDIUM.

Il est bien beau, ce monsieur héhé

Hâte d'en lire plus :11:

. Rebienvenue ohh

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Only know you've been high when you're feeling low,only hate the road when you’re missin' home, only know you love her when you let her go... And you let her go

MAIS MAIS MAIS MAIS
ANAAAAAAA c'est quoi ce gros craquageee là ? J'A-DO-RE
En plus, Gus, j'adore ça m'fait penser à la p'tite souris dans cendrillon

GUS-GUS

Breeef, j'adore déjà ce personnage
et j'espère qu'on va se trouver pleins de liiiiens
re-bienvenue à la maison ma chatounette

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☽☽ Si c'était si facile, tout le monde le ferait, qui tu serais pour réussir où tous les autres ont échoué? Oublie tes rêves prétentieux, redescend sur terre ou tu n'en reviendras jamais

Merci tout le monde ohh

Gus - Si je suis tombé par terre, c’est pas la faute à Voltaire 649379823

J'espère qu'il sera à la hauteur et qu'il vous plaira ce petit aha

@Elijah Bishop J'avais aussi gus-gus en tête en choisissant le prénom j'avoue :14:

Invité

Rebienvenue à toi et hâte d'en découvrir plus sur ton nouveau perso :11:

Merci beaucoup :coeur:

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» #227 - ma terre s'arrêtera bientôt et c'est la faute de quelqu'un d'autre - leyla
» + l'alcool tue à petit feu ; ça tombe bien, j'suis pas pressée. (milou)
» Pow - et non je suis pas qu'Ella, Nora et Skye, je suis aussi une vraie personne
» on dit que j'suis infréquentable, wesh en scred j'suis adorable - will
» J'suis pas une pute, j'suis juste brisée. ➽ Elijah